En 2025, l’UCI a mis en place une nouvelle règle stricte interdisant aux équipiers de célébrer prématurément la victoire d’un sprinteur. Les coureurs risquent des sanctions financières et sportives s’ils sont surpris à décélérer, à célébrer dans le peloton ou à relâcher leur vigilance pendant le sprint final. Cette mesure s’inscrit dans une volonté générale d’améliorer la sécurité.
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En 2025, l’Union Cycliste Internationale (UCI) introduit une nouvelle règle : les équipiers n’auront plus le droit de célébrer la victoire d’un sprinteur de leur équipe avant la ligne d’arrivée. Cette mesure vise à renforcer la sécurité lors des sprints en limitant les comportements jugés dangereux, comme les décélérations brutales ou les mains lâchées du guidon à haute vitesse.
Détails de la nouvelle règle :
- Sanctions : Les coureurs qui célèbrent trop tôt risquent une amende allant jusqu’à 500 francs suisses (environ 500 euros), un carton jaune, une perte de points ou une rétrogradation au classement.
- Comportements visés : La règle cible les décélérations pendant le sprint, les célébrations dans le peloton, les communications radio ou les mains lâchées du guidon avant la fin du sprint.
- Contexte : Cette mesure fait partie d’une série de réformes pour améliorer la sécurité, comme la révision de la règle des trois derniers kilomètres, désormais applicable uniquement en cas de chutes collectives.
Objectif de la règle :
L’UCI considère que ces célébrations prématurées distraient les coureurs et augmentent les risques d’accidents, surtout dans les derniers hectomètres d’une course. Bien que certains critiquent cette mesure, l’UCI la justifie par la nécessité de protéger les coureurs et d’éviter les incidents.
Réactions et mise en œuvre :
La règle a suscité des débats. Certains la trouvent excessive, d’autres la voient comme une avancée pour la sécurité. Son application et son impact sur le comportement des coureurs restent à observer.
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Ah oui alors !… La faute la plus commune et flagrante, celle qui fausse nombre de sprints, ce serait peut-être la décélération brutale, et ce serait bien de détailler cet aspect, quand le coureur se met en roue-libre, mais aussi quand il s’écarte, pas beaucoup, un peu, sans décélérer totalement, ce qui rend la sanction assez aléatoire, difficile à prendre, mais nécessaire… De quoi donner beaucoup de travail aux commissaires, encore plus… Décidemment, la police a de plus en plus de travail ! Ici c’est police et justice à la fois, de quoi satisfaire G. Darmanin !…