Le 4 mai dernier, à moins de 24 heures du départ du Tour d’Italie 2017, l’UCI annonçait le contrôle positif de deux membres de l’équipe italienne Bardiani CSF. Stefano Pirazzi et Nicola Ruffoni avaient immédiatement été suspendus par leur employeur, mais il restait à connaître la décision de la commission de discipline de l’UCI. C’est chose faite aujourd’hui avec l’annonce d’une suspension de Bardiani pour une durée de 30 jours.
Une suspension moyenne pour Bardiani CSF
Alors que son règlement prévoit une suspension de l’équipe incriminée d’une durée de 15 à 45 jours, la commission de l’UCI a adopté une sanction intermédiaire. La fermeté de Bardiani vis-à-vis de ses deux coureurs a sans doute évité la sanction maximale à la formation transalpine. En effet, les deux coureurs avaient été immédiatement exclus du Tour d’Italie, puis licenciés lorsque les échantillons B s’étaient avérés positifs également.
Dans un communiqué publié aujourd’hui, Bardiani CSF annonce qu’elle ne souhaite pas faire appel, mais regrette la sévérité de l’UCI : « L’équipe a l’intention d’exprimer son mécontentement durant toute la durée de la suspension, afin de protester contre le règlement qui prévoit cette punition collective (…) Compte tenu des préjudices déjà subis par l’équipe, tant en termes d’image qu’en termes sportifs, et compte tenu de l’absence totale d’antécédents pour Bardiani CSF, l’équipe espérait bénéficier de la mansuétude de l’UCI ». La formation des frères Reverberi aurait toutefois pu s’en sortir moins bien, aucune sanction n’avait par exemple été prise par l’organisateur du Giro (RC S Sport) au moment des faits…
La suspension prend effet immédiatement, et courre jusqu’au 14 juillet. Initialement engagées sur le Tour d’Autriche, il faudra donc finalement attendre le Trophée Matteotti (16 juillet) pour revoir les couleurs vertes et oranges dans les pelotons.
Les frères Réverbéri ont raison ! On va quand même pas les suspendre à la lanterne ! Laissons courir les innocents ! En attendant, voilà une suspension qui court !
Un mois de congés les pieds dans l’eau en pédalo(Pour garder la forme…?) Pour évacuer la pression » Sex on the beach » cocktails(Margarita…..?) a gogo sans limite de consommation et tout cela sans contrôle inopiné.
De retour ils seront surement chargés d’avoir abusé de Margarita….?
Mais Margarita était bonne………!