Bauke Mollema est tout près de re signer en faveur de la formation Trek-Segafredo comme il l’a confié à Cyclingnews. Le Néerlandais actuellement sur le Critérium du Dauphiné sur lequel il vise un top 5 au classement général est satisfait de sa collaboration avec l’équipe américaine. Son objectif principal reste encore et toujours le Tour de France.  

« Nous allons bientôt conclure. Je suis heureux ici, l’ambiance est bonne, nous avons du bons matériel, des bons sponsors. Je n’ai aucunes raisons de partir ». Jusqu’ici, depuis son arrivée au sein de l’équipe en début de saison 2015 tout s’est bien passé et il a obtenu des résultats significatifs avec notamment sa septième place sur le dernier Tour de France, une deuxième place sur Tirreno-Adriatico et sa victoire sur le Tour d’Alberta : « Jusqu’à présent toutes les courses auxquelles j’ai participé ce sont bien passées. J’ai eu de bons résultats. Mes jambes sont bonnes. Avant, chez Belkin je participais toujours au Tour de Suisse, mais l’an passé j’ai changé mon programme. C’est mieux d’aller sur le Dauphiné parce qu’en terme de préparation nous avons plus de jours de repos. En plus le Tour de Suisse est souvent plus dur que le Dauphiné ». 

Bauke Mollema a également évité les blessures qui le gênaient souvent dans sa préparation d’avant Tour de France avec notamment des douleurs au niveau du dos lors du dernier Dauphiné : « Cette saison je suis beaucoup mieux que l’an passé. Je suis au top dans ma préparation. Si l’on regarde les chiffres je suis bien dans la forme que je devais avoir à cette époque. Je vais essayer d’intégrer le top 5 du Dauphiné pour pouvoir me mesurer aux autres coureurs qui visent une victoire finale sur le Tour ». Concernant la venue d’Alberto Contador, il n’en sait pas plus pour le moment : « Je ne sais pas si Contador viendra dans l’équipe. Il y a eu des contacts mais il faut attendre la période des transferts avant d’annoncer quoi que ce soit. Pour l’instant je ne sais pas, il est très courtisé. Mais ce serait un grand plus d’avoir un autre coureur capable de viser un classement général dans les grands tours ». 

Michal Kwiatkowski s’est montré à l’avant mardi dans l’ascension finale de Chalmazel-Jeansagnière. Mais les jours ne se ressemblent pas pour le coureur du Sky à la peine ce mercredi sur le Critérium du Dauphiné. En effet, des douleurs aux poumons empêchent le Polonais de respirer correctement. 

Aucun diagnostic n’a été fait pour le moment alors Kwiatkowski souffre en silence comme il l’a confié à Cyclingnews : « C’était très difficile aujourd’hui.  Je pense que je suis sur la bonne voie en ce qui concerne ma préparation pour le Tour et le reste de la saison. J’ai suivi un beau programme et je me sentais très bien sur les deux premières étapes, mais aujourd’hui, j’ai senti quelques problèmes avec mes poumons. Je ne sais pas ce que c’est, je dois voir le médecin. Je vais continuer l’épreuve mais j’espère que ce n’est rien de grave. J’ai perdu ma voix et je tousse, mais à part ça, je pense que je suis là où je dois être ».

José Azevedo, l’un des directeurs sportifs de la formation Katusha s’est également exprimé au sujet du sprint houleux survenu dans le final de la première étape du Critérium du Dauphiné arrivant à Saint-Vulbas. Le Portugais garde également sa position comme il l’explique à nos confrères de Vélopro. 

