L’Étoile de Bessèges 2025 est marquée par une 4e étape (entre Vauvert et le Mont Bouquet) perturbée par les conditions météorologiques. La pluie intense a contraint les organisateurs à réduire le parcours de l’étape, supprimant un circuit de 19 kilomètres autour d’Uzès et neutralisant une portion de l’étape. Malgré ces modifications, la course a été maintenue, mais l’équipe Kern Pharma a quitté la compétition, réduisant davantage le peloton déjà affecté par des abandons la veille.
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Les conditions météorologiques ont contraint les organisateurs de l’Étoile de Bessèges à modifier le parcours de la 4e étape entre Vauvert et le Mont Bouquet. Après une réunion entre l’organisation, les commissaires UCI et les coureurs, il a été décidé de neutraliser une portion de l’étape et de supprimer un circuit de 19 kilomètres autour d’Uzès.
La pluie intense qui s’est abattue sur la région gardoise depuis la veille a laissé des routes détrempées et impraticables par endroits. Le départ a bien été maintenu, mais l’étape a été raccourcie à 135 km, entraînant la suppression du deuxième classement du meilleur grimpeur.
La traversée de Clarensac, au kilomètre 30, a été neutralisée en raison de travaux. Conformément au règlement, le peloton a été contrôlé sans arrêt total de la course. En cas de fragmentation du groupe avant Clarensac, un départ arrêté était prévu à la sortie de l’agglomération, en respectant les écarts enregistrés avant la neutralisation.
Déjà marquée par une journée chaotique la veille et le retrait de neuf équipes, la course a perdu un autre acteur majeur : Kern Pharma n’a pas pris le départ ce matin, réduisant encore un peloton déjà bien aminci.
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Chère Madame l’ organisatrice de l’ Etoile de Besseges, ne préparez plus une nouvelle version de votre épreuve cycliste pour 2026. Une dixième équipe a abandonné aujourd’hui
alors qu’ il pleut et qu’ il n’ y a absolument aucun incident en terme de sécurité. Reposez vous, vous l’ avez bien mérité. Coulez des jours heureux. Je vous exprime toute ma gratitude pour avoir bien pérennise votre Épreuve par étapes et salue votre investissement ( non lucratif) dans l’ organisation. Désormais, le cyclisme a énormément changé (et il devient trop compliqué) et moi même je ne le reconnais plus. La passion s’ est évanouie. Et les coureurs,si votre belle course n’ existe plus en 2026, que feront ils? Ma foi, ce sera leur problème !
Je plussoie,
Chère Madame la directrice de cette épreuve, laissez votre place, vous qui avez obtenu ce poste par votre qualité de fille du fondateur et organisateur de l’épreuve jusqu’en 2020. Et n’y mettez pas votre gendre, Romain Le Roux, ancien coureur et ancien militaire, qui a montré son incompétence et qui a eu une excuse indigne, alors qu’un coureur a été blessé sérieusement et qu’il aurait pu y avoir des morts : « Qu’est-ce qu’on peut faire en plus ? On a déjà le maximum de motos, vingt de la gendarmerie et huit de l’organisation. Par rapport à l’an dernier, on a même plus de bénévoles pour bloquer les routes (annexes), une centaine environ. »
Voilà 20 (vingt) gendarmes en tout et pour tout, pour une course internationale ! Ca en fait moins deux tous les 10 kilomètres. Même s’ils sont à moto, et se déplacent, ça ne fait pas assez. Il faut des gendarmes fixes à toutes les intersections. C’est le minimum pour une course de ce niveau. L’Etat doit assurer la sécurité. Il y a des effectifs beaucoup plus nombreux que 20 gendarmes, pour la moindre petite manifestation. Il y a environ 100.000 gendarmes et policiers en France. Et je ne compte pas le nombre de militaires sans beaucoup d’occupation. Pour un événement international de cette ampleur, il serait impossible d’y envoyer au moins un gendarme ou militaire par kilomètre ?