500 000 euros. C’est la somme que ne gagnera pas Romain Bardet !

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Romain Bardet dans la compo AG2R La Mondiale en Andalousie
Romain Bardet sur le Tour d'Andalousie comme en 2015. Crédit photo : Twitter @romainbardet

Des sous, du fric, de l’oseille, il est temps d’en parler à deux jours de la fin de la Grande Boucle. Intéressons-nous seulement à ce que va gagner son vainqueur. Christopher Froome (Sky) doit certainement sa fortune aux trois précédents chèques gracieusement remis de la main du trésorier du Tour de France. La 104e édition va le sacrer pour la quatrième fois et la conquête somme de 500 000 euros lui sera remise au soir de l’arrivée sur les Champs-Élysées. Romain Bardet, quant à lui, finira deuxième ou troisième sur la boîte, riche d’une nouvelle expérience humaine qui ne s’achète pas.

Romain Bardet est déjà l’un des plus gros salaires du peloton

L’argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue. C’est lui faire une place dans un état à atteindre en lui donnant la valeur qualitative de rendre heureux. Chose totalement subjective et qui reste à prouver pour tout un chacun. En ce qui concerne Romain Bardet (AG2R La Mondiale), sa popularité qui aura des allures Poulidoresques s’il se classe deuxième du Tour de France 2017 après avoir obtenu cette place en 2016, s’enrichira tout de même de 200 000 euros ou 100 000 si Rigoberto Uran (Cannondale-Drapac) lui chipe la place de dauphin. L’une des deux sommes sera à partager avec son équipe et l’encadrement, pour les remercier de leur investissement dans la course au titre. Il ne manquerait plus que ça qu’il se barre avec tout ce fric pour aller faire la fiesta aux Bahamas où en Auvergne ! Une victoire d’étape, celle de Peyragudes plus une place sur le podium à Paris devrait lui valoir à nouveau une belle augmentation de son salaire. Contrat revu à la hausse et les sponsors privés qui devraient affluer d’ici quelque temps, si ce n’est pas déjà fait avant même qu’il descende de son vélo sur les pavés de sa relative gloire ou tout reste encore à prouver…

Ah si j’étais riche diguedadedadedadedadedadedadedaaaah!

Bon, on peut dire que Romain Bardet est un homme riche. Son salaire annuel est de l’ordre de la moitie du prix d’une Bugatti Veron et la prime à la casse, non pardon, les primes qui vont tomber à la fin du Tour devraient largement couvrir ses frais d’essence à l’année s’il décidait de s’offrir un Clio 1.9 d’occasion ou même neuve, sois fou Romain ! Le bonhomme a l’air plutôt réfléchi et veut donner du sens à sa vie sans forcément vouloir épater la galerie. Celle où il va raccrocher son vélo dimanche soir avec les poches pleines de belles images qui construisent au fil du temps son album de souvenirs impérissables sur le Tour de France.

Vidéo – J’aimerais tant revoir Peyragudes, cette victoire devant tous ces gens….

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