Mardi 13 mars prendra fin le 53e Tirreno-Adriatico à l’occasion d’un contre-la-montre individuel de 10 kilomètres couru autour de San Benedetto del Tronto. Les coureurs engagés toujours en course s’élanceront de minute en minute jusqu’à ce que les leaders et favoris s’élancent à leur tour. Retrouvez la présentation du parcours étape 7 Tirreno-Adriatico 2018.
Présentation étape 7 Tirreno-Adriatico : 10 Km de chrono
Comme depuis toutes ces dernières années, c’est le chrono individuel de San Benedetto del Tronto qui clôture les sept jours de course de l’épreuve par étape WorldTour Italienne. Par le passé, ce sont exclusivement des spécialistes de l’effort en solitaire à l’image d’un Fabian Cancellara qui s’y sont imposés, et à chaque fois. Et avec un profil d’étape aussi plat et rectiligne dans le final, les spécialistes du 56×11 peuvent envoyer « la bracasse » et accessoirement se faire plaisir. La rampe de départ est située à Viale Tamerici, puis les coureurs longeront la mer. Au kilomètre 4,7 sera pris le seul temps intermédiaire de l’étape 7 Tirreno-Adriatico. Les 2,5 derniers kilomètres en direction de San Benedetto del Tronto seront rectilignes et propices aux records chronométrés.
Les favoris de l’étape et au classement général
Tout se jouera sur les 10 kilomètres du contre-la-montre final pour la victoire au classement général de Tirreno-Adriatico 2018. Du côté de la Team Sky, Chris Froome et Vasil Kiryienka seront les deux grands spécialistes de la discipline au sein de l’équipe Britannique tandis que Michal Kwiatkowski, leader de Tirreno et loin d’être maladroit sur un chrono, fera en sorte de conserver sa maigre avance au classement général face notamment à Damiano Caruso, Mikel Landa ou encore face à Geraint Thomas, son coéquipier de la Sky. En l’absence de Tom Dumoulin qui a abandonné en route et sur chute, Stefan Küng, Primoz Roglic et Tony Martin font figure d’autres favoris candidats à la victoire d’étape. Parmi les autres prétendants à la victoire du jour, Jonathan Castroviejo, Rohan Dennis, Bob Jungels, Alex Dowsett, Rigoberto Uran ou encore Edvald Boasson-Hagen sont à prendre également au sérieux. Et cette liste n’est pas exhaustive.
