Dans le cadre de la lutte antidopage dans le cyclisme, les coureurs ont dû s’habituer (contraints) aux contrôles inopinés aussi bien à leur domicile, qu’en course, que sur un lit d’hôpital, qu’en vacances etc… Désormais, il leur faudra également s’habituer, dans le cadre du dopage technologique, aux contrôles par caméra thermique. Une première réalisée vendredi sur le Tour de France.
La caméra thermique pour détecter un éventuel moteur
Vendredi, à l’occasion de la 7e étape du Tour de France remportée au Lac de Payolle par Stephen Cummings (Dimension Data), les coureurs ont fait l’objet (à l’insu de leur plein gré) d’un contrôle inopiné à la caméra thermique dans le col d’Aspin. L’objectif de cette nouvelle génération de contrôle antidopage permet de détecter l’éventuelle présence de moteurs cachés dans des vélos. Cette première est à l’initiative de Thierry Braillard, le secrétaire d’état chargé aux sports qui s’est félicité de ce contrôle inopiné totalement négatif.
Le contrôle par caméra thermique s’est avéré totalement négatif
A l’arrivée de la première étape pyrénéenne, Thierry Braillard a annoncé que le contrôle par caméra thermique effectué dans le col d’Aspin s’était avéré totalement négatif et a annoncé d’autres contrôles à venir : » Le contrôle d’aujourd’hui s’est avéré totalement négatif. D’autres seront à venir sans qu’on sache le moment et le lieu. «
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