Contrôlé positif à la veille du départ du Tour d’Italie qu’il n’a donc pas pris, Nicolas Ruffoni s’est défendu sur son compte Facebook. Le coureur de la formation Bardiani-CSF assure n’avoir jamais utilisés de produits interdits, et cherche à trouver une explication.

Nicola Ruffoni nie le fait de s’être dopé avant le Tour d’Italie

« Je n’ai jamais et je dis jamais, utilisé de produits interdits par le règlement antidopage pendant ma carrière de cycliste« . C’est par cette affirmation que Nicola Ruffoni a répondu sur son compte Facebook, à son contrôle positif aux hormones de croissance. Suspendu provisoirement, tout comme son compatriote et coéquipier Stefano Pirazzi, Ruffoni déclare n’avoir rien changé dans son mode de vie : « Mes habitudes alimentaires n’ont pas changées dans les derniers mois, tout comme mon style de vie. »

Ruffoni avance une éventuelle explication de ce contrôle positif

 
Malade durant le mois précédant le contrôle, Nicola Ruffoni pense que ce sont peut être les antibiotiques ingérés qui ont causé cette positivité. « La chose qui pourrait avoir rapport avec la présence d’hormones de croissance dans mes urines pourrait être une prostatique forte dont j’ai souffert dans la période du 20 mars au 20 avril et qui m’a contraint à suspendre l’activité et à me soigner avec des antibiotiques.« 

Le coureur de la Bardiani-CSF, 26 ans seulement, et qui s’apprêtait à disputer le Giro 2017, veut faire la lumière sur cette affaire qui entache, une énième fois, l’image du cyclisme. « Je m’adresserai donc à un endocrinologue expert pour avoir des renseignements à ce propos. Je suis conscient qu’il y a un risque pour ma carrière de cycliste mais je suis tout aussi conscient de ne pas avoir été mis dans aucune procédure d’escroquerie. J’attendrai donc sereinement les contre-analyses et je tâcherai de défendre de bout en bout ma crédibilité. »

Comme en 1991, la ville d’Olbia est doublement ville-étape du Giro 2017. Ainsi, la deuxième étape du triptyque sarde de ce Tour d’Italie, emmènera les coureurs d’Olbia vers Tortoli, ville située plus au centre de l’île. Si ces deux villes sont presque côtières, les coureurs ne verront pas la méditerranée aujourd’hui. Une incursion dans les terres est prévue, qui devrait favoriser un durcissement de la course.

2e étape du Giro 2017 : profil et analyse

En passant en Sardaigne, le Giro ne pouvait pas faire l’économie de ses belles montagnes et notamment du massif du Gennargentu. C’est donc naturellement que le peloton fera une incartade au sein de ce massif. Plus accidenté que la veille, le parcours comporte deux difficultés répertoriées. Le Nuoro, classé en 3^e catégorie, est situé à mi-course et ne devrait décider ni de l’échappée, ni du vainqueur. Il pourrait en être différemment du Passo Genna Silana. En effet, l’ascension compte 27 kilomètres et pourrait faire mal aux jambes, d’autant plus que nous n’en sommes qu’à la deuxième étape…

Comment suivre l’étape – Informations pratiques

Départ de l’étape à 11h50 et arrivée prévue entre 16h58 et 17h30. A noter que les coureurs seront au pied du Passo Genna Silana au plus tôt à 15h15. Son sommet est situé à 46 km de l’arrivée.

L’étape est retransmise sur L’Equipe 21 à partir de 13h50.

Giro 2017 – Top 10 de la 1e étape (Alghero-Olbia)

Vainqueur surprise de la première étape du Giro 2017, Lukas Postlberger ne réalise toujours pas ce qu’il a fait. Alors que les sprinteurs étaient attendus au terme des 206 premiers kilomètres, l’Autrichien de l’équipe Bora-Hansgrohe est parvenu à déjouer les plans du peloton.

Lukas Postlberger : « J’ai appris de Peter Sagan »

C’est à la radio que s’est jouée la victoire de Lukas Postlberger. Alors que l’Autrichien était à l’avant du peloton pour travailler pour son sprinteur Sam Bennett, ce dernier lui a dit d’y aller seul lorsqu’il a vu un trou se former petit à petit. « J’ai entendu Sam Bennett crier à la radio ‘Pösti, vas y maintenant !’ quand j’ai eu un écart, se rappelle le vainqueur d’étape. C’est la meilleure journée de Bora sur le Giro. C’est aussi le plus grand résultat de ma carrière. J’ai besoin de temps, quelques semaines peut-être et quelques verres de vin pour réaliser ce que j’ai fait. Ce n’était pas prévu, mais c’est le cyclisme. J’ai appris de Peter Sagan qu’il fallait s’amuser et prendre toujours le côté positif, même s’il neige comme au Tour de Romandie la semaine dernière. »

Première victoire autrichienne au Giro avec Postlberger

En 100 éditions, jamais le Giro n’avait vu un coureur autrichien lever les bras en vainqueur sur la ligne d’arrivée. Lukas Postlberger, pour son premier Giro et le premier Grand Tour de sa carrière, a ajouté l’Autriche au tableau des nations victorieuses sur le Tour d’Italie mais également porteuses du maillot rose. C’est le 33e pays à remporter une victoire d’étape lors de la course rose.

