Dans une interview accordée à nos confrères de Sporza, David Lappartient a réitéré toute sa volonté de lutter notamment contre le dopage mécanique mais aussi, et désormais qu’il est devenu le Président de l’UCI (Union Cycliste Internationale), il envisage de combattre l’épineux sujet des corticoïdes « dans » et « en dehors » du peloton. Sujet qui lui tient à coeur depuis longtemps et qu’il entend bien mettre à présent en forme puis en application.
David Lappartient devra faire face à l’AMA
Sans nul doute que malgré toute sa bonne volonté, David Lappartient va se heurter à un obstacle qui répond au nom de l’Agence Mondiale Antidopage. La validation de la liste des produits dopants est du ressort de l’AMA et non celle de l’UCI. L’ancien Président de la FFC pourra cependant compter sur le soutien du MPCC présidé par l’ancien patron de l’équipe du Crédit Agricole, Roger Legeay. Au cours de l’interview, David Lappartient a confié : « Je veux mettre ces produits sur la liste des produits interdits. Et même si ce n’est pas le cas, nous pourrions alors aussi améliorer notre approche dans le sport cycliste en imposant par exemple une période de repos pour un coureur qui aurait un besoin de recourir à la cortisone. Et je pense avant tout à la santé du coureur et pas nécessairement au dopage. Nous pourrions alors imposer au coureur une interdiction temporaire de courir, par exemple, le coureur serait suspendu pendant 15 jours et reviendrait quand tout irait bien. Je souhaiterais que cela soit appliqué à partir du début de 2019. »
Et pour conclure, le Président de l’UCI a confié également que dans le cadre de cette lutte à venir, ses bonnes relations avec ASO (organisateur du Tour de France entre autres compétitions) étaient un véritable avantage.
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Un beau challenge .Tout mes vœux de réussite.
Pour une entrée en matière, c’est un peu Legeay…ça fait tellement longtemps que Legeay pleure auprés de l’AMA, qu’ils vont bien arriver à se décider… En 2019, le temps de vider les boites. Comme il le dit très bien, « il pense avant tout à la santé du coureur et pas nécessairement au dopage »…La question du dopage, c’est trop compliqué, on verra plus tard ? …De quoi se chouter que Lappartient ne se boude pas les yeux sur la question, mais presque… Mais vu comment il a serré la vis lorsqu’il était la fédération, par exemple sur la lutte et la réglementation sur le « dopage mécanique », nous voici rassuré, « le changement, c’est maintenant ! »…
C’est un premier pas c’est trés bien………!
C’est le début d’un très très gros chantier(le dopage)…….!
Interdire c’est bien mais il faut aussi se donner les moyens d’appliquer ces interdictions.
Surtout que les grosses équipes(…..?) sont surement passées malheureusement a autre chose……….?
Ainsi va le Monde ainsi va le vélo c’est dans la nature de l’étre humain de tricher……..!