Tous les matins je monte la côte des Gentilles Dames
Tous les matins je monte la côte des Gentilles Dames
Pas si gentilles que cela les Gentilles Dames
Pas si gentilles que cela les Gentilles Dames
Je mets toujours le pied à terre
Sinon je m’en vais en arrière
Tous les soirs je descends la côte des Gentilles Dames
Tous les soirs je descends la côte des Gentilles Dames
Gentilles qu’elles sont les Gentilles Dames
Gentilles qu’elles sont les Gentilles Dames
Je rentre vite chez mon père
Pour vite embrasser ma mère
C’est pas possible ça ! Il faut jamais mettre pied à terre ! De céder ainsi, Jean Robic -et tant d’autres- en serait tombé malade…plutôt tomber au sol, aurait dit le Jeannot…En fait , ça dépend bien sûr de chacun, c’est une question de pente bien entendu, mais surtout une question de penchant ou de descendence, si on vous pousse ou pas..Que ce soit dans la montée ou à vouloir faire des courses…Les courses à vélo mais aussi celles avec ou sans sacoches, etc….