Tosh Van der Sande avance une « erreur matérielle » au contrôle positif

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Tosh Van der Sande se défend
Tosh Van der Sande a gagné une étape du Tour de l'Ain 2016. Photo : James Startt/Agence Zoom/Tour de l'Ain

Déclaré positif aux Six Jours de Gand pour n’avoir pas notifié l’utilisation d’un spray nasal au moment d’un contrôle, Tosh Van der Sande a tenu à répondre. Dans un communiqué de presse diffusé, le coureur belge estime tout simplement que c’est le fruit d’une erreur purement matérielle.

Tosh Van der Sande s’explique après l’annonce de son contrôle positif

Tosh Van der Sande passe à l’offensive. Tout du moins, le coureur de Lotto Soudal a essayé de se défendre à travers un communiqué de presse diffusé. Dans celui-ci, il explique que sa situation est simplement dû à une erreur purement matérielle. Et veut se dédouaner de toute implication dans une affaire de dopage.

« Pendant les Six Jours de Gand, j’ai été contrôlé pour dopage. Le dernier jour, il est d’usage que tous les coureurs qui sont montés sur le podium soient contrôlésJ’ai été très surpris de recevoir une lettre avec un résultat d’analyse non conforme. Mon échantillon contenait de la prednisolone, provenant du vaporisateur nasal Sofrasolone. Ce vaporisateur nasal est disponible gratuitement, m’a été livré par le médecin de l’équipe et est autorisé dans le cadre de la compétition dans la mesure où cela est mentionné sur le formulaire de contrôle antidopage. J’ai pris cet intranasal. Dans la hâte,’Mometasone spray’ a été indiqué sur le formulaire à la place de’Sofrasolone’, qui est utilisé pour les mêmes indications médicales. Il s’agit donc d’une erreur purement matérielle. Dans le passé, j’utilisais les deux sprays nasaux alternativement, toujours administrés par un médecin de l’équipe. »

Pour le moment, suspendu provisoirement par son équipe, Tosh Van der Sande va devoir attendre désormais le résultat de l’enquête de l’UCI qui en dira encore un peu plus sur d’éventuelles sanctions. En tout cas, le Belge est prêt à se sortir de cette situation inconfortable.

« Je vais maintenant, avec mes conseils Johnny Maeschalck et Kristof De Saedeleer et mon manager Jef Van den Bosch, faire le nécessaire auprès de l’UCI et laver mon nom. »

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