Chaque fois qu’un Grand Tour se referme, il y a comme une petite mort qui s’installe dans l’instant présent, possible même qu’elle s’étire sur les jours d’après. Une sorte de mélancolie d’un ton rose, jaune ou rouge qui s’empare de notre conscience. Nos souvenirs nous travaillent là où le cyclisme a fait son effet. Barbara Pedrotti a fait le sien en tant que journaliste sur la chaîne beIN Sports France lors du Tour d’Italie 2016. D’une part auprès des téléspectateurs de l’autre auprès des coureurs qui trouvaient un plaisir orgasmique des yeux à être interviewés par la Bomba italienne après une arrivée d’étape.
Barbara Pedrotti porte très haut la botte du Tour d’Italie
Nous serons donc privés de cette plantureuse sicilienne de 34 ans « made in La Botte » qui s’exprime dans un français absolument italien. Ses traductions à l’accent qui sentait bon le pays chaussé naturellement d’une cuissarde, étaient de taille dans le désir extravagant de recueillir les réactions des coureurs qui passaient au second plan pour le coup. Les talents captatoires de l’ancienne speakerine du Tour d’Italie entre 2008 et 2010 sont à l’image de ce que propose le Giro dans son éloquence visuelle. Ne nous le cachons pas, le Tour d’Italie s’est aussi une débauche de filles toutes plus belles les unes que les autres. D’aucuns les qualifient de potiches, d’autres d’indispensables à la course. Les coureurs sont ravis de cet entourage hautement talonné et c’est bien cela le plus important. Peut-être même que certains d’entre eux, dans des désirs inavoués, souhaiteraient ces Renaissantes poudrées des temps modernes à leur bras pour des « Promenades dans Rome » que remettrait au goût du jour Stendhal.
La 100è édition du Tour d’Italie sans son « À voille ! »
« À voille ! ». C’est : « À vous ! ». Comme à la grande époque de : « À vous Cognacq-Jay, à vous les studios ! ». Barbara Pedrotti a revisité sans le savoir cette phrase célèbre de la Maison de la Radio quand elle rendait la parole à Emmanuel Barth sur la chaîne beIN Sports France. Cela faisait partie de son charme éloquent qui continuera d’agir sur les ondes radio dans sa langue maternelle. La belle brune a rejoint l’équipe itinérante de la RaiRadio2 qui couvrira la 100è édition du Tour d’Italie. Alors, je te souhaite bonne route Barbara ! « À toille ! »
Vidéo : Filippo Pozzato (Wilier Triestina-Selle Italia) sous le charme de Barbara Pedrotti
Dommage en effet… Nous aurons J.P.Ollivier pour la remplacer… Nous allons pouvoir monter au pinacle du commentaire et même nous offrira-t-il en prime une chanson, voire un chant d’Ollivier ! C’est pas la même chose que la belle Barbara… Aux commentaires nous ne retrouverons pas non plus le duo E. Barthe et C. Vasseur, un couple de commentateurs qui me plaisait bien, sans doute et en premier lieu parce que les deux ont pratiqué le cyclisme de compétition, ce qui constitue sans doute un avantage indéniable…N’est-ce pas Robert ?… Bien sûr, il en faut pour tous les goûts, et personne ne peut faire l’unanimité comme B. Pedrotti, mais je vous avoue ne pas bien aimer Chassé ( et encore moins Di Grazia sur Eurosport ) , lesquels s’excitent beaucoup trop et m’apparaissent du niveau d’un bas Vasseur … Un peu de calme s’il vous plait…Pineau, quant à lui, a l’air de se bonifier avec les années, même s’il est certain qu’il ne pourra jamais atteindre un grand cru, sans doute ce côté petit menteur ou bonimenteur qui le trahit parfois … Serais-je sous l’influence d’une pulsion d’intolérance, tendance assez fréquente chez bon nombre de nos concitoyens ?… Au secours Barbara, revenons à de plus saines pulsions !…
pas facile de parler pendant 6 heures dont 5heures 45 ou il ne se passe rien
je touve les commentaires pas mal sauf stephen roche que l’on peine à comprendre