Lié depuis six saisons à l’équipe Fortuneo Samsic, Pierre-Luc Périchon va connaître un nouvel environnement à compter de l’année prochaine. Le site de L’Equipe annonce que le coureur français quittera la formation bretonne dirigée par Emmanuel Hubert dans quelques semaines pour se diriger vers Cofidis managé par Cédric Vasseur.
Pierre-Luc Périchon dans une autre équipe française
Après avoir passé un certain nombre d’années dans le même effectif, Pierre-Luc Périchon a décidé de se lancer dans un nouveau défi. Celui-ci se fera à compter de 2019 avec la formation nordiste Cofidis, qui évolue aussi au niveau Continental Pro (2e division). Pour les deux prochaines années, le Français courra pour cette équipe qui l’a convaincu de rejoindre ses rangs. Avec déjà 21 victoires acquises cette année, le pouvoir d’attraction de Cofidis est forcément reparti à la hausse avec de tels résultats. Après avoir connu plusieurs saisons plus ou moins compliquées, 2018 marque un retour au premier plan et sur des course majeures du calendrier. Le Tour d’Espagne disputé actuellement en est la preuve parfaite avec des coureurs qui ne cessent de peser sur la course.
C’est dire à quel point cette formation a incontestablement retrouver un second souffle ces derniers mois. Cela se traduit aussi par une forte activité dans le marché des transferts. Les recrutements censés renforcer l’effectif ont été nombreux ces derniers temps. Filippo Fortin, Zico Waeytens, Jesper Hansen notamment ont déjà signés. Et c’est au tour de Pierre-Luc Périchon désormais de les rejoindre. Equipier modèle, il est aussi capable de briller à titre personnel quand l’opportunité lui est donnée. Vainqueur de la Polynormande en août, le futur ex-coureur a aussi terminé premier tricolore aux derniers championnats d’Europe sur la course en ligne à Glasgow (8e).
Ah oui alors ! Il a quand même gagné la classique entre Limoges et Mende, la Poulidomende, et c’est pas rien cette victoire en Normandie ! Elle a velu si cher pour Parichon, si injustement privé du four de Trance ! J’espère qu’ils vont bien le peyer le Parichon, autant que le Bouhanni !