Contrairement à la plupart des formations, l’équipe Astana ne présentera que six coureurs au départ du Tour de la Provence (10 au 13 février). Et c’est une modeste équipe Kazakhe qui tentera de remporter au moins une étape. Concernant un éventuel bon résultat au classement général de la part de l’un ou de l’autre, la question est posée …
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Astana fera comme elle le pourra
A la prise de connaissance de l’effectif de l’équipe Astana, force est de reconnaître que ses coureurs ne pourront que créer la surprise. Sur le papier, à priori, il n’y a pas grand chose à espérer au classement général. Celui qui est attendu au tournant depuis deux saisons déjà, c’est le champion du monde des U23, Samuele Battistella. Depuis son passage dans les rangs professionnels, l’Italien a obtenu quelques résultats mais pas la moindre concrétisation. Un peu dans le même registre, Michele Gazzoli, lui aussi sera attendu par tous les observateurs, lui qui arrive de quatre années en Continental. L’an passé, il a été battu au Mondial de Leuven (4e). A noter que tous ces coureurs effectueront leurs tout premiers tours de roue en compétition cette saison. Pas un seul d’entre eux a couru en Espagne, aux Emirats arabes ou encore en France.
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La composition Astana Qazaqstan sur le Tour de la Provence
Simone Velasco (Italie – 26 ans), Artyom Zakharov (Kazakhstan – 30 ans), Samuele Battistella (Italie – 23 ans), Leonardo Basso (Italie – 28 ans), Michele Gazzoli (Italie – 22 ans) et Gleb Brussenskiy (Kazakhstan – 21 ans)
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C’est l’équipe d’italie…?
Des italiens et des kazakhs au départ… Ils sont six, mais avec le Covid, les équipes ont parfois du mal à partir à sept. Cela donne envie d’aller voir Wikipédia, pour y constater qu’il y a cette année, avec ce retour de Vinokourov, sur les vingt-neuf coureurs, treize italiens et dix kazakhs, cinq directeurs sportifs italiens, etc… Pour y arriver, il faut rapidement passer sur l’histoire ou les histoires de l’équipe, il faut un peu de courage, c’est assez long à lire…