De son véhicule, l’ancien cycliste professionnel passé notamment par Discovery Channel n’a pas vraiment vu les faits qui se sont produits entre ses coureurs et les Cofidis. En revoyant les images le soir même, il a pu se faire sa propre opinion : « Une fois à l’hôtel, j’ai regardé les images. Mon opinion est que Kristoff n’a pas perdu le sprint en raison de ce qui s’est passé entre mes coureurs et ceux de Cofidis, depuis la flamme rouge jusqu’à l’arrivée. Il a perdu parce qu’il a été bloqué, il n’a pas eu d’espace pour passer. Si on parle des coups de casques donnés par les uns et par les autres, ce n’est pas agréable à voir parce que nous n’étions pas loin d’une chute et cela aurait été une grosse chute. On roulait à 70 km/h en tête de peloton. C’était très dangereux pour ceux qui luttaient pour la meilleure position et pour ceux qui les suivaient. Cela aurait pu mal finir ».

« Avant la flamme rouge, il y a eu une lutte constante », poursuit Azvedo. « Le gars vient essayer de prendre la place de Guarnieri et il ne va pas dire ‘’OK, vas-y, tu peux passer !’’. Le sprint c’est une spécialité dangereuse, ils prenenent beaucoup de risques pour prendre la position. Parfois, bien sûr, les mecs peuvent se toucher, mettre des coups d’épaule mais c’est normal ». Quant aux coureurs russes, ils ont simplement été vexés de ne pas avoir pu lancer leur sprint correctement même le sprint raté d’Alexander Kristoff est plutôt dû au fait qu’il ait été gêné. Mais pour lui, une sanction aurait dû être prise : « Je pense que le règlement est, à chaque fois, seulement interprété. Les commissaires peuvent déclasser un mec qui a dévié d’un mètre mais là, rien et pourtant c’est bien plus dangereux. Je pense qu’ils auraient dû prendre une décision parce que le cyclisme n’est pas un sport de combat ».

Ce jeudi matin à Tain l’Hermitage, lieu de départ de la quatrième étape du Critérium du Dauphiné les inspecteurs de l’Union Cycliste International (UCI) ont inspecté les vélos de certaines équipes. Parmi les écuries visées, les Français de Cofidis et les Russes de Katusha. 

Aucunes anomalies n’ont été détectées. Cofidis et Katusha ne cessent de faire parler d’elles trois jours après le sprint houleux lors de l’arrivée de la première étape à Saint-Vulbas. Quant à l’UCI elle va multiplier les contrôles, sur le Tour de France notamment après la découverte d’un moteur dans le vélo d’une concurrente hollandaise sur l’épreuve de cyclo-cross espoirs féminin.

Au lendemain de sa chute et de ses deux points de suture posés sur sa main droite, Alexis Vuillermoz s’est présenté au départ de la troisième étape du Critérium du Dauphiné qui s’est disputée tambour battant. Le coureur de l’équipe AG2R La Mondiale s’est alors accroché et a tenté de préserver de l’énergie pour les jours qui arrivent. Mais la journée du puncheur français a été un véritable « calvaire ».

« J’ai subi toute la journée, a réagi Alexis Vuillermoz. Ça a été un calvaire. J’avais de grosses douleurs à la main, du mal à tenir le guidon, à freiner à l’arrière. Ça a roulé très vite. Je me suis attaché à rester fort dans la tête pour finir l’étape avec le peloton. J’ai fait profil bas pour garder de l’énergie en vue des prochains jours. J’ai besoin de me reposer un peu. Je vais soigner ma récupération. »

Alexis Vuillermoz et Romain Bardet pris dans une chute

Ils ont failli remporter la mise hier à Tournon-sur-Rhône. C’était sans compter sur l’exploit de Fabio Aru qui, pendant une dizaine de kilomètres, a tenu en respect le peloton lancé à sa poursuite. Cette fois, les sprinteurs ne devraient pas se rater car aucune difficulté n’est répertoriée dans les derniers kilomètres de cette 4ème étape du Critérium du Dauphiné entre Tain-l’Hermitage et Belley (176 km). Une dernier chance pour les sprinteurs avant que la route ne se lève…

Les favoris de la 4ème étape du Critérium du Dauphiné

*** Nacer Bouhanni, Alexander Kristoff, Sam Bennett

** Niccolo Bonifazio, Edvald Boasson Hagen, John Degenkolb, Jens Debusschere

* Moreno Hofland, Tony Hurel, Sondre Holst Enger, Edward Theuns, Ramon Sinkeldman

Critérium du Dauphiné 2016 – Classement Général

En prenant la troisième place, Niccolo Bonifazio était plutôt satisfait de sa performance à l’arrivée de la troisième étape du Critérium du Dauphiné. Et même s’il a manqué de coéquipiers pour disputer la victoire, le sprinteur de la Trek-Segafredo l’assure : « je suis content de mon résultat ».