Vidéo : Comment Lukas Postlberger a mis en échec les sprinteurs (Etape 1 – Giro 2017)

Lukas Postlberger a profité d’un moment de flottement en tête du peloton pour partir en facteur. Costaud, le coureur autrichien a ensuite résisté au peloton jusqu’à l’arrivée pour devenir le premier de sa nation à remporter une victoire d’étape sur le Giro.

Classement de la 1ère étape du Giro 2017 – Top 10

Deuxième de la première étape du Giro 2017, Caleb Ewan était évidemment déçu de ne pas remporter la course qui lui aurait permise d’endosser le maillot rose. Fair-play, le sprinteur d’Orica-Scott a tout de même salué l’incroyable performance du vainqueur du jour, Lukas Postlberger. 

Caleb Ewan passe tout près du premier maillot rose du Giro 2017

Protégé toute la journée par sa formation Orica-Scott, Caleb Ewan avait les jambes pour conclure le très bon travail de ses coéquipiers. Mais un grain de sable nommé Lukas Postlberger est venu se mettre dans l’engrenage de l’Australien, le privant d’endosser le premier maillot rose de ce Giro 2017. Sur le site de sa formation, le sprinteur de 22 ans est revenu sur ce final haletant : « C’était un mouvement vraiment fort de la part de Lukas Postlberger. C’était un final agité et parfois un moment d’hésitation peut faire perdre une course. Il n’y a pas beaucoup d’occasions de prendre le maillot rose si évidemment c’est un goût amer de finir deuxième, mais il y a plusieurs jours à venir et vous devez féliciter le mouvement. »

Orica-Scott veut comprendre cet échec pour la suite du Giro 2017

Malgré le gros travail toute la journée de Ruben Plaza puis de Svein Tuft pour contrôler les échappés, Orica-Scott a peut être manqué de personnel dans le final autour de Caleb Ewan. Matt Blanc, le directeur sportif de l’équipe australienne veut analyser ce qui ressemble à un échec. « Nous devons regarder la séquence. Ça ressemblait à un mouvement accidentel par Bora mais ça a payé. »

Déçu mais pas abattu, Matt Blanc pense que la chute à plus de trois kilomètres de l’arrivée peut être une raison de la désorganisation, mais souhaite d’ores et déjà se projeter sur les étapes à venir. « La fin était agitée après un accident dans les derniers kilomètres et peut-être qu’il y avait un peu d’hésitation. Parfois c’est tout ce qu’il faut retenir dans une situation comme ceci. C’est le premier sprint d’un Grand Tour après un jour relativement lent. Nous nous sentons tous déçus mais il n’y pas de manuel pour écrire les scénarios des sprints. Il y aura d’autres occasions à venir.« 

Classement de la 1ère étape du Giro 2017 – Top 10

Au terme de la première étape du Tour d’Italie remportée par l’Autrichien Lukas Pöstlberger (Bora-Hansgrohe) le maillot rose a été attribué. Mais pas que ! Les maillots distinctifs ont trouvé chacun leurs épaules. Et la formation Bora-Hansgrohe a fait un carton plein en Sardaigne puisqu’elle a pris possession de l’intégralité des maillots distinctifs. C’est bien simple, elle a tout raflé !

Bora-Hansgrohe rafle tous les maillots distinctifs

Au terme des 206 kilomètres de l’étape du jour, la formation de Peter Sagan (absent) a glané chacun des maillots distinctifs. Même le classement par équipe ne leur a pas échappé. Seul le classement du coureur le plus combatif a été attribué au Sud-Africain Daneil Teklehaimanot (Dimension Data).

En Plein for @BORAhansgrohe pic.twitter.com/r4v1DRBsbS

— Giro d'Italia (@giroditalia) May 5, 2017

Retrouvez le résumé de la première étape du Tour d’Italie 2017, ici

Classement général provisoire du Giro 2017 – Top 10

Classement provisoire par points du Giro 2017 – Top 5

Classement provisoire de la montagne du Giro – Top 5

Classement provisoire du sprint du Giro – Top 5

Classement provisoire du meilleur jeune du Giro – Top 5

Classement provisoire par équipe du Giro – Top 5

Classement de la combativité du Giro à l’issue de la 1ère étape – Top 5

Pris dans des cassures lors de l’emballement final de la première étape du Tour d’Italie, Steven Kruijswijk et Pierre Rolland ont déjà concédé du temps sur les favoris au général. Une bien mauvaise manière de débuter leur Giro 2017. 

