N’ayant pas pu avoir lieu à la date prévue (5 avril) du fait de la pandémie du coronavirus, le Tour des Flandres cherche à se trouver une nouvelle place dans le calendrier de cette saison. Il se pourrait bien que l’un des cinq Monuments se dispute le 19 septembre prochain à la place du GP Impanis, mais cela reste encore à confirmer officiellement.
Le Tour des Flandres 2020, d’avril à septembre ?
C’est une idée qui commence à faire son chemin. Et si le Tour des Flandres était reprogrammé pour la fin de l’été ? Selon le quotidien flamand Het Nieuwsblad, cette option est sérieusement envisagée pour un Ronde le 19 septembre prochain soit plus de cinq mois par rapport à sa date d’origine. En fait Peter Van Petegem, ancienne gloire du cyclisme avec deux Tour des Flandres et un Paris-Roubaix remportés, serait prêt à laisser de côté sa course le GP Impanis au profit du Tour des Flandres. Le principal intéressé a confirmé que des discussions étaient en cours.
Se placer dans un calendrier modifié
Pour le moment, faute d’avoir une vraie course, le Tour des Flandres a dû se contenter d’une version virtuelle. Rassemblant un large public, elle a permis à Greg Van Avermaet (CCC Team) de s’imposer, mais évidemment cela n’a aucun rapport avec la réalité. Tout est fait en sorte que la 104e édition de l’une des plus grandes courses se tienne cette année, mais reste encore à bloquer une date définitivement. Forcément compliqué alors qu’il n’y a aucune perspective sur la sortie de cette crise sanitaire. « La décision concernant une nouvelle date revient à l’UCI et non à nous. Nous avons parlé avec le GP Impanis pour être sûr qu’une solution pouvait exister » a expliqué Tomas Van den Spiegel le patron de Flanders Classics. « Mais ce n’est pas encore un Plan B, c’est l’UCI qui doit définir le nouveau calendrier. Nous ne voulons pas faire cavalier seul. »
La décision reviendra en premier lieu aux « autorités sanitaires »… Ce sera quand même mieux que prise par des astrologues ou par différents apprentis astronautes de l’UCI, ou bien par des spécialistes en projets illusoires ou formes curieuses d’expéditions inabouties ou qui explosent en vol, comme cette espèce de navette, le « Paris-Nice », contrainte d’atterrir en douceur, en raison des vents contraires, au sommet de la Colmiane, non loin de la frontière italienne…
Tous les coureurs masqués en plus des lunette et du casque ça va pas être facile pour les reconnaitre . Peut être qu’avec le tracking on y verra plus clair !