De nos jours, la diététique sportive aurait une part très influente sur le résultat ?
A en croire l’encadrement de l’équipe Sky, celle qui soi-disant est au top du top en matière d’alimentation sportive.
En visionnant des vidéos sur leur site et en me documentant à leur sujet, je m’aperçois qu’ils se nourrissent d’aliments morts telle que la viande, source de protéine animale bourrée d’antibiotiques, d’hormones de croissance voir de Clenbutérol à usage vétérinaire, (piqûre de rappel pour Alberto avec le jeu de mot qui va avec), qui peut être remplacée par de la protéine végétale bien meilleure pour l’organisme et le transit en course ou/et au repos. Si j’énumère tous les produits (avant, pendant et après course) avec lesquels ils s’alimentent, cette liste est à mettre sur le compte des cuisiniers, nutritionnistes et diététiciens faiseurs de champions attablés ou sur le vélo, elle est loin d’être saine pour un parfait fonctionnent physique et physiologique d’un athlète de haut niveau. J’ai pris l’exemple de l’équipe SKY mais elle aussi valable pour la plupart des équipes qui ont le même régime alimentaire à quelques détails près. Cette formation sait se mettre en avant comme tout le monde le sais. Je finis par ceci, cette image que l’on voit quasiment à chaque arrivée de course, des coureurs buvant une canette de soda mondialement connue que j’appelle la cannette « bombe à retardement ». Et cela répété jusqu’à plus soif sans pouvoir comptabiliser « les bombes » consommées en course. Double effet Kiss Cool ! Systématiquement, à mes yeux, la marque de cette boisson emblématique est reléguée au second plan par cette lettre et ces trois chiffres faciles à retenir comme sa date de naissance, E150. Ce code n’est pas celui qui ouvre la porte du coffre-fort de l’UCI qui est plein à craquer d’argent sale mais bien celui utilisé pour codifier le caramel ammoniacal préparé par chauffage contrôlé d’hydrates de carbone (édulcorants nutritifs) en présence de composés d’ammonium. De ce processus résulterait les deux substances chimiques mises en cause qui seraient nuisibles à la santé et même à l’origine de cancers du poumon, du foie, de la thyroïde.
Bon allez, j’en prends quelques-unes dans ma musette car je passe chez mémé pour lui déboucher les ch……, avec de l’aspartame bien sûr !
Depuis les années 2000, le phénomène de la diététique sportive est mis en avant dès que l’on aborde la performance, pour la plupart du temps du marketing « de mauvais goût », l’alimentation toxique autant que les produits chimiques dédiés à la pratique du sport ne sont-ils pas un dopant légal consciemment utilisé qui contribue à la compétitivité (capacité à résister ou à dominer la concurrence) qui n’en sera que plus malade dans le temps ?
Le débat est ouvert
Aliments mort ! encore heureux qu’ils les boullotent pas vivant . La sky fait déja débat sur le dopage ,alors la bouffe . Ils ont largement de quoi s’offrir de la nourriture de qualité . Quant aux diet et nutritionnistes ,ils sont indispensables aux coureurs pour éviter une prise de poids préjudiciable à leur performance . Assez de rumeur et de bruit de ch… bouché ou tendance à s’obstruer comme l’intélligence de blogueur névrosé ou de pseudo journaliste .
Il y a bien sûr toujours la possibilité d’améliorer la diététique ou l’alimentation du cycliste et de l’homme en général,mais le cyclisme est un sport suffisamment difficile pour être certain que les cyclistes sont parmi ceux qui surveillent le plus leur alimentation…En sachant qu’il est parfois extrêmement difficile de juger des apports bénéfiques ou non de tel ou tel aliment…Par exemple au temps de Raphaél Geminiani la betterave rouge était considérée comme toxique ,c’était carotte râpée…et aujourd’hui on la met à toutes les sauces pour améliorer l’endurance,etc !…Il me semble aussi que l’on voit moins cette image du cycliste ingurgitant ces canettes de coca, pas seulement par souci d’image, car les boissons de récupération sont davantage utilisées et c’est une bonne chose…Tout ceci pour dire que problèmes il y a,mais plus certainement ailleurs ,notamment dans les « régimes »ou »préparations » qui n’ont pas vraiment à voir avec cette question de la pure diététique…Pour terminer il est toujours bon de mettre les pieds dans le plat,procédé très en vogue,,mais lorsque le critique mange à la gamelle de celui qu’il critique, c’est toujours aussi pitoyable …Ah,si tous les coureurs salis mentaient correctement on n’en serait pas là !..
