Après s’être extrait de l’échappée et au prix d’un splendide final, Nans Peters (AG2R La Mondiale) est allé décrocher la victoire lors de la 17e étape de ce Giro 2019. Le Français débloque en même temps son compteur chez les professionnels. Impuissants, Esteban Chaves (Mitchelton-Scott) termine deuxième à 1’34 et Davide Formolo (Bora-Hansgrohe) troisième à 1’51. Dans la course pour le général, les coureurs de Movistar Mikel Landa et le maillot rose Richard Carapaz ont montré leur supériorité tandis que Vincenzo Nibali (Bahrain Merida) a montré quelques signes de faiblesse.
Cette journée, il ne l’oubliera jamais ! Nans Peters vient de devenir un vainqueur d’étape du Tour d’Italie. Son succès a été décroché après un formidable numéro dans le final. Réussissant dans un premier temps à prendre l’échappée, il a alors pris plusieurs minutes d’avance avec ses seize compagnons. Et puis, à seize kilomètres, son unique attaque va s’avérer décisive et laisser sur place tout le reste du groupe. Personne ne faisant l’effort derrière, l’écart a grandi jusqu’aux environs de la minute, ce qui était déjà trop tard pour inverser la tendance. Ne butant pas dans la montée vers Antholz/Anterselva, le coureur AG2R La Mondiale a pu savourer jusqu’à la ligne d’arrivée.
C’est évidemment à ce jour le plus grand exploit de sa carrière. A 25 ans, Peters vient de se révéler aux yeux du grand public, car il y a avait du très beau monde dans l’échappée. Le Français s’est permis le luxe de battre notamment Etseban Chaves (Mitchelton-Scott), Davide Formolo (Bora-Hangsrohe), Fausto Masnada (Androni Giocattoli – Sidermec) et Thomas De Gendt (Lotto Soudal), rien que ça. C’est dire l’ampleur de sa performance, qui confirme encore plus son Tour d’Italie remarquable. Après avoir porté le maillot du meilleur jeune sur la première partie de ce Grand Tour, il ne pouvait pas rêver mieux. De quoi finir ces trois semaines totalement libéré de toute pression avec le sentiment du devoir accompli.
Carapaz solide, Nibali faiblit
Pour d’autres, jusqu’à dimanche, il ne va pas falloir relâcher la pression et surtout pour les coureurs concernés par le général. Dans cette étape, l’explication a eu lieu dans les ultimes kilomètres menant à Antholz. Mikel Landa s’est montré particulièrement tranchant en reprenant du temps à tous sans exception. L’Espagnol qui est sorti seul à quelques kilomètres du but a finalement terminé douze secondes devant Carapaz le maillot rose et Miguel Angel Lopez. Le leader su classement général a de nouveau prouvé sa force sur cette courte ascension et montré qu’il sera difficile de le déloger de sa première place.
En plus, au terme de cette 17e étape, l’Equatorien possède encore plus d’avance. Cela s’explique du fait que Nibali a été mis légèrement en difficulté. Perdant sept secondes par rapport à son plus grand rival pour la victoire finale, l’Italien est désormais à 1’54. Il ne va lui rester plus que trois opportunités d’ici l’arrivée de ce Giro pour inverser la tendance. C’est loin d’être gagné surtout au vu de sa condition du jour. Mais cette édition a déjà montré que rien n’était gagné d’avance.
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Top-10 on Stage 17 #Giro pic.twitter.com/SvJzVITHZl
— the Inner Ring (@inrng) May 29, 2019
La genera queda así tras la etapa de hoy. #Giro #Giro102 pic.twitter.com/rSbrO5F4rF
— Alpe__dHuezBT (@Alpe__dHuezBT) May 29, 2019
Ah oui alors ! A la senrprise générale, avant les putes les plus raides, il a placé sa pine dès que la mente augmentait ! Et alors que beaucoup pensaient qu’il allait se brûler dans la pente, le voici qui gagne à la surprise géniale ! Il a plus le ma le maillot blanc, mais il gagne une belle étape ! Epatant Nans Petens ! Oh pentain ! quelle mine dans la pute !