Le Tour d’Italie débute mal pour Pierre Rolland

Désigné leader du Team Cannondale-Drapac au départ du 100e Giro d’Italia, Pierre Rolland a réalisé une mauvaise opération lors de la première étape. Mal placé et pris dans les cassures à quelques encablures de l’arrivée, le Français s’est vu relégué dans un deuxième groupe d’attardé. Sur la ligne, c’est une 99e place et 18 secondes de retard pour le quatrième du Tour d’Italie 2014 sur le vainqueur du jour, Lukas Pöstlberger. Alors qu’aucune explication entre les favoris n’a encore eu lieu, Pierre Rolland concède déjà du temps sur  ses adversaires.

Faux départ pour Steven Kruijswijk sur le Giro 2017

Ce n’est probablement pas de cette manière que Steven Kruijswijk souhaitait débuter son Giro 2017. A l’instar du coureur français cité précédemment, le leader de la Lotto NL-Jumbo s’est fait piéger dans le final de la première étape. 72e à 13″ du peloton, le Néerlandais est certainement le prétendant au général le plus frustré ce soir. Passé tout proche de la victoire l’an dernier, Kruijswijk débute le Tour d’Italie 2017 comme il avait terminé celui de l’an dernier, avec difficultés.

Classement de la 1ère étape du Giro 2017 – Top 10

Même sans Peter Sagan, l’équipe Bora-Hansgrohe a prouvé qu’elle était à la hauteur lors des grands rendez-vous. Le Tour d’Italie à peine lancé, voilà que la formation allemande s’offre une victoire d’étape pour le moins inattendue mais en profite également pour rafler tous les maillots distinctifs.

Lukas Postlberger remporte l’étape et le maillot rose

Vers 13 heures, lorsque le départ du centième Giro a été donné, tous s’attendaient à une victoire d’un sprinteur à l’image d’un André Greipel, un Caleb Ewan ou encore un Giacomo Nizzolo arborant son maillot de champion d’Italie. Pourtant, même si certains ont tenté de mener l’échappée vers le succès, c’est bien dans les derniers moments de course que la victoire de Lukas Postlberger (25 ans) s’est dessinée. A l’avant du peloton pour travailler pour ses sprinteurs Matteo Pelucchi et Sam Bennett, l’Autrichien a, en facteur, pris une longueur au peloton, puis deux, puis trois, avant de se livrer pleinement jusqu’à la ligne d’arrivée. Si l’écart n’a jamais été conséquent, le peloton et les équipes de sprinteurs n’ont pas su réagir et ont laissé filer le coureur de Bora-Hansgrohe jusqu’à la ligne. Résultat, il endosse évidemment le premier maillot rose ainsi que le maillot du classement par points, mais il empoche également le maillot de meilleur jeune.

Cesare Benedetti en tête du classement de la montagne

Dès les premiers hectomètres de course, la formation Bora-Hansgrohe s’est montrée très active. Cesare Benedetti, un habitué des échappées, est parvenu à se glisser à l’avant de la course. Dès lors a commencé une longue journée. Pendant près de 200 kilomètres, les hommes de tête se sont livré pour tenter de déjouer les plans du peloton. Mais il y avait, tout au long du parcours, de précieux points de la montagne à aller chercher pour être présent sur le podium protocolaire. L’Italien de l’équipe Bora-Hansgrohe s’est alors mis en tête de jouer le classement de la montagne. Ce qu’il a fait avec brio puisqu’il a glané 9 points et se retrouve, au soir de la première étape du Giro 2017, en tête du classement de la montagne.

Vidéo : Comment Lukas Postlberger a mis en échec les sprinteurs (Etape 1 – Giro 2017)

En réussissant l’impossible sur la première étape du Tour d’Italie 2017, l’Autrichien Lukas Pöstlberger (Bora-Hansgrohe) n’a pas simplement surpris les sprinters. Le coureur âgé de 25 ans a surpris également tous les observateurs du monde entier en damant le pion aux sprinters tant attendus en Sardaigne.

Question du jour : mais qui es-tu Lukas Postlberger ?

Le coureur de l’équipe Bora-hansgrohe a débuté sa carrière en 2014, au Tirol Cycling Team. Auparavant, Postlberger avait gagné en 2012 son championnat national sur route. En 2015, toujours sous les couleurs du Tirol, le coureur a gagné la septième étape de son Tour national. Et cette année, lui-même surpris, il a remporté la première étape du Tour d’Italie, en WorldTour. Sa première victoire à ce niveau. Depuis le début de cette saison cycliste, le jeune homme a quelque trente jours de courses. Après avoir disputé le Tour Down Under puis le Tour d’Algarve, il a couru toutes les semi-classiques Belges, de la fin février à la fin avril. Sur le Tour de Romandie, épreuve préparatoire au Tour d’Italie, Pöstlberger a abandonné lors de la 4e étape (Leysin). Que ce soit depuis son début de carrière ou depuis son début de saison, sa victoire du jour est on ne peut plus inattendue !

