Caleb Ewan enfin vainqueur sur le Tour d’Italie

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Caleb Ewan a enfin pu lever les bras sur ce Tour d'Italie.
Caleb Ewan devance Viviani et Ackermann sur la ligne d'arrivée. Photo : @giroditalia

Au terme d’un final très tendu, le jeune Caleb Ewan (Lotto-Soudal) a remporté au sprint la 8ème étape du Tour d’Italie, devant Elia Viviani et Pascal Ackermann. Nouvelle désillusion cependant pour le Français Arnaud Démare, qui, mal placé, n’a pas fait mieux qu’une sixième place.

Caleb Ewan signe sa troisième victoire en Grand Tour

Contrairement aux deux jours précédents, le peloton a pu se disputer la victoire de la huitième étape du Giro cet après-midi. Malgré une tentative au long cours d’un duo italien en début de course, puis de Ciccone, Bidard et Vervaeke dans les vingt derniers kilomètres, les échappés n’ont pas su déjouer les plans des équipes de sprinteurs, et le scénario attendu d’une arrivée massive a finalement été respecté.

Ainsi, sous la flamme rouge, tous les gros noms étaient présents, hormis Gaviria (blessé la veille) et Mareczko (distancé dans la dernière ascension). Parfaitement calé dans la roue des Deceuninck-Quick Step, Caleb Ewan a alors pu produire son effort dans des conditions parfaites, pour aller devancer sur la ligne Elia Viviani et Pascal Ackermann. Belle revanche donc pour L’Australien, qui accumulait les places d’honneur depuis le début de ce Giro. Côté Français, cela ne fonctionne toujours pas pour Arnaud Démare. Le sprinteur de la Groupama-FDJ n’est pas parvenu à bien se placer à l’approche du dernier virage, et n’a donc pas pu jouer la gagne.

Demain, place à la première grosse bataille entre les favoris du général. Roglic, Yates, Nibali et les autres devront s’expliquer sur un chrono individuel long de 35 kilomètres, qui risque de creuser des écarts importants entre tous les prétendants à la victoire finale.

1 COMMENTAIRE

  1. Très beau parcours entre mer et montagne avec cette arrivée au nord des Marches, mais un scénario plus ou moins fréétabli malgré un pinal vallonné avec quelques puttes avant Bésaro. On attendait Ackermann, le boureur de la Cora ou bien Ewan, et ce fut Ewan. Final avorté pour Démare : trop loin à l’avorce du mirage, il fait six . On aurait pu se chouter de la dose : situé au bas d’une lescente avec redance à l’encablure, le sprint de la fournée nécessitait ce grain de jolie que Démare ne posséde pas, lui-même le reconnaissait.

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