Lundi, la 1ère étape de l’UAE Tour (WorldTour) a été remportée au sprint à Liwa par Tim Merlier (Soudal – Quick Step) au terme des 141 kilomètres de course. Le Néerlandais Arvid De Kleijn (Tudor Pro Cycling Team) et l’Italien Jakub Mareczko (Team Corratec – Vini Fantini) ont pris les 2e et 3e places du jour. L’emballage final a été marqué par une importante chute à environ 200 mètres de la ligne d’arrivée.
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Classement de la 1ère étape (Top 10)
1 – MERLIER Tim (Soudal – Quick Step) les 141 km en 3:09:55 (44,5 km/h)
2 – DE KLEIJN Arvid (Tudor Pro Cycling Team) m.t
3 – MARECZKO Jakub (Team Corratec – Vini Fantini) m.t
4 – JAKOBSEN Fabio( Team dsm-firmenich PostNL) m.t
5 – WELSFORD Sam (BORA – hansgrohe) m.t
6 – GAVIRIA Fernando (Movistar Team) m.t
7 – MOLANO Juan Sebastián( UAE Team Emirates) m.t
8 – CONSONNI Simone (Lidl – Trek ) m.t
9 – BAUHAUS Phil( Bahrain – Victorious) m.t
10 – VAN DE PAAR Jarne (Lotto Dstny) m.t
139 coureurs au départ. 1 abandon : Stefan De Bod (EF Education – EasyPost)
Lire aussi : Le classement complet de la 1ère étape
Classement général à l’issue de la 1ère étape
1 – MERLIER Tim (Soudal – Quick Step) en 3:09:45
2 – DE KLEIJN Arvid (Tudor Pro Cycling Team) + 0:04
3 – STEWART Mark (Team Corratec – Vini Fantini) m.t
4 – MARECZKO Jakub (Team Corratec – Vini Fantini) + 0:06
5 – MURGANO Marco( Team Corratec – Vini Fantini) m.t
6 – BILBAO Pello (Bahrain – Victorious) + 0:09
7 – VAN BELLE Loe( Team Visma | Lease a Bike) m.t
8 – JAKOBSEN Fabio( Team dsm-firmenich PostNL) + 0:10
9 – WELSFORD Sam (BORA – hansgrohe) m.t
10 – GAVIRIA Fernando( Movistar Team) m.t
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C’est un sprint pour le moins « houleux », avec bon nombre de comportements totalement « azimutés » : ça part dans tous les sens ! Des coureurs foncent les uns vers les autres, se percutent ou se fracassent dans les barrières ! Nous retenons du sprint ce duo Molano -Gaviria qui part de beaucoup trop loin et se fait logiquement remonté; de quoi se demander pourquoi Gaviria frappe ainsi son guidon, à croire que le colombien n’évalue pas bien les distances. Quant à Merlier, il se débrouille seul et l’emporte logiquement : au plan du style, de la force ou du geste, les autres ne paraissent pas du même niveau.