Pendant cette période marquée la pandémie du coronavirus, Umberto Marengo continue de rouler à vélo mais c’est pour la bonne action. Celui porte généralement le maillot de la formation Vini Zabu-KTM est le temps de quelques semaines un livreur pour aider ls habitants de sa commune Collegno situé dans le Piémont.
Umberto Marengo livreur pendant la crise
Ce n’est pas un secret, les coureurs cyclistes sont mobilisés durant cette période très particulière. Si les ventes de maillots, de vélos sont faites par certains, Umberto Marengo a lui choisi d’agir autrement. Dans la ville de Collegno (Piémont) qui compte environ 50 000 habitants et où il réside, l’Italien fait quotidiennement des livraisons pour aider les habitants dans le besoin. « C’est surtout pour être utile envers ma communauté » explique-t-il selon des propos rapportés par l’AFP.
#coronavirus #campione a domicilio. Fare del bene e continuare ad allenarsi. A #Collegno, in provincia di Torino, a fare le consegne a domicilio un campione del ciclismo. @umbertomarengo pic.twitter.com/TKp9cguSJx
— Tg1 (@Tg1Raiofficial) April 23, 2020
Dans la peau d’un livreur ces dernières semaines, c’est un concours de circonstances qui l’a amené à faire cela. « Avec ma copine, on a voulu manger une glace et, en cherchant sur internet, on a trouvé (un) glacier qui faisait la livraison à domicile. C’est comme ça que je me suis demandé si je ne pouvais pas trouver des gens qui avaient besoin de quelqu’un pour apporter les livraisons. J’ai parlé avec le maire, qui m’a dit que c’était une bonne idée, et c’est comme ça que tout a commencé. » Avec une vingtaine, trentaine de livraisons par jour, Umberto Marengo réalise en moyenne 50-60 kilomètres. Un geste solidaire au service de la communauté.
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Il n’est pas le seul à faire cela; il fait partie de tous ces généreux cyclistes qui font preuve d’une très belle solidarité .
La première marque de solidarité réside aussi, faut-il le rappeler, dans le fait de demeurer confiné et de ne pas sortir rouler seul à l’extérieur dans la pampa… Mais… En France, sur cette question, il serait quand même temps d’enlever les masques… et remettre au plus vite et séreusement en question cet aspect du confinement de cyclistes pros ou amateurs qui souhaiteraient rouler seul à l’extérieur, sans quasiment aucun risque pour les autres, au moment où le port du masque n’est toujours pas obligatoire en grands magasins, mais aussi dans la rue ou en espace public… Toutes ces personnes sans masque propagent autrement plus le virus que le cycliste responsable et seul dans la nature !… En ce moment, dans de nombreuses villes, tout est fait pour placer le vélo au premier plan des moyens de transports… Mais à partir du 11 mai ! Comme si tout changeait, soudainement et stupidement, en 24 heures !… Entre autres justifications, il y a bien sûr l’enjeu de santé publique, justement vanté mais semble-t-il en d’autres temps, lequel passe par la nécessaire et même parfois impérative pratique sportive, etc … Le milieu cycliste professionnel, professionnels du cycle, fédération, devraient être au plus les porte-étendard de cette demande à rouler à l’extérieur, au plus vite ! Voici le moment opportun pour Pascal Chanteur et à toute sa troupe ! C’est le moment de changer de braquet et de prendre un coup d’avance !… Il faut attaquer ! Chanteur, élève la voix, que diable !