Ils ont les traits bien marqués
Les vélos presque fissurés
Par leurs efforts qui ne sont pas tendres
La fin se profile et avoue
Dans le sillage de leurs roues
Qu’elle a le cœur qui va se fendre
Son odeur a pour parfum
Les jours passés sur leurs engins
Aux agrumes de se défendre
Il y a un avant et un après
Le présent et son braquet
Qui vont encore se répandre
Quelques batailles de forçats
Sonneront sur les cimes le glas
Repus ils daigneront redescendre
Signe que Paris prépare son Tour
Comme une très longue histoire d’amour
Être épris qu’en juillet… et attendre…