Fils et portant le même prénom que son père, Raimondas Rumsas (23 ans) a été suspendu de toutes compétitions cyclistes. En cause, un contrôle positif début septembre à une hormone de croissance.
Raimondas Rumsas pris pour dopage
On pourrait croire à une mauvaise blague ? Mais non, c’est bien la réalité. La famille Rumsas est une nouvelle fois liée au mot dopage, en une décennie d’écart. Cette fois, après Raimondas père, place au fils du même nom. Seulement 23 ans, mais déjà les mêmes manières utilisées, les plus détestables en ce qui concerne le sport de haut niveau, et particulièrement le cyclisme. C’est en Toscane, lors d’un contrôle hors compétition que le destin du Lituanien a basculé et pris malheureusement le chemin de son père. Mais comment pouvait-il en être autrement ? Le résultat a été sans appel, il est positif à cause d’une hormone de croissance. Avec cette nouvelle révélation de la Corriere della Sera, cela montre bien que l’utilisation de produits dopants fait office d’habitude chez les Rumsas.
Une famille détestable
En plus, dans cette affaire, ce qui peut paraître aussi fou c’est que le coureur contrôlé positif, Raimondas Rumsas était dans l’équipe dirigée par son père. Impossible d’imaginer que l’ex 3e du Tour de France 2002 à l’époque avec la Lampre ne soit pas au courant. C’est même le quotidien italien qui révèle un fait effarant. « Les enquêteurs ont noté que des coureurs se déplaçaient régulièrement du chalet (où logeaient les coureurs de l’équipe) au domicile des Rumsas ». Un retour vers les pires années du cyclisme, mais pas si étonnant que ça en connaissant le lourd passif de Raimondas Rumsas. Décidément, on ne se refait pas. En y touchant une première fois, la famille a toujours gardé la main dedans. C’est un nouvel épisode noire de cette saga qui intervient seulement quelques mois après la mort de Linas Rumsas, l’autre fils victime d’un arrêt cardiaque.
Fiche du coureur
En effet, c’est un mauvais jeu de famille… Je demande la mère… Souvenons-nous de sa parfaite entente avec son époux, et c’est par elle que le père avait été pris par l’attrape ouille.. aie aie…La patrouille… Voici donc le fils… Confirmant en quelque sorte l’adage bien connu en sport : « L’avaleur n’attend pas le nombre des années »…
Par contre, vous rapportez qu’un fils est décédé d’un arrêt cardiaque ?…Voilà qui refroidit l’ambiance…