Je n’ai pas par principe de faire dans l’insulte pour débattre. J’ai d’autres moyens pour cela.
Quant aux aliments morts, renseignez-vous sur la signification holistique de ce terme. Il vous permettra d’aller un peu plus loin dans votre réflexion sans vous arrêter au mot et à sa signification littéraire.
Un aliment comme tout ce qui nous entoure et nous-mêmes ont une vibration. Cela s’appelle de la physique quantique. Je vous mets sur la piste, à vous d’aller à la pêche aux infos.
L’équipe SKY a de l’argent à n’en pas douter. Il n’est pas gage de bonne nutrition.
Nutritionnistes et diététiciens sont légions dans le monde de la malle bouffe. C’est aussi valable dans le monde du sport. Même si cela parait surprenant.
Je n’ai pas principe d’étaler la rumeur mais bien de faire avancer le débat avec des personnes qui en sont capables en apportant leurs contributions sans être dans la radicalité à tout rompre. Mais pour cela il faut sans nul doute sortir de l’ego.
In fine, quand je me rends sur une course, c’est toujours avec des yeux enfants que je regarde les coureurs. Je les admire pour leur courage et leur gentillesse et loin de moi de rabaisser leur intégrité d’homme quand je lance un débat comme celui-ci sur Today.
Pour vous reprendre :
Le cyclisme est un sport suffisamment difficile pour être certain que les cyclistes sont parmi ceux qui surveillent le plus leur alimentation.
La certitude est un chemin très périlleux que ce soit dans la vie de tous les jours ou à cet endroit. La nutrition sportive, et ici nous parlons de celle de très haut niveau, est à mon sens une sorte de mauvaise potion magique dans le but de fournir un maximum d’apport nutritionnel. On met un peu de tout sur des bases aléatoires. Vous parlez de Raphaël Geminiani, à son époque la science sportive n’avait pas les analyses qu’elles expérimentent de nos jours. Ce qui rend encore plus incompréhensible les faits.
En ce qui concerne les boissons de récupération, penchez-vous sur la composition de quasiment tous ces liquides aussi néfastes que la boisson « du Père Noël » et vous verrez que le constat est alarmant car la plupart contiennent des polluants chimiques. Il y a maintenant des jeunes sportifs professionnels qui commencent à s’en rendre compte et changent leur façon de se préparer à la compétition. Malheureusement dans une équipe cycliste, l’individualité parmi le tout, aura peu de poids pour se faire entendre dans un monde qui vit encore sur des structures anciennes. Et dans le cyclisme, pour faire bouger les choses il faut beaucoup de temps. Si elles ne restent pas figées indéfiniment.
Dès qu’il y a des gens qui bougent, les immobiles disent qu’ils fuient. L’individualité a toujours été mal vue dans notre société. Chez les sportifs on la retrouve. Et puis pour la plupart ce que l’on donne à manger est forcément bon. C’est le dernier qui a parlé qui a raison. Un aveuglement sans réelle conscience. On suit le groupe…
Mettre les pieds dans le plat ici même, c’est aussi voir ce que le monde nous propose comme alternatives saines.
Le monde n’est que de l’information, pas celle des journaux télévisés évidemment, mais celle utile à notre évolution. Pour cela il faut être bien présent en soi et écouter notre corps sans que l’on nous intime par le truchement des médias, des dictas et autres moutonneries du genre, la vie selon Nutella. Non les produits laitiers ne sont pas mes amis pour la vie. Le carnage animalier m’en a donné raison.