Une étude universitaire néerlandaise plaide en faveur de Chris Froome

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Chris Froome défendu par une étude universitaire
Chris Froome reçoit une aide inattendue de la part d'une étude - Photo : Team Sky

L’affaire concernant Chris Froome et son contrôle anormal au salbutamol connaît un nouveau tournant. La RTBF a relayé l’information que l’Université de Leiden située aux Pays-Bas a sorti une étude qui prend position envers le coureur britannique, critiquant au passage le test de l’Agence Mondiale Antidpoage. Sa conclusion est que leur contrôle pour l’utilisation de médicaments contre l’asthme est fondamentalement défectueux.

Une étude favorable à Chris Froome par rapport au contrôle anormal au salbutamol

A chaque semaine quasiment, un fait évoque le cas Chris Froome ! Son contrôle anormal au salbutamol reste au centre des attentions et cette fois-ci c’est au tour de L’Université de Leiden de s’immiscer dans cette affaire. Son étude publiée la semaine dernière dans le British Journal of Clinical Pharmacology est à la fois très critique contre l’Agence Mondiale Antidpoage (AMA) et aussi retire toutes responsabilités au coureur du Team Sky.

Voici donc un élément qui pourrait être utilisé par la défense de Chris Froome et plus précisément par son avocat Mike Morgan. Depuis plusieurs semaines, ce camp tente de démontrer l’innocence du vainqueur de quatre Tour de France et d’un Tour d’Espagne. en démontrant que les règles de l’UCI et l’AMA n’ont pas été violés. Ce rapport qui va dans leur sens arrive bien évidemment au bon moment. Cependant, pour l’AMA cela ne changera absolument rien. Olivier Rabin, directeur scientifique campe sur ses positions.

« Nous avons lu l’étude. Notre position ne changera pas. La limite de 1000 nanogrammes est basée sur l’analyse de la littérature des vingt dernières années en ce qui concerne le salbutamol. » Froome sauvé par une étude de l’Université de Leiden ?

En détail l’étude affirme dans ses termes précis que « le test actuel au salbutamol est obsolète et doit être révisé. Lors de l’utilisation de la dose maximale autorisée, le nombre de tests faussement positifs peut augmenter à 15,4 pour cent, Une marge d’erreur inacceptable pour un contrôle anti-dopage. Le fait qu’un athlète soit considéré coupable dans ce cas est totalement inacceptable. » Et cette même étude plaide pour un nouveau test, en ajoutant qu’elle s’interroge également sur l’effet d’amélioration de la performance du médicament contre l’asthme à fortes doses.

1 COMMENTAIRE

  1. Cela en devient pathétique …………Toute cette histoire me donne la nausée .

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