Vainqueur déjà la veille sur le Tour de Pologne, Pascal Ackermann a récidivé à l’occasion de la deuxième étape. Dans cette arrivée massive, l’Allemand a dominé José Alvaro Hodeg (Quick-Step Floors) et Giaccomo NIzzolo (Trek-Segafredo). Il conforte du même coup sa première place au classement général.
Pascal Ackermann, le plus fort des sprinteurs au Tour de Pologne
Trop fort ! Comme lors de la première étape, Pascal Ackermann a imposé sa puissance au reste de la concurrence, qui n’a rien pu faire. La victoire de l’Allemand a même été plus impressionnante, car cette fois-ci il est parti de plus loin pour dépasser l’ensemble des sprinteurs. Avec une certaine aisance, la victoire décrochée aujourd’hui a confirmé sa grande forme du moment. Seul vainqueur d’étape pour le moment sur le Tour de Pologne, le coureur de Bora-Hansgrohe a aussi remporté la Ride London Classic le week-end dernier sans oublier son sacre national il y a un mois. En ce moment, il est vraiment inarrêtable.
Cette emprise d’Ackermann pourrait en plus se confirmer une nouvelle fois pour la troisième étape. A l’image des deux premières journées, le parcours sera dénué de grosses difficultés et devrait logiquement convenir aux sprinteurs engagés sur cette édition. Et donc, par conséquent au porteur du maillot de champion d’Allemagne qui est dans une spirale extrêmement positive. Un triplé de sa part est tout à fait envisageable, voire même fortement probable tant la domination est visible.
https://twitter.com/SpinazzeRobert/status/1026153930990993413
https://twitter.com/GroupamaFDJ/status/1026150913050849281
#TDP2018
GC dopo la 2° tappa pic.twitter.com/Q9WrY1TtIS— AndyCyclingNews (@AndyCyclingNews) August 5, 2018
Bravo julian allaphilipe
On retrouve un peu les mêmes que la veille derrière le plus fort sprinter du lot, notamment Hodeg et Nizzolo… Côté français, Venturini fait dans le top 10 comme la veille, de même que Sarreau, dans un sprint grande vitesse… Nous observions bien sûr N.Bouhanni qui semblait se débrouiller seul au sein de son équipe mais qui était bien placé dans la roue d’Ackermann jusqu’au kilomètre. Il fut ensuite englouti par la meute et sembla se désintéresser de la recherche d’une place d’honneur… 18é au final, le sprinter de la Cofidis n’apparait pas dans de trés bonnes dispositions, à tous points de vue…