J’ai quelque chose à vous dire. J’ai découvert un journaliste sportif il y a quelques années de cela et aimé sa façon agréable d’adresser la parole aux téléspectateurs qui sont souvent critiques derrière leur téléviseur envers ceux qui font vivre les exploits des Forçats de la route et du sport en règle générale. J’ai vu en ce grand échalas qui porte bien la chemise bleu ciel de France Télévisions, une essentialité à ce monde des médias qui très souvent respire plus l’hostilité que la cordialité en perte totale de ses repères où l’ego est en territoire très occupé. Oui, j’ai l’impression qu’il est vraiment sympa Nicolas Geay.
Nicolas Geay d’avant et d’après étape. Mais pas assez à l’antenne
Commentateur du Tour de France sur une moto de 2011 à 2016, Nicolas Geay a pris le relais de Gérard Holtz pour les interviews d’avant et d’après étape du Tour de France. Il la résumait jusqu’en juillet dernier avec l’ancien consultant Cédric Vasseur dans l’émission Vélo Club présenté par Laurent Luyat. Devenu manager de l’équipe Cofidis il laissera sa place à Thomas Voeckler sur la prochaine Grande Boucle. Nicolas Geay est aussi commentateur en studio durant la journée de repos d’Alexandre Pasteur, car sur une course comme Paris-Nice, les journalistes n’ont pas le droit de travailler sept jours de la semaine. Seulement moi j’aimerais bien voir un peu plus longtemps à l’antenne, du moins entendre davantage l’agréable voix pleine d’entrain et de sympathie de Nicolas Geay.
Paris-Nice 2018 : Tout savoir de la course étape par étape
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— Nicolas Geay (@Nicogeay) March 6, 2018
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Nicolas Geay c’est mon meilleur pote dans la cour de l’école
Geay me fait penser à un grand enfant toujours souriant et heureux de vivre parmi le présent des souvenirs inventés de mon passé. Geay est un bon copain de classe à qui je parle de cyclisme dans la cour de l’école, parce que les autres écoliers ne parlent que de football, de cartes Pokemon et de toupies Beyblade Burst. Geay me confie dans nos parties de billes avec des petits coureurs, qu’il a le rêve récurrent de commenter les courses cyclistes à la télévision. Geay est un élève qui dit toujours à la fin de celles-ci, « À vous les studios, à vous Cognacq Jay ! »
C’est un journaliste dans le paysage, mais sur lequel on ne s’attarde pas beaucoup. Il fait sympathique et sans histoire, un peu comme un oiseau, comme par exemple son homonyme, le geai. Le geai que l’on trouve souvent prés des chênes, c’est peut-être pour ça qu’il est sur la deuxième. L’oiseau est de la famille des corbeaux et des pies, mais ce geay ne fait vraiment pas charognard . Quoi qu’attention, La Fontaine en parle comme d’un oiseau sachant parfaitement se dissimuler sous différents déguisements, des plumes, mousses, etc… En fait, ce qui l’intéresse surtout, c’est les glands; Parfois, il se fait aussi des noix, des trous dans les coquilles, etc… Par contre il a des prédateurs, comme toutes les espèces. Ne me parlez pas du faucon, on en voit de plus en plus, et c’est le pire !. Il n’en reste pas moins que c’est l’un des oiseaux les plus intelligents, un peu d’ailleurs comme les corbeaux…. Que dire de plus ?… J’oubliais une chose : en trimbalant des glands, il sême des chênes un peu partout, et pourtant, figurez-vous qu’en France le geai n’est pas une espèce protégée, contrairement par exemple à la Belgique… Espérons que Nicolas Geay gardera son poste à la télé et qu’il ne sera pas chassé par un prédateur quelconque… Au fait, à la télé, si Voeckler arrive à la moto, il pousse l’Adam à la mâchoire, à la porte ? ça doit être dur de se faire un nid à la télé… Même pour un Geay.. Mais celui-ci y arrive, sans faire de bruit.
Je suis bien d’accord avec ce que vous dites
Il coupe souvent la parole a Jalabert . il donne l’impression de tout connaitre . Prends Thomas voekler pour un idiot , il dit n’importe quoi ! Et ne connaît rien au sport cyclisme . Ce gars n’est pas bon !
Ce journaliste est d’une platitude absolue. Il parle trop et trop platement. En plein direct, il ne fais que sortir sa science plutôt que de faire vivre les moments techniques de cyclisme. Jalabert parle plus de cyclisme. Comme Jean-Paul Loth parlait vraiment de tennis. Les autres ne font que des pirouettes verbales. Ce type en fait des caisses, parle d’histoire (ô, monsieur étale sa science) et de statistiques en plein sprint : il saoûle purement et simplement.