Le 3 février se déroulera le Grand Prix Cycliste La Marseillaise 2019. Ce sera la 40e fois que le départ de cette épreuve sera donné. Elle marque surtout le démarrage de la saison sur le continent européen et plus particulièrement ici sur le territoire français. Comme c’est de tradition, il s’agira d’effectuer une boucle autour de Marseille, qui sera à la fois le lieu de départ et d’arrivée. En ce qui concerne le tracé, il fera exactement 145,3 kilomètres e sera vallonné promettant une course animée marquée par plusieurs offensives comme l’an dernier. C’était Alexandre Geniez (AG2R La Mondiale) qui l’avait finalement remporté au sprint devant Odd Christian Eiking (Wanty-Groupe Gobert) et Lilian Calmejane (Direct Energie). Parmi tous les partants, ces trois coureurs seront bien présents pour tenter de signer une deuxième victoire de rang ou bien pour accéder à une place plus haute sur le podium selon les cas.
Tout savoir sur le Grand Prix Cycliste La Marseillaise 2019
C’est parti pour la première course en France ! Avec le Grand Prix Cycliste La Marseillaise, c’est la saison qui démarre pour de nombreux coureurs. C’est notamment l’occasion de voir quelques uns des meilleurs coureurs français au départ, mais pas seulement. Cette course disputée sur un jour et avec des coureurs ayant des états de forme loin d’être égaux, il faut s’attendre à une course de mouvement. D’ailleurs, le parcours durci depuis l’an dernier avantage encore un peu plus les attaquants. Usant dans son intégralité, il requiert d’être déjà en bonne condition afin de pouvoir prétendre à un très bon résultat. Ces deux dernières années, c’es un Français qui s’est imposé, en l’occurrence Alexandre Geniez qui est le tenant du titre et Arthur Vichot. La passe de trois sera peut-être pour ce week-end.
Parcours du Grand Prix Cycliste La Marseillaise 2019 (1.1)
Dimanche 3 février – Marseille / Marseille (145,3 km)
Dès l’entame, les coureurs sauront à quoi s’attendre durant cette journée. Avec des premiers kilomètres certes pas très pentus mais constamment en faux-plat montant, les attaques devraient avoir lieu afin de se positionner en tête de course. Et même si ce n’est pas sur des difficultés répertoriées, elles ne seront pas de tout repos. Dans tout le tracé, les phases de plat sont même rares à la différence des montées qui vont s’enchaîner. Le Col du Pas de la Couelle surnommé le Petit Galibier (7,6 à 3,7%) et le Col de l’Espigoulier (11,3 km à 4,3%) seront à franchir avant d’atteindre la mi-course. Puis, un peu moins difficile le Col des Bastides représentera tout de même un obstacle tout comme le Pas de Bellefille (3 km à 5,6%). Ce sera alors le moment de se confronter au plus gros morceau le Col de Cretes (4,3 km à 7,4%). C’est ici que des coureurs plutôt catalogués puncheurs et grimpeurs devront faire la différence. La dernière difficulté, pour ne pas changer, sera le Col de la Gineste (9,3 km à 3,1%). Quand son sommet sera passé, il restera moins de dix kilomètres pour atteindre la ligne d’arrivée à Marseille.