Primoz Roglic, le coureur slovène, inscrit son nom une nouvelle fois dans l’histoire du cyclisme en remportant sa quatrième Vuelta a España. Après des victoires en 2019, 2020, et 2021, Roglic revient triomphant en 2024, prouvant qu’il reste un des plus grands spécialistes des courses par étapes.
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Cette édition de la Vuelta a été le théâtre d’un duel de titans entre Roglic et les jeunes étoiles montantes du peloton, mais c’est bien l’expérience qui a parlé. Dès la première semaine, Roglic a marqué les esprits en prenant les commandes grâce à une performance éclatante lors du contre-la-montre de Valladolid. Sa capacité à gérer la pression dans les étapes de montagne et à éviter les pièges de la troisième semaine a fait de lui l’homme à battre.
Une domination méthodique et implacable
Sur les étapes pyrénéennes, Roglic a impressionné avec son sens de la gestion et son sang-froid face aux attaques incessantes de ses adversaires. Mais c’est bien dans les descentes techniques et les arrivées en altitude qu’il a montré pourquoi il était un des favoris et candidats à la victoire. Malgré les tentatives d’outsiders et d’adversaires directs, le Slovène a su garder le contrôle et éviter les embûches.
Un soutien collectif sans faille
L’équipe Red Bull – BORA – hansgrohe a démontré sa supériorité tactique, entourant Roglic de coéquipiers fidèles et d’une stratégie millimétrée. Ses coéquipiers ont été des atouts précieux, épaulant leur leader lors des étapes décisives, particulièrement dans les cols les plus éprouvants.
La science du placement et de la récupération a également permis à Roglic de minimiser les risques et d’arriver frais lors des moments clés de la course. Son aptitude à répondre aux attaques tout en gérant son énergie a été impressionnante.
Une quatrième victoire, synonyme de légende
Avec cette quatrième victoire, Roglic entre dans un cercle très restreint de coureurs ayant remporté autant de fois un Grand Tour. Il égalise ainsi d’autres légendes du cyclisme, consolidant son statut d’icône du cyclisme moderne. Son palmarès compte désormais cinq victoires sur les Grands Tours, faisant de lui l’un des coureurs les plus titrés de sa génération.
Cette nouvelle victoire à la Vuelta confirme également que, même à 34 ans, Primoz Roglic reste au sommet de son art. Capable de résister aux nouvelles générations de grimpeurs explosifs, il a su adapter son style pour rester compétitif. La question se pose désormais : jusqu’où ira-t-il ? Un cinquième sacre à la Vuelta ? Une nouvelle conquête du Giro ou du Tour ?
Les chiffres qui marquent l’histoire
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : quatre victoires sur la Vuelta, cinq Grands Tours à son palmarès, dix jours en maillot rouge lors de cette édition 2024 et plus de 35 000 mètres de dénivelé positif surmontés. Ces statistiques témoignent de la domination sans partage de Primoz Roglic sur la course et confirment son statut de grand champion. Grâce à cette quatrième victoire, Primoz Rogliz entre dans le cercle très fermé des quadruple vainqueurs de la Vuelta, partageant désormais ce record avec Roberto Heras
Roglic ne semble pas prêt de s’arrêter. Sa capacité à gérer son calendrier et à rester compétitif sur une longue période force l’admiration, et laisse présager encore de belles années en tête du peloton mondial.
Pour suivre toutes les actualités du cyclisme et ne rien manquer de La Vuelta, rejoignez notre communauté sur Todaycycling. Cliquez ici pour vous abonner à notre newsletter et recevoir les dernières informations directement dans votre boîte mail. Par Alice Imbert
« Dès la première semaine Roglic a marqué les esprits en prenant les commandes par une performance éclatante dans le contre-la-montre de Vallaladolid… Ah bon, un chrono à Valladolid ?… Il a pris le maillot rouge la première semaine ?… Plus loin : » sur les étapes pyrénéennes, Roglic a impressionné… »… Ah bon, cette année, ils sont passés dans les Pyrénées ?… Par Ronceveaux, de nuit ?… Plus loin : « dix jours en maillot rouge lors de cette édition 2024 et 35 000 mètres de dénivelé positif surmonté… »… Ah bon, je croyais qu’il avait pris le maillot rouge à trois jours de l’arrivée ?… 35 000 mètres de dénivelé positif surmontés, moins irréel, un peu différent mais original, car c’est vrai pour tous les arrivants ..
Article né dans une forme assez curieuse d’imaginaire, surréaliste sans l’être totalement… Peut-être écrit sous l’effet du Picon de la dernière montagne ou par abus d’un rioja des étapes précédentes ?!…
Bonsoir. Il est bon le riojat toutalo mais roglig n en boit pas.haha.❤️