Retrouvez le résumé de la première étape du Giro, ici

https://twitter.com/giroditalia/status/860526294005633024

Première victoire en WorldTour pour Pöstlberger

Tandis que les sprinters étaient attendus au terme des 206 kilomètres de la première étape du Giro 2017, l’Autrichien a gagné. S’il a surpris son monde, il l’a été tout autant. Au final, le coureur de la Team Bora-Hansgrohe l’emporte devant Caleb Ewan (Orica-Scott) et André Greipel (Lott-Soudal). Au classement de la montagne et du sprint, c’est l’Italien Cesare Benedetti (Bora), présent dans l’échappée du jour qui a endossé les deux maillots distinctifs. Presque logiquement, le vainqueur du jour a endossé, en plus du maillot rose, le maillot de meilleur jeune.

Si vous aviez misé sur Lukas Postlberger ce matin, vous devez être une personne comblée ce soir. Car voilà une victoire que personne n’avait vu venir, et certainement pas lui ! Le Tour d’Italie n’en est qu’à ses débuts et le rouleur de Bora-Hansgrohe nous a déjà offert une première surprise. Si la majeure partie de l’étape a été, avouons-le, assez peu transcendante, les cinq derniers kilomètres ont été tout à fait inhabituels…

Tour d’Italie, acte 1 : cinq premiers fuyards

Jusqu’au bout, on a cru au sempiternel scénario de l’échappée reprise à quelques encablures de l’arrivée par un peloton vorace qui se dispute la victoire au sprint. L’échappée, c’était ces cinq hommes : Cesare Benedetti, Marcin Bialoblocki, Pavel Brutt, Daniel Teklehaimanot et Eugert Zhupa. Partis dans les 10 premiers kilomètres, ils n’ont jamais compté plus de 5’ d’avance. Forcément insuffisant malgré leur bonne entente. Derrière, le peloton régulait. On espérait que la côte de San Pantaleo, dont le sommet était situé à 18 km de l’arrivée, permettrait à quelque audacieux de tenter sa chance. Mais non, le peloton faisait l’ascension à sa main, roulant sereinement vers son sprint. A 3.6 km de la ligne, les hommes de têtes, délestés de Bialoblocki depuis San Pantaleo, étaient avalés par un peloton encore bien organisé.

Lukas Postlberger, à la surprise de tous

Et puis, la partition a connu une première fausse note à 3.5 kilomètres de l’arrivée. Une courbe à 90° oblige certains coureurs à mettre pied à terre et occasionne une chute en queue de peloton. Sans gravité, l’incident va néanmoins considérablement désorganiser les formations de sprinteur. Silvan Dillier hors-jeu, la BMC n’a plus lieu de rouler. Gaviria et Greipel mal placés, leurs coéquipiers ne roulent pas davantage à l’avant du peloton. Emmené par Lukas Postlberger, celui-ci compte donc pour tous sprinteurs bien placés Caleb Ewan et Giacomo Nizzolo. En première position du peloton, Postlberger va se détacher, au train, alors qu’il reste moins de 2 km à parcourir. Voulait-il seulement attaquer ? Rien n’est moins sûr, et ses regards incessants en arrière le disaient assez…Derrière, la poursuite n’est menée que par un seul homme, un vaillant soldat de l’australien Ewan. Lorsque enfin quelques Quick-Step et Lotto viennent relayer le coureur d’Orica-Scott, il est trop tard.

A 100 mètres de la ligne, l’Autrichien peut savourer. Il remporte la plus belle victoire de sa carrière et se pare de rose. Derrière, Caleb Ewan et Andrei Greipel complètent le podium. Certainement pas une satisfaction pour ces deux sprinteurs d’élite…

Retrouvez la liste des favoris du Tour d’Italie 2017, ici

Classement de la 1ère étape du Giro 2017 – Top 10

Classement général à l’issue de la 1ère étape du Giro 2017 – Top 10

Vainqueur l’an dernier de trois étapes sur le Tour d’Italie, André Greipel revient avec la même intention de lever les bras. Le sprinteur allemand aura six occasions pour briller et cela commence dès la première étape avec un sprint attendu à Olbia pour un premier maillot rose. Et si le coureur de l’équipe Lotto Soudal est l’une des attractions de ce Giro 2017, ce dernier n’exclut pas de quitter la course avant la dernière semaine qui sera consacrée aux grimpeurs…

André Greipel veut une victoire d’étape sur ce Tour d’Italie

Qu’on se le dise, si le champion d’Allemagne n’arrive pas à décrocher le moindre succès sur les routes du Giro, cela sera un échec. « J’aurais peut-être besoin de quelques jours pour retrouver le rythme, comme l’année passée, a confié André Greipel. Il n’y avait alors pas eu de succès lors du premier week-end, mais j’étais de mieux en mieux après quelques jours. Naturellement, je ne dis pas non au premier maillot rose de ce 100e Giro », et d’ajouter : « Durant ce centième Giro, nous allons tenter de remporter une étape avec l’équipe. Mes équipiers tenteront également leur propre chance durant ces trois semaines ».

