Lundi 19 mars se disputera l‘étape 1 du Tour de Catalogne 2018. Les coureurs engagés sur l’épreuve WorldTour s’élanceront de Callela pour effectuer une boucle de 152,3 kilomètres. Au programme de la journée, deux sprints bonification et une seule difficulté de catégorie 3, le Port de Collsacreu et ses 8,3 kilomètres de montée à 2,5% de moyenne. Les sprinteurs devraient, si tout va bien, se jouer la victoire d’étape du jour.
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Tout savoir de l’étape 1 du Tour de Catalogne 2018
C’est ce lundi 19 mars qu’aura lieu l’étape 1 du Tour de Catalogne 2018. Cette étape proposera aux 175 coureurs un profil d’étape le moins accidenté de la semaine. Le peloton s’élancera à 13h15 de Callela afin de faire une boucle de 152,3 kilomètres qui le fera revenir à quelques kilomètres de la ligne de départ. Cette première étape est la plus courte de la semaine et la plus « plate ». Deux sprints bonifications auront lieu. Le premier, à Saint Feliu de Guixols, au kilomètre 47 puis un second, au Platja d’Aro, 5 kilomètres plus loin. La seule difficulté du jour est située au kilomètre 134. Les coureurs passeront à ce moment-là le Port de Collsacreu, col de 3e catégorie long de 8,3 kilomètres à 2,5% de moyenne. Cette étape est normalement réservée aux sprinteurs, mais un puncheur pourrait tenter sa chance et venir déjouer les pronostics.
Les favoris à la victoire de la première étape
Cette première étape devrait voir les sprinteurs se jouer la gagne. Ils n’auront d’ailleurs pas beaucoup d’occasions de se montrer sur ce Tour de Catalogne, il ne faudra donc pas rater le coche sur celle-ci. Et c’est aussi leur unique chance de pouvoir porter le maillot de leader au moins une journée. Néanmoins des puncheurs peuvent très bien venir jouer les trouble-fêtes avec la montée du Port de Collsacreu à seulement 18 kilomètres de l’arrivée. La course risque dans tous les cas de se jouer dans cette ascension, selon si des coureurs tentent de prendre des initiatives ou non. Le premier coureur à porter le maillot de leader devrait être un de ceux là : Nacer Bouhanni, Sam Bennett, Roberto Ferrari, Jay McCarthy ou encore Daryl Impey.
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En effet, il n’y a guère que l’avant-dernière étape qui pourrait éventuellement donner la victoire à un sprinter… A condition que leurs équipes veuillent bien rouler, d’autant plus que les ténors du sprint ne se sont pas bousculés pour postuler au départ…
Ce sera peut-être l’occasion pour N. Bouhanni de se relancer… Aura-t-il retrouvé tout son bonus après sa tronchite ? Si Tasseur lui a payé des ventouses, ça a pu le soulager de pas être à la mitan san Remo… Avec un bon camé au fiel ou du cas lyptus dans les bronches, ça devrait le faire… Ou il n’a qu’à voir en Cabalogne le toss de la sky, le gars s’y connaît en voies respiratoire ! Attention, c’est pas encore gagné pour Bouhanni : ça peut passer, mais il y a des Benett ou des Ferrari qui se sont pas mal requinqué le moteur l’an dernier. Où en sont-ils eux aussi ?