Thomas De Gendt (33 ans – Lotto Soudal), qui \u00e9tait au d\u00e9part ce dimanche du premier Tour des Flandres virtuel, est quelque peu pessimiste face \u00e0 l’avenir du cyclisme. Alors que le calendrier subit de nombreuses annulations \u00e0 cause du Covid-19, c’est maintenant la plus grande courses cycliste du monde qui est en danger : le Tour de France.<\/p>\n
Pour l’heure, le Tour de France n’a ni \u00e9t\u00e9 annul\u00e9, ni report\u00e9. Mais les organisateurs savent qu’il s’agit d’une question de jours… Alors, d’autres alternatives sont en train d’\u00eatre \u00e9tudi\u00e9es pour que le plus grand \u00e9v\u00e9nement cycliste ait lieu. Et cela inqui\u00e8te notamment Thomas De Gendt<\/strong>, qui n’imagine pas une saison sans la Grande Boucle. \u00ab\u00a0J’esp\u00e8re que le Tour de France aura lieu parce que de nombreux sponsors, et pas seulement le n\u00f4tre, ont calcul\u00e9 leurs budgets en fonction de la visibilit\u00e9 du Tour, qui est toujours diffus\u00e9 \u00e0 la t\u00e9l\u00e9vision dans une centaine de pays<\/em>, a expliqu\u00e9 Thomas De Gendt au Het Nieuwsblad<\/a>. Si le Tour est annul\u00e9, je pense que nous verrons beaucoup d’\u00e9quipes s’arr\u00eater \u00e0 la fin de l’ann\u00e9e parce que leur sponsoring va dispara\u00eetre. Les choses pourraient devenir tr\u00e8s sombres pour le cyclisme. Annuler le Tour de France serait d\u00e9sastreux pour le cyclisme.\u00a0\u00bb\u00a0<\/em><\/p>\nLotto Soudal et De Gendt ont diminu\u00e9 leur salaire<\/h2>\n