Les lendemains des courses
Comme un ogre comme un ours
Je peux manger à ma faim
La coupe en pleine de raisin
Je roule la tête dans le guidon
Sans économie c’est bon
Quand je dépose le vélo
Que j’ouvre la porte du frigo
C’est un bouquet de couleurs
Qui s’offre au ventre en sueur
Je prends de-ci de-là
Ça rempli l’estomac
À en être rassasié
Même si j’ai dépensé
Quelques sous à la caisse
Sans aucun prix en baisse
Puis partie de jambes en l’air
Sans lingerie sans mémère
Pour refaire du 109
Allongé comme un œuf
Le dernier dans la poêle
Que je mange presque à poil
Avant de refaire du stock
Pour repartir à bloc
« Le lendemain des courses »à l’américaine » « avec »My bicycle » « Je ne tiens plus mon guidon »
« Le lendemain des courses »avec « My bicycle »
Bien souvent j’ai de la peine
Sur le marché j’ai acheté
Pour me restaurer
Non pas un gratin
Ni une tarte tatin
Juste un peu de pain
Avec beaucoup de vin
J’ai atteint l’ivresse
Exalté il faut que cela cesse
Comme solution, les jambes en l’air dans le frigo, pour faire du 109…Excellente formule ! Je connaissais aussi faire cuire 9 carottes, en jeter une pour qu’elle soit qu’8, mais « refaire du 109 » avec des carottes, c’est léger…Ou si le gars des 110 canettes 110 continuer « ça peut le faire », selon une formule à la mode…Pour le fer, le pinard bien sûr, mais pour varier, les pinards en boite…S’il est vraiment sur les jantes, pour repartir à 9, une bonne perfusion Hutchinson et il pourra reprendre l’entrainement…