Beppu et Irizar sacrifiés pour ramener Hesjedal, victime d’une crevaison, dans la dernière ascension, Mollema resté à l’abri pour le général, Theuns victime d’un problème mécanique; Niccolo Bonifazio n’a pu compter que sur Haimar Zubeldia pour chasser derrière Fabio Aru dans le final de l’étape. En vain.
Et même si l’italien a été battu par Alexander Kristoff (Katusha), pour la deuxième place, Alain Gallopin, son directeur sportif, le reconnaît : « Je pense que sans ces infortunes, nous aurions pu aider Niccolo a être plus près de la victoire ».

Le sprinteur italien s’est pourtant accroché et ne semble pas en vouloir à son équipe : « La course était très dure aujourd’hui. Toute la journée, le rythme était élevé. Dans la dernière montée, j’ai réussi à rester avec le peloton; j’étais concentré pour rester avec Kristoff, mais malheureusement Aru était déjà parti dans la montée et nous n’avons pas été capable de combler l’écart ».

Niccolo Bonifazio reconnaît également la supériorité d’Alexander Kristoff : « Dans le sprint, j’ai suivi Kristoff tant que j’ai pu, but il est vraiment, vraiment rapide et je n’ai pas pu revenir sur lui. » Mais ne cache pas sa satisfaction : « Je suis content de mon résultat, je me suis bien senti dans la montée et j’avais de bonnes jambes. »

Nacer Bouhanni a raté le coche ce mercredi sur la troisième étape du Critérium du Dauphiné arrivant à Tournon-Sur-Rhône. La côte de Sécheras située à 20 kilomètres de l’arrivée obligea les sprinteurs à s’accrocher pour pouvoir disputer l’emballage final. Le Français de la formation Cofidis s’est accroché comme un beau diable et figurait dans le peloton au moment de basculer dans la descente. Malheureusement Fabio Aru en avait décidé autrement. 

Le Français s’est confié sur le site internet du Critérium du Dauphiné : « Je ne suis pas déçu, puisqu’il n’y a pas eu de sprint pour aller gagner cette étape. J’étais vraiment au taquet dans la montée, mais je me suis accroché pour passer. Ensuite j’ai disputé le sprint pour la deuxième place, mais je sentais bien que j’étais un peu limite aujourd’hui. Quand on n’a pas des jambes exceptionnelles, on ne peut pas regretter. Demain c’est une étape différente, qui sera normalement pour les purs sprinteurs. J’espère que ce sera une meilleure journée pour moi ».

Victime d’un problème mécanique à 4 kilomètres de l’arrivée, Alberto Contador a pu compter sur ses coéquipiers pour vite être dépanné, et ne pas perdre de temps au général. L’espagnol conserve donc son maillot jaune.

« J’ai eu un incident mécanique au mauvais moment, ma roue arrière s’est cassée. Je voulais continuer comme ça jusqu’à la fin mais je n’ai pas pu. Heureusement, un de mes coéquipiers m’a donné son vélo. Ce n’était pas vraiment ma taille, mais il ne restait plus que 4 kilomètres et j’ai rapidement pu revenir dans le peloton. Je n’ai pas paniqué, parce qu’il y a quand même moins de stress ici que sur un grand Tour » raconte Contador sur le site de la course.

