Le Tour des Alpes-Maritimes 2025 se déroulera les 22 et 23 février, avec un parcours audacieux et montagneux qui mettra les grimpeurs et les puncheurs à l’épreuve. Cette seconde édition propose deux étapes difficiles, totalisant 294 kilomètres. Découvrez le profil détaillé des étapes et les enjeux de cette course passionnante, qui s’annonce comme un rendez-vous incontournable du début de saison cycliste.
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Le Tour des Alpes-Maritimes 2025 se tiendra les 22 et 23 février, avec un tracé plus montagneux que l’an dernier. Deux étapes difficiles, cumulant 294 kilomètres, attendent les coureurs, offrant un terrain idéal aux grimpeurs et puncheurs. Après la Classic du Var (vendredi), plusieurs favoris tenteront de succéder à Benoît Cosnefroy, vainqueur en 2024. Avec un premier acte propice aux grimpeurs et un second favorable aux puncheurs, ce Tour des Alpes-Maritimes 2025 promet une course animée.
Tour des Alpes-Maritimes 2025. La liste des équipes et coureurs engagés
Les étapes en détail :
Samedi 22 février – Etape 1 : Contes / Gourdon (162,4 km, 3.542 m D+)
La présentation détaillée de l’étape 1 – Classement de la 1ère étape et classement général – Vainqueur de la 1ère étape et leader :
Départ de la première étape au cœur de la vallée des Paillons. c’est à succession de montées et de descentes. Les participants vont franchir principalement et dans ce ordre la Col Saint Roch (11,2km à 5,2%), Col de Châteauneuf (6,7km à 6,5%), la montée sur Gourdon (17,7 km à 3,8%) qui fera aussi office d’ascension finale au terme deux tours de circuit autour de Gourdon. Une étape usante, mais dont la difficulté ira décroissante au fil des kilomètres.
Dimanche 23 février – Etape 2 : Villefrance-sur-Mer / Vence (131,8 km, 2.413 m D+)
La présentation détaillée de l’étape 2 – Classement de la 2e étape et classement général – Vainqueur de la 2e étape : Vainqueur final :
A l’occasion de la deuxième étape les coureurs partiront de la citadelle de Villefranche-sur-Mer pour une étape courte mais exigeante. Dès le départ, l’ascension du Col d’Èze (6,9 km à 6,3%) imposera un rythme sélectif. Suivront le col de Châteauneuf (6,9 km à 6,3%) et la difficile montée de la Sine (3,6km à 5,3%), avant une possible explication au sprint à Vence, où Benoît Cosnefroy s’était imposé l’an dernier.
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