Un abandon déjà en vue pour André Greipel ?

Comme bien souvent sur le Giro, la dernière semaine n’est pas propice aux sprinteurs. Ils sont nombreux a quitter la course plus tôt dans le but de récupérer et de se concentrer sur de futurs objectifs. Néanmoins, cette façon de faire n’est pas toujours vue d’un bon œil. « Si je terminerai le Giro? Disons plutôt que le parcours de la dernière semaine n’est pas fait pour moi. Aussi bien moi-même, l’équipe que l’organisateur du Giro sommes heureux que je sois au départ, mais nous devons trouver un bon équilibre dans mon programme de course afin de poursuivre nos objectifs. Il existe donc une chance que je quitte le Giro plus tôt. Mais on choisit bien évidemment une participation à une fantastique course comme le Giro plutôt qu’un programme alternatif », a dit André Greipel.

Vidéo : André Greipel remporte la 5e étape de Paris-Nice 2017

Stefano Pirazzi et Nicola Ruffoni viennent de jouer un bien mauvais tour à leur employeur… Après la révélation de leur contrôle positif hier soir, le risque est réel de voir l’équipe Bardiani être exclue du Tour d’Italie avant l’arrivée à Milan… Si jamais elle en prend bien le départ tout à l’heure !

Menace n°1 pour Bardiani : l’UCI

Rappelons tout d’abord que le règlement de l’UCI prévoit une suspension de 15 à 45 jours dans le cas où une équipe verrait au moins deux de ses coureurs contrôlés positif au cours des douze derniers mois. La sanction appliquée reste à la discrétion de l’institution basée en Suisse. Mais Bardiani ne peut guère compter sur une trop grande clémence de sa part. La « chance » de la formation des frères Reverberi, c’est que les suspensions sont décidées par la commission de discipline de l’UCI, et que cette dernière ne se réunit qu’épisodiquement. Brian Cookson va-t-il souhaiter la convoquer en urgence pour statuer du cas Bardiani ?

Menace n°2 : l’organisateur du Tour d’Italie, RCS Sport

Le principal risque de suspension pourrait finalement provenir de la main même des organisateurs qui avaient attribué une invitation à Bardiani le 18 janvier dernier. RCS Sport a en effet la liberté de retirer de sa course les équipes qui n’y auraient plus leur place, pour une raison ou pour une autre. Il y a des précédents, dans le Tour de France par exemple : Astana et Cofidis en 2007, Saunier Duval l’année d’après. Ces équipes s’étaient officiellement « retirées » de la Grande Boucle, mais sous la pression d’ASO.

En plus des organisateurs et des amateurs de cyclisme, il en est un autre qui doit bouillir, c’est Gianni Savio. Le directeur sportif de la formation Androni avait été scandalisé de voir sa demande de Wild Card refusée au profit, notamment, de Bardiani CSF…

Vidéo : Quand Stefano Pirazzi remportait une étape du Tour d’Italie…

A quelques heures du début du Tour d’Italie, qui fête son centenaire cette année, Thibaut Pinot s’est confié sur ses ambitions et objectifs. S’il envisage un podium à Milan, il a également en tête, plus secrètement, une possible victoire finale.

Thibaut Pinot peut remporter le Tour d’Italie à certaines conditions

Par le passé, l’objectif principal de Thibaut Pinot, concernait principalement le Tour de France. En 2017, le leader de la FDJ en a décidé autrement. Sans jamais avoir véritablement réussi à « peser » sur la Grande Boucle, le coureur âgé de 26 ans arrive sur le Giro d’italia avec comme objectif, un podium « au minimum ». Si le champion cycliste Français a de toute évidence la capacité de figurer sur le podium le 28 mai prochain, il a évoqué :  « L’ objectif à Milan est d’être sur le podium. Durant trois semaines de course il peut se passer tellement de choses qu’on ne maîtrise pas… Le podium, c’est mon objectif, il faut bien l’avouer… Si je peux faire une meilleure place, je ne m’en priverais pas, mais pour l’heure je me suis fixé un objectif réalisable et le podium me semble accessible » .

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— Equipe FDJ (@EquipeFDJ) May 4, 2017

Classement général final du Tour de France 2014 – Top 10

En 2014, Thibaut Pinot terminait sur le podium du Tour de France. En 2017, c’est sur le Tour d’Italie que le leader de la FDJ envisage de monter sur le podium final. De nouveau, Pinot va être opposé à Nibali, mais aussi à Quintana, Mollema, Geraint Thomas, van Garderen…. A noter qu’en 2014, il terminait sur le podium du TDF, sans pour autant avoir remporté la moindre étape, contrairement à 2015 et 2012, où il s’était imposé chaque année sur une étape.

