Les organisateurs du Tour de France ont dévoilé le nom des quatre équipes continentales professionnelles invitées sur sa course. En plus des dix-huit écuries World Tour, trois équipes françaises ont reçu une invitation. Il s’agit sans surprise de Cofidis, Direct Energie et Fortuneo-Vital Concept. Il restait une dernière wild-card à distribuer et c’est la formation belge Wanty-Groupe Gobert qui a obtenu le précieux sésame.
ASO (Amaury Sport Organisation), la société organisatrice du Tour de France a dévoilé le nom des quatre équipes invitées sur la Grande Boucle qui débutera le 1er juillet prochain à Dusserldorf en Allemagne. Elle a donc attribué une wild-card à trois équipes françaises – Cofidis, Direct Energie et Fortuneo Vital Concept – et une belge avec Wanty-Groupe Gobert. Il y aura donc 22 équipe au départ du Tour de France.
La formation Cofidis devrait être axée autour de son sprinteur Nacer Bouhanni qui ira chercher les étapes lors des sprints massifs, tout comme Direct Energie qui pourra compter sur Bryan Coquard. Le formation dirigée par Jean-René Bernaudeau pourra compter également sur l’expérience de Thomas Voeckler – qui participera alors à la dernière course de sa carrière – et de Sylvain Chavanel, tous deux anciens porteurs du maillot jaune et vainqueurs d’étape. Fortuneo-Vital Concept pourra elle aussi miser sur plusieurs terrains dont les sprints avec son jeune coureurs britannique Dan McLay. Enfin, la surprise vient de Wanty-Groupe Gobert qui va participer au Tour de France pour la première fois de son histoire. L’équipe belge qui compte dans ses rangs le spécialistes des flandriennes Yoann Offredo, devrait miser sur son jeune grimpeur Guillaume Martin pour le classement général.
Découvrez les 22 équipes sélectionnées pour le #TDF2017 / Take a look at the 22 teams selected for the 2017 @letour #TDF2017 pic.twitter.com/bjl2w7u5EZ
— Le Tour de France (@LeTour) January 26, 2017
Tant mieux pour Wanty. Dommage pour les équipes françaises, Delko par exemple. Même si ces équipes ont un niveau inférieur, elles devraient participer, il suffirait d’un peu de volonté de la part du ministère, qui accorde le réseau routier et la sécurité…et de l’UCI…Il suffirait de réduire les effectifs d’équipes à huit coureurs, ce qui permettrait à deux équipes supplémentaires de participer, tout en réduisant le peloton, ce qui ne peut qu’améliorer la sécurité des coureurs, une idée qu’a pu exposer G. Savio en Italie …Mais rien n’y fait, le cyclisme populaire ancré dans les territoires, c’est le passé . La seule conception qui vaille est celle du cyclisme vu sous le seul angle marchand dans une version mondialisée …