L’espagnol a ensuite rendu un bel hommage au vainqueur de l’étape : « Fabio Aru a été impressionnant, et il sera un des prétendants pour le Tour de France. Il a gagné la Vuelta, il s’est classé sur le podium du Giro, et aujourd’hui il remporte une étape qui était très difficile pour lui. C’est un coureur spectaculaire, exactement le genre dont le cyclisme a besoin »

Fabio Aru s’est rattrapé de son prologue mitigé dimanche aux Gets sur lequel il a perdu du temps. Le coureur d’Astana s’est échappé sur la troisième étape du Critérium du Dauphiné qui n’était pas forcément favorable à ses qualités de grimpeur. À Tournon-Sur-Rhône, le transalpin s’est imposé quelques mètres devant le peloton et a prouvé de part son tempérament qu’il faudra compter sur lui lors du prochain Tour de France. 

L’Italien s’est confié sur le site officiel de la course par étapes française : « Sur le papier, c’était une journée facile, mais ça a été dur tout le temps. J’ai tenté la chance dans la montée qui se trouvait dans le final, et ensuite mon coéquipier Luis-Leon Sanchez m’a rejoint. Je suis parti en solo juste après, et je n’ai plus pensé qu’à donner le maximum. Je n’aurais jamais pensé gagner de cette façon ! Le Tour de France est mon principal objectif cette saison, et j’essaie de me préparer du mieux que je peux. Dans cette perspective, le Dauphiné est très important. Ce sera mon premier Tour de France, alors je veux garder les pieds sur terre : en fait, cette course me fascine. Nous aurons une équipe très forte, avec Vincenzo Nibali. C’est une chance de l’avoir avec moi, plutôt que contre moi ! »

Julian Alaphilippe est l’actuel porteur du maillot blanc. Depuis sa cinquième place sur le prologue aux Gets, le coureur de l’équipe Etixx-Quick Step ne cesse de s’illustrer sur ce Critérium du Dauphiné version 2016. Cinquième de l’étape du jour arrivant à Tournon-sur-Rhône, le jeune tricolore vit les choses au jour le jour et prend toujours autant de plaisir sur le vélo. 

Le récent lauréat du Tour de Californie s’est exprimé sur le site du Critérium du Dauphiné après l’arrivée : « Prendre du plaisir sur le vélo, c’est ma façon d’être. Je prends juste les choses comme elles viennent. C’est ma troisième participation au Dauphiné, et les deux années précédentes j’ai beaucoup souffert sur cette course. Mais cette fois-ci ça se passe très bien jusqu’à présent, j’arrive à aller chercher de bons résultats. En plus, porter le maillot blanc, c’est une satisfaction supplémentaire ». Apparemment le mot d’ordre « plaisir » fonctionne jusqu’à présent.

Fabio Aru a coupé l’herbe sous le pied des sprinteurs ce mercredi à Tournon-sur-Rhone terme de cette troisième étape du Critérium du Dauphiné. L’Italien, qui a perdu du temps sur le prologue aux Gets se rattrape de la meilleure des manières pour s’adjuger sa première victoire de la saison. Au terme des 187,5 kilomètres le coureur d’Astana a devancé sur la ligne d’arrivée le Norvégien Alexander Kristoff (Katusha) et son compatriote Niccolo Bonifazio (Trek-Segafredo). Malgré une crevaison dans les quatre derniers kilomètres, Alberto Contador a conservé sa tunique de leader. 

 Critérium du Dauphiné – Etape 3 – Top 20

Critérium du Dauphiné – Classement Général – Top 20

Le sprint houleux entre Cofidis et Katusha pendant le final de la première étape du Critérium du Dauphiné à Saint-Vulbas n’as pas fini de faire couler de l’encre. Cette fois c’est Didier Rous, le directeur sportif de la formation nordiste qui s’est confié à nos confrères de Vélopro sur le choix des commissaires de ne pas avoir sanctionné ni Christophe Laporte (Cofidis) ni Giacopo Guarnieri (Katusha). 