Retrouvez la liste des coureurs favoris pour le Giro 2017

Coup de théâtre à moins de 24 heures du départ du Tour d’Italie ! Nos confrères de la Gazzetta dello Sport ont révélé ce jeudi soir que deux coureurs avaient été contrôlés positifs. Il s’agit, qui plus est, de deux Italiens, de l’une des équipes bénéficiaires d’une invitation : Stefano Pirazzi et Nicola Ruffoni…

Tour d’Italie : Pirazzi et Ruffoni contrôlés positifs…

Contrôlés positifs aux peptides libérateurs d’hormone de croissance, lors de contrôles effectués hors compétition les 25 et 26 avril derniers, les deux coureurs Italiens sont bien évidemment exclus de la course. Il s’agit là d’un énorme coup dur pour l’équipe Bardiani. Pour son image bien sûr, et aussi car ces deux coureurs étaient ses deux fers de lance. Une bien mauvaise nouvelle aussi pour le cyclisme à l’aube d’une telle échéance…

Shock #doping sul #Giro100: positivi due italiani della #Bardiani https://t.co/ZNvpcL2toH #ciclismo pic.twitter.com/8N2NmcPB0T

— LaGazzettadelloSport (@Gazzetta_it) May 4, 2017

Vers le licenciement des deux fautifs chez Bardiani…

L’équipe italienne n’a pas tardé à réagir et indique, dans un communiqué, procéder immédiatement à la suspension de ses deux coureurs dans l’attente de la contre-expertise. Si le positif était confirmé, Bardiani informe qu’elle licenciera ses deux coureurs, ainsi que le prévoient leurs contrats. Bardiani assure par ailleurs « se réserver la possibilité d’engager des actions supplémentaires afin de protéger son image et celle de l’ensemble de ses sponsors« . En faisant preuve de fermeté à l’encontre de ses coureurs, l’équipe transalpine espère peut-être bénéficier d’une relative indulgence de l’UCI  qui, avec ces deux contrôles positifs, va vraisemblablement sanctionner l’équipe également (entre 15 et 45 jours selon ses règlements)…

Bruno Reverberi, directeur sportif de Bardiani, a pour sa part déclaré : « Nous sommes complètement sous le choc. Nous attendons les résultats de la contre-expertise mais nous tenons d’ores et déjà à rappeler notre grande fermeté contre le dopage ».

L’UCI prend position très rapidement

Dans un communiqué, l’Union Cycliste Internationale a quant à elle déclaré : « L’UCI annonce qu’elle a notifié les coureurs italiens Nicola Ruffoni et Stefano Pirazzi d’un Résultat d’Analyse Anormal (RAA) avec présence de Peptides libérateurs de l’hormone de croissance (GHRPs) dans des échantillons collectés à l’occasion de contrôles hors-compétition les 25 et 26 avril 2017 respectivement. Les coureurs ont le droit de demander l’analyse de l’échantillon B et d’y assister. Conformément au Règlement antidopage de l’UCI, les coureurs ont été suspendus provisoirement, et ce jusqu’à la résolution des deux affaires… L’UCI saisira la Commission Disciplinaire, qui rendra sa décision concernant la suspension de l’équipe le moment venu« 

Prendre connaissance du communiqué de presse de l’UCI.

Effectif actualisé de Bardiani CSF pour le Giro 2017 :

Vincenzo Albanese, Simone Andreetta, Enrico Barbin, Nicola Boem, Giulio Ciccone, Mirco Maestri et Lorenzo Rota

Adam Hansen va prendre le départ demain de son 17ème Grand Tour consécutif. Le coureur de la formation Lotto-Soudal n’a raté aucune course de trois semaines depuis 2012 et a déjà deux victoires d’étape dans la musette. La première sur le Giro d’Italia 2013 et la seconde sur la Vuelta l’année suivante.

C’est parti pour un huitième Tour d’Italie !

Adam Hansen est un coureur incontournable de la formation Lotto-Soudal sur les courses de trois semaines. Le coureur australien, qui a gardé son âme d’enfant, annonce dans un communiqué de presse publié par son équipe qu’il est dans une excellente condition physique: « J’ai parcouru d’innombrables Tour d’Italie, mais j’ai l’impression d’être le plus heureux des coureurs sur la ligne de départ. Non seulement parce qu’il s’agit du centenaire mais aussi parce que c’est le Giro, tout simplement! J’aborde la course en meilleure forme que ces trois dernières années. »

Objectif victoire d’étape sur le Giro d’Italia

S’il a conscience qu’il devra avant tout travailler pour son leader, le sprinteur André Greipel, le coureur australien n’en oublie pas pour autant ses objectifs personnels. « J’aimerais remporter une étape sur cette édition et je serai déçu de na pas y parvenir », poursuit Adam Hansen. « Le but de l’équipe est avant tout de gagner avec André Greipel lors des sprints. Une fois que ce sera fait, nous pouvons nous permettre d’aller plus loin et de tenter des choses. Pour les autres étapes, nous avons plusieurs coureurs qui peuvent faire la différence. J’espère que notre équipe va animer la course. »

Tour d’Italie : Adam Hansen remporte une étape sur l’édition 2013 de la course

Présent dans l’échappée du jour, l’Australien de la Lotto-Soudal est donc allé chercher la victoire d’étape. Une première dans sa carrière sur une épreuve de trois semaines. L’année suivante, il remporte de nouveau une étape, sur le Tour d’Espagne cette fois-ci.

