Le Tro Bro Leon, tout le monde le sait, c’est le Paris-Roubaix Breton couru du côté de Lannilis avec ses chemins empierrés nommés en Bretagne : les ribinoù. Mais que cela signifie-t-il vraiment ?
La première fois où publiquement la définition du Tro Bro Leon a été dévoilée au grand public, c’est il y a fort longtemps. Frédéric Brindelle et Gilbert Duclos-Lassalle alors journaliste et consultant chez Sport + sont sans doute à l’origine de cette connaissance. A l’époque, au début des années 2000 où les Planckaert, Durand et Cooke s’imposaient, les deux compères s’amusaient à interroger avant le départ de la course les spectateurs mais aussi les médias, très souvent dans l’incapacité de donner une réponse correcte. Désormais démocratisée, la réponse est connue du plus grand nombre. Alors si vous êtes encore dans l’ignorance, notez que « Tro Bro Leon » , qui vient d’ailleurs d’annoncer quitter le calendrier de la Coupe de France en 2024, signifie : Le tour du Pays de Léon.
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C’est bien de préciser que c’est le Tour du Pays de Léon. Si on le sait pas, il est possible de penser par erreur, à Trop beau Léon, ou en changeant une seule lettre, à Tros Gro Léon, etc… De quoi, en effet se perdre dans une mauvaise conjoncture… conjecture.