Tadej Pogacar, double vainqueur des Strade Bianche, vise un troisième sacre historique le 8 mars 2025. Seul face à une concurrence clairsemée (absence de Vingegaard, Evenepoel, Van der Poel, Van Aert), le Slovène semble promis à la victoire. Tom Pidcock et Marc Hirschi seront ses principaux rivaux, mais Pogacar, fort d’une équipe solide (Wellens, Del Toro, Novak, Vermeersch), est le grand favori. Des outsiders comme Kwiatkowski, Mohoric, Landa, Madouas, Grégoire et Vauquelin tenteront de créer la surprise sur les 213 kilomètres de cette course mythique.
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Tadej Pogacar (UAE Emirates-XRG) s’apprête à marquer un peu plus l’histoire des Strade Bianche ce samedi 8 mars. Déjà double vainqueur, le Slovène vise une troisième victoire qui le placerait aux côtés de Fabian Cancellara, recordman de l’épreuve. Un exploit à portée de main tant la concurrence semble clairsemée cette année.
Une liste de départ qui interroge
Le peloton s’élancera de Sienne pour 213 kilomètres de course, dont 82 kilomètres de chemins blancs. Mais un constat s’impose : les grands rivaux de Pogacar ont déserté. Pas de Jonas Vingegaard, de Remco Evenepoel, de Mathieu Van der Poel ou de Wout Van Aert. Le Slovène sera bien là, fidèle à ce rendez-vous qu’il ne manque presque jamais depuis 2019.
Si Marc Hirschi (Tudor Pro Cycling) et Tom Pidcock (Q36.5 Pro Cycling Team, vainqueur en 2023) seront présents, peuvent-ils réellement menacer le champion du monde ? Le Britannique, en quête de renaissance après une fin de parcours compliquée chez INEOS, connaît bien ces chemins escarpés. Hirschi, en forme en ce début de saison, doit encore prouver en Toscane.
Un favori incontesté
Difficile d’imaginer un autre scénario que celui de l’an dernier. En 2024, Pogacar avait écrasé la course en attaquant à plus de 80 kilomètres du but, reléguant son dauphin Tom Skujins à 2’44’. Cette année, le Slovène pourra encore compter sur une équipe entièrement dédiée : Tim Wellens, Isaac Del Toro, Domen Novak et Florian Vermeersch veilleront à contrôler la course.
« Rien ne dure éternellement… Un jour, je gagnerai moins de courses« , a confié Pogacar en conférence de presse. Mais samedi, il semble difficile d’imaginer qui pourrait l’empêcher de régner une fois de plus sur les Strade Bianche.
Des outsiders en embuscade
Si l’issue semble écrite, certains outsiders tenteront de déjouer les pronostics. Parmi les coureurs engagés, Michal Kwiatkowski (INEOS Grenadiers), ancien vainqueur, apportera son expérience. Matej Mohoric (Bahrain Victorious) et Mikel Landa (Soudal Quick-Step) ont les capacités pour jouer les trouble-fête. Côté français, Valentin Madouas (Groupama-FDJ), Romain Grégoire (Groupama-FDJ) et Kévin Vauquelin (Arkéa-B&B Hotels) espèrent créer la surprise.
Rendez-vous ce samedi 8 mars pour suivre en direct à la TV une édition des Strade Bianche où Pogacar, plus seul que jamais, tentera d’écrire une nouvelle page de sa légende.
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vout van art et vanderpoel sont des poules mouillées ils veulent pas s affronter pogy.
On a le cadre, les décors sont magnifiques, et on voit déjà le tableau : toutes les palettes de l’arc-en-ciel dans les terres de Sienne, etc… Car le gars n’est pas là pour amuser la galerie, c’est de l’art contemporain, sans la signature de l’artiste ça vaut rien… Attention : un seule couche peut suffire, et ça peut même se déchirer Après, il y a toujours des descentes aux enfers, des martyres ou des crucifixions, mais plus loin, à un autre étage, il faut changer de niveau; ça dépend si on veut tout voir, et tout ne se montre pas. Il y a de tout, des gars sur la touche, des expressionnistes, des impressionnistes, forcément un Turner, etc…