Pas de prologue ni de contre-la-montre par équipes pour débuter ce Giro 2017. Au menu, 206 kilomètres en ligne entre les villes d’Alghero et d’Olbia. A l’image du Tour 2013 (départ de Corse), le départ sera donc insulaire. La Sardaigne, île native de Fabio Aru, sera le théâtre des trois premières étapes de l’épreuve. TodayCycling décrypte le parcours de cette première levée du Giro du Centenaire.

1ère étape du Giro 2017 : profil et analyse

Durant une bonne partie de l’étape, les coureurs vont longer la côte Nord de la Sardaigne. En plus des paysages grandioses, les coureurs pourront découvrir le profil accidenté de la route dans la région. Très peu de plat, mais seulement trois difficultés répertoriées au cours des 206 km de l’étape : Col de Multeddu (4^e cat), Col Trinita d’Agultu (4^e cat) et col San Pantaleo (4^e cat). Ce dernier, dont le sommet se situe à moins de 20 kilomètres de l’arrivée, pourrait servir de juge de paix. D’une longueur de 3.2 km à 5.6% de moyenne, il comporte une portion à 12%… Si un homme fort parvient à s’extraire du peloton ici, il lui faudra ensuite résister, notamment dans les derniers kilomètres, plutôt propices à un regroupement.

Ainsi, si le profil du jour, quelque peu escarpé, laisse une opportunité aux audacieux, on voit mal comment les équipes de sprinteurs vont laisser passer une telle occasion de s’emparer du maillot rose aujourd’hui…

Comment suivre l’étape – Informations pratiques

Le départ sera donné à 12h25 pour une arrivée prévue entre 16h59 et 17h27. Le pied de la dernière difficulté, le Passo San Pantaleo (4^e cat.), ne devrait pas être abordé avant 16h25.

L’étape est retransmise sur L’equipe 21 à partir de 13h05.

Giro 2016 – Top 10 de la 1e étape

A l’entame de sa 11^e participation au Tour d’Italie, il est peu dire que Domenico Pozzovivo est un habitué. Pour sa 5^e fois sous les couleurs d’Ag2r, il a livré ses impressions sur le site de son équipe.

Domenico Pozzovivo : « Je suis confiant »

Le petit grimpeur italien n’a pas l’habitude de décevoir sur les routes de son pays. Sa 20^e place l’an passé fait presque figure d’anomalie comparée à ses performances précédentes sur le Giro (5^e, 8^e, 9^e, 10^e…) Pour revenir à ses standards, et accrocher ce top 10 espéré par Vincent Lavenue, « Pozzo » le sait : « La première semaine sera primordiale pour le classement général. Les routes sardes peuvent être piégeuses et nous allons escalader l’Etna dès notre arrivée en Sicile, lors de la 4e journée », analyse-t-il. Il est d’ailleurs conscient que va « débuter un événement très important pour le cyclisme mais aussi pour l’Italie« .

Interrogé sur les étapes où se jouera la course, le leader désigné d’Ag2R indique : « La 9e étape devrait donner un bon aperçu des hommes en forme. Ensuite, la 16e étape entre Rovett  et  Bormio sera certainement une journée décisive avec la double ascension du Stelvio. Même pour un grimpeur, cela s’annonce très difficile… Nous allons avoir un enchaînement de difficultés lors de la dernière semaine, il faudra être présent ! ».

Enfin, le coureur se montre satisfait, tant de son état de forme que de ses troupes : « J’ai réussi à monter en pression au fil des courses durant cette saison et je suis satisfait de ce que j’ai pu montrer lors du récent Tour des Alpes (3e). Au sein de l’équipe, je connais très bien Matteo (Montaguti) et Hubert (Dupont), mais nous avons également trouvé des automatismes avec les autres coureurs. Je suis confiant ».

Vidéo : Giro 2012 – 8e étape – Victoire de Domenico Pozzovivo

Alors sous les couleurs de l’équipe Colnago, Domenico Pozzovivo avait frappé un grand coup ce 13 mail 2012. Il avait devancé les espagnols Intxausti et Rodriguez pour remporter ce qui reste à ce jour sa seule victoire dans un Grand Tour.

