Patrick Bevin est l’une des recrues de la BMC Racing Team pour la saison 2018. Alors qu’il devait effectuer sa rentrée avec ses nouvelles couleurs à l’occasion des championnats de Nouvelle-Zélande, le coureur de 28 ans est contraint de retarder sa rentrée en raison d’une chute survenue à l’entraînement.
Patrick Bevin retarde sa rentrée
Alors qu’il s’entraînait autour de chez lui, le 30 décembre dernier, Patrick Bevin a été victime d’une chute plutôt spectaculaire mais heureusement sans gravité. « J’ai glissé sur une plaque de goudron fondu », explique le nouveau pensionnaire de la BMC Racing Team. « Je suis passé par dessus le guidon et suis tombé sur mon coude droit. Je n’ai rien vu venir ! Il n’y a rien de grave mais c’est toujours regrettable de tomber à l’entraînement. » Le Néo-Zélandais souffre d’une plaie profonde au niveau du coude, si bien qu’une greffe de peau avait initialement été envisagée. Finalement, la blessure a « seulement » nécessité de plusieurs points de suture. Contraint d’observer une période de repos d’une semaine, il est contraint de renoncer à sa participation aux championnats de Nouvelle-Zélande où il devait prendre le départ du contre-la-montre et la course en ligne. Cependant, il devrait être présent au Tour Down Under, en Australie.
Patrick Bevin au service de Greg Van Avermaet et de Richie Porte
Patrick Bevin est passé professionnel en 2016 avec la formation Cannondale. A 28 ans, l’ancien champion de Nouvelle-Zélande du contre-la-montre a été recruté pour la saison 2018 par la BMC Racing Team afin d’épauler le champion olympique et vainqueur de Paris-Roubaix, Greg Van Avermet, mais également Richie Porte lors des courses par étapes. « Patrick a montré de belles choses au Tour de Suisse, manquant de peu une victoire d’étape, mais il a montré sa capacité à prester dans des étapes de haut niveau. Il a de l’expérience dans différentes courses, et quand Richie Porte et Greg Van Avermaet auront besoin de soutien, il sera là. La polyvalence de Patrick est exactement ce que nous recherchons », explique Jim Ochowicz, le patron de la BMC.