C’était la psychose sur les réseaux sociaux ce lundi au soir de la première étape du Critérium du Dauphiné. Beaucoup s’insurgent sur Twitter notamment, certains plaidant coupables d’autres au contraire relativisent : « Aujourd’hui c’est la psychose pour tout et les réseaux sociaux, s’ils sont utiles, peuvent faire du mal aussi. On est dans une situation où tout le monde dit tout et n’importe quoi. Des sprints, il y en a eu et il y en aura. Des sprints comme celui de Saint-Vulbas aussi. On parle de chutes mais dans les sprints ça a toujours été houleux, il y a toujours eu des chutes. Il ne faut pas faire l’amalgame avec ce qui est arrivé par ailleurs. Ça c’est le job des sprinteurs ». 

Concernant les faits, Didier Rous savait que son équipe serait celle à abattre. Il trouve le comportement des coureurs de la formation Katusha relativement normal. Pour lui, ils ont tenté de désorganiser leur train : « Alors pour revenir à ce qu’il s’est passé il y a deux jours, ce qu’a fait Katusha, c’est un peu normal. Ils savent que Nacer va très vite et désorganiser son train ça leur simplifie la tâche. Guarnieri a eu raison d’essayer de le faire. Christophe Laporte a eu raison de ne pas se laisser faire parce que s’il se laisse faire une fois, la fois d’après c’est mort. C’est une décision juste. Les commissaires ont plutôt préféré venir parler mardi matin avec les équipes concernées plutôt que de sanctionner. Et c’était quoi la sanction en l’occurrence ? Déclasser ? une amende ? »

« Les mecs n’ont pas lâché les mains du guidon », poursuit Didier Rous. « Si tu le fais c’est dangereux parce que tu ne maîtrises plus ton vélo. Là, tu mets un coup d’épaule, tu mets un coup de casque, tu t’appuies sur l’autre parce qu’il veut prendre ta place mais sans lâcher les mains du guidon. Les commissaires ont bien tenu le truc. Ils sont venus et ont demandé de nous calmer. Des sprints houleux il y en a déjà eu. Si un sprint doit être platonique avec 4 équipes qui emmènent en ligne et qui s’écartent, c’est plus dangereux que celui de Saint-Vulbas ». Ce qui me fait marrer c’est qu’il y a des mecs qui balancent des trucs sur twitter et qui ne sont même pas concernés. Et ils l’ont fait en premier. Le mec qui fait 45e de l’étape, il a tout vu ?

Auteur d’un très bon prologue en côte, Romain Bardet s’était positionné pour jouer le classement général du Critérium du Dauphiné. Mais à l’occasion de la deuxième étape, le grimpeur français de l’équipe AG2R La Mondiale a été pris dans une chute avec son coéquipier Alexis Vuillermoz à un kilomètre de l’arrivée. Résultat : 45 secondes de perdues et le classement général qui s’envole.

« Nous avons chuté à 700 mètres de la ligne. Alexis Vuillermoz est tombé. J’étais dans sa roue. On a tous les deux été pris. On avait fait une belle montée. Tout s’était bien passé. On savait que tout se jouerait à la seconde, au finish », a alors déclaré Romain Bardet dans un communiqué de son équipe. En plus d’avoir perdu ses espoirs au général, la formation terre-et-ciel a aussi perdu sa carte maîtresse pour la victoire d’étape en la personne de Vuillermoz.

« C’est dommage de voir s’envoler toutes ces secondes gagnées durant le prologue au prix de gros efforts pour une seconde d’inattention. Je ne suis pas blessé mais le général s’envole. Il faudra faire avec. 45 secondes, c’est énorme… Il va falloir que je change mon fusil d’épaule et que j’aille chercher une belle victoire d’étape comme l’an dernier », a-t-il conclu. En effet, la fin de semaine correspond aux caractéristiques de Romain Bardet qui cherchera à se mettre en évidence dans la montagne à quelques semaines du début du Tour de France dont il attend beaucoup.

Le résumé de la deuxième étape du Critérium du Dauphiné 2016