Dans un communiqué paru aujourd’hui, l’Union Cycliste Internationale (UCI) a confirmé que des tests visant à lutter contre le dopage mécanique avaient été effectués tout au long du Tour de France. Pour ce faire, des caméras thermiques mais également des rayons-X ont été utilisés durant les trois semaines de compétition. L’UCI précise que sur les 3773 tests inopinés effectués durant et après chacune des 21 étapes, aucun cas positif n’a été constaté.
Un seul cas positif décelé à ce jour
Pour rappel, un seul cas positif en terme de dopage mécanique a été détecté lors d’une compétition officielle. C’était lors des Championnats du Monde de Cyclo-Cross 2016 se déroulant à Heusden-Zolder (Belgique). Le contrôle de l’un des vélos utilisé durant la course des moins de 23 ans par la Belge Femke Van Den Driessche avait alors révélé l’existence d’un dispositif électrique dissimulé. A la suite de contrôle, la jeune belge écopera d’une suspension de 6 ans, elle annoncera mettre un terme à sa carrière peu de temps après.
Le tour s’est terminé dimanche et c’est le mercredi que l’UCI nous apprend qu’il n’y a pas eu de dopage mécanique … ça chauffait trop et il a fallu attendre que ça refroidisse ?… Pour le dopage ordinaire, c’est déjà très long, ça va devenir impossible, ils n’ont qu’à balancer les échantillons …Que l’UCI prenne des initiatives !