Demain, les coureurs vont prendre le départ du Tour d’Italie à Alghero, en Sardaigne. Pour cette centième édition, nombreux sont ceux qui souhaitent monter sur la plus haute marche du podium, à commencer par le tenant en titre Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), ou encore Nairo Quintana (Movistar) et Thibault Pinot (FDJ). Hier, la rédaction de TodayCycling vous a dévoilé le nom des principaux favoris et leurs atouts. Mais qu’en est-il des coureurs dont on parle moins mais qui sont capable de créer la surprise?

Domenico Pozzovivo à domicile sur le Tour d’Italie

On en parle moins mais il ne faut pas les sous-estimer. Domenico Pozzovivo est l’un d’entre eux. Le petit grimpeur de la formation Ag2r-La Mondiale est le leader de l’équipe française sur les routes du Giro. Huitième en 2012 – et vainqueur d’étape – puis cinquième en 2014, l’Italien répond toujours présent lors des grands rendez-vous. Auteur d’un très bon début de saison – 9ème du Tour d’Abu Dhabi, 10ème de Tirreno-Adriatico et 3ème du Tour des Alpes – il pourrait bien créer la surprise.

Ilnur Zakarin parmi les grands

Alors qu’il était cinquième du Tour d’Italie l’an passé, Ilnur Zakarin a été victime d’une chute dans la descente du col d’Agnel au cours de la 19ème étape. Souffrant d’une fracture de la clavicule, le Russe de la Katusha-Alpecin a été contraint à l’abandon. Cette année, il a une revanche à prendre. A 27 ans, il ne possède pas de solides références sur les courses de trois semaines mais son caractère offensif pourrait le mener vers les sommets. D’autant plus qu’il sera entouré d’une équipe entièrement dévoué à sa cause. Cette saison, il a terminé 2ème du Tour d’Abu Dhabi, 6ème de Paris-Nice et 15ème du Tour de Romandie.

Rui Costa innove dans son calendrier

Pour la première fois de sa carrière, Rui Costa (UAE Team Emirates) va prendre le départ d’une course de trois semaines autre que le Tour de France. Bien que l’ancien l’ancien champion du monde n’ait jamais réaliser de résultat significatif sur les classement généraux des Grands Tours, il peut être dangereux lorsque la route s’élève. Ce changement dans son calendrier de courses pourrait bien changer la donne. Par ailleurs, il a réalisé un excellent début de saison avec une victoire au Tour d’Abu Dhabi et une seconde place au Tour d’Oman.

Deuxième participation pour Bauke Mollema

Bauke Mollema n’a participé qu’une seule fois au Tour d’Italie, en 2010. Douzième de l’épreuve cette année-là, le leader de la formation Trek-Segadredo n’a cessé de progressé sur les courses de trois semaines. En effet, il s’est classé quatrième du Tour d’Espagne l’année suivante et totalise plusieurs Top 10 sur la Grande Boucle (6ème en 2013 et 7ème en 2015). A 30 ans, le Néerlandais a donc les moyens de créer la surprise. Seule ombre au tableau, il risque de se retrouver isolé en montagne en l’absence de vrais grimpeurs pour l’épauler. En effet, l’équipe américaine va miser sur deux tableaux avec les sprints en alignant à ses côtés Giacomo Nizzolo.

Tom Dumoulin a une revanche à prendre

En 2015 pour son premier Tour d’Italie, Tom Dumoulin a frappé fort dès la première journée. En effet, le coureur de la Sunweb a remporté le contre-la-montre d’ouverture. Ainsi, il a porté le maillot rose pendant cinq jours avant de le céder définitivement au terme de la huitième journée. Souffrant, il abandonne trois jours plus tard. Cette année, le Nerlandais a donc une revanche à prendre et espère figurer parmi les meilleur. Sur une course de trois semaines, son meilleur résultat reste incontestablement le Tour d’Espagne 2015. Il avait conclu l’épreuve au sixième rang après avoir porté le maillot rouge pendant six jours.

Pierre Rolland et Davide Formolo, les étapes avant le général

Bien qu’il ne soit pas là pour jouer le général mais pour aller chasser les étapes, Pierre Rolland n’en reste pas moins une valeur sûre lorsque la route s’élève. Le grimpeur français de la Cannondale-Drapac pourrait changer ses objectifs en fonction des circonstances de couse bien que le général ne soit pas sa priorité. Quatrième du Tour d’Italie pour son unique participation en 2014, il ne va pas courir dans l’inconnu. Pierre Rolland sera d’ailleurs accompagné de Davide Formolo entre autres. A 24 ans, le jeune grimpeur italien s’est classé 9ème du Tour d’Espagne l’an passé. Son son Tour national, il a remporté une étape de moyenne montagne en 2015 devant des coureurs tels qu’Alberto Contador et Richie Porte.

Vidéo : Rui Costa remporte le Tour d’Adu Dhabi 2017

Présent sur le Tour d’Italie, Rui Costa (UAE Team Emirates) a réalisé un très bon début de saison marqué par une victoire au Tour d’Abu Dhabi.