Le mercredi 14 septembre prochain se tiendra la 57e édition du GP de Wallonie (1.1). L’épreuve, qui partira de Beaufays et rejoindra la Citadelle de Namur 205,5 kilomètres plus tard, a subi quelques modifications dans son final.
Un final plus difficile
Si l’arrivée du prochain Grand Prix de Wallonie sera jugée au sommet de la Citadelle de Namur comme c’est le cas depuis plus de dix ans, le final, lui, s’est vu quelque peu modifié. En effet, des travaux dans la région namuroise ont obligé les organisateurs à revoir le parcours. Des modifications qui devraient, espérons-le, apporter un peu plus de piment à la course. « Ces changements nous conduisent à orienter le parcours sur des routes plus petites et plus sinueuses qui offrent peu ou pas de récupération aux coureurs », explique Christophe Brandt, l’organisateur de la course, sur le site de la RTBF. « Ces changements vont proposer une course de mouvement et non plus une course d’attente. Nous sommes très curieux de voir ce que cela donnera. Quant au peloton, nous proposons un beau plateau avec des équipes fidèles qui continuent à privilégier le programme européen durable et fiable », poursuit l’ancien coureur auprès de la chaîne belge. L’année passée, l’ancien champion de Belgique Jens Debusschere (Lotto Soudal) avait surpris Jan Bakelants (AG2R La Mondiale) et le Français Christophe Laporte (Cofidis) après une course marquée par des conditions climatiques très difficiles.
Propos recueillis par la RTBF.