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Présentation de l’étape 1 du Tour de la Communauté de Valence 2019

Mercredi 6 février aura lieu l’étape 1 du Tour de la Communauté de Valence 2019. Cette première course par étapes de la saison disputée en Europe débutera par un contre-la-montre individuel. Long de 10,2 kilomètres, les premiers écarts entre les coureurs engagés pourront s’effectuer avec un final pentu.

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Tout savoir de l’étape 1 du Tour de la Communauté de Valence 2019

Tout de suite, les concurrents au classement général vont entrer dans le vif du sujet. Avec un contre-la-montre à négocier, chaque seconde vont s’avérer essentielles. Sur ces dix kilomètres à effectuer, il y aura clairement deux parties bien distinctes. La très grande majorité du parcours sera toute plate convenant forcément aux purs rouleurs et spécialistes de l’effort solitaire. Mais la donne changera pour les 700 derniers mètres. Cela présenteront une pente moyenne de 8,2% avec des passages autour des 10%. De quoi favoriser plutôt les puncheurs et grimpeurs. En tout cas, une chose est certaine, c’est la portion qui va influer sur le résultat final.

Les favoris à la victoire de l’étape 1 du Tour de la Communauté de Valence 2019

Les derniers centaines de mètres ont beau être difficile, les qualités de rouleur seront essentielles. C’est pourquoi, il est fort à parier que Nelson Oliveira (Movistar Team), Geraint Thomas (Team Sky), Jos Van Emden (Team Jumbo-Visma) seront des candidats plus que crédibles pour réaliser le meilleur temps. A moins qu’un certain Alejandro Valverde (Movisatr Team), Luis Leon Sanchez (Team Astana) ou Tony Martin (Team Jumbo-Visma) arrive à faire encore mieux.

Tour de la Communauté de Valence 2019 – Les coureurs français au départ

Au départ du Tour de la Communauté de Valence 2019, ils seront neuf coureurs français issus de trois équipes différentes, AG2R La Mondiale, Direct Energie et Cofidis. Parmi tous ces représentants tricolores, le plus enclin à gagner une étape semble être  très certainement Nacer Bouhanni (Cofidis), qui va faire sa rentrée à l’occasion de cette course par étapes espagnole.

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Tour de la Communauté de Valence 2019, des Français démarrent leur saison

Malgré la concurrence sur la même semaine de l’Etoile de Bessèges, un nombre conséquent de français seront alignés au départ du Tour de la Communauté de Valence 2019. Si voir briller l’un d’entre eux au classement général semble très hypothétique, viser la victoire d’étape est un objectif qui paraît davantage réalisable. Les meilleurs atouts seront clairement les sprinteurs Nacer Bouhanni et Thomas Boudat, qui peuvent à cette occasion marquer un gros coup dès l’entame de cette saison. A noter que la dernière victoire française dans cette épreuve n’est pas si ancienne, car elle date de 2017 avec Bryan Coquard.

Nacer Bouhanni (Cofidis) – 28 ans

Gagner et rien d’autre. C’est ce que peut légitimement ambitionner Nacer Bouhanni, qui va avoir à cœur de réaliser un Tour de la Communauté de Valence à la hauteur. Le sprinteur français aura deux opportunités très claires pour remplir l’objectif et ne pas repartir bredouille. Restant sur une fin d’année positive qui lui avait permis de remporter une étape sur la Vuelta, cet élan doit être conservé et confirmé.

Thomas Boudat (Direct Energie) – 24 ans

A la même période, il y a un an, l’Espagne lui avait clairement réussi. Vainqueur sur une autre course par étapes du pays, le Tour d’Andalousie, il s’était illustré au sprint. De quoi forcément redonner des idées pour refaire un coup semblable, mais cette fois-ci lors de ce Tour de la Communauté de Valence. Certes, ce ne sera pas un favori en cas d’arrivée groupée, mais le jeune coureur de Direct Energie est tout à fait en mesure de faire sa place. Et frustrer tous les autres sprinteurs engagés.

Alexis Gougeard (AG2R La Mondiale) – 25 ans

Un exploit de sa part est toujours à envisager. Certes, pour un coureur de son profil, les opportunités seront minces, mais tant que les étapes ne se sont pas déroulées, impossible de tirer quelques conclusions que ce soit. Avec son tempérament offensif, une occasion pourra peut-être s’ouvrir à un moment donné, il faudra alors la saisir. N’étant ni le meilleur au contre-la-montre, au sprint ou en montagne, il n’y a vraiment rein à perdre de son côté. Les risques entrepris peuvent être seulement gagnants.

En évoquant les autres tricolores, ils seront trois autres à défendre les couleurs d’AG2R La Mondiale. En l’occurrence Julien Duval, Clément Chevrier et l’une des recrues Geoffrey Bouchard. Alors que pour Direct Energie, il y aura aussi Damien Gaudin, Fabien Grellier et Adrien Petit.

Tour de la Communauté de Valence 2019 : les 10 favoris et outsiders

Disputé du 6 au 10 février prochain, le Tour de la Communauté de Valence 2019 réunira plusieurs des tout meilleurs coureurs mondiaux qui effectueront, pour certains, leur course de rentrée. Avec un parcours varié, comprenant un contre-la-montre et des étapes de plaine et de montagne, tous les profils seront à l’honneur en Espagne.

Qui va remporter le Tour de la Communauté de Valence 2019 ?

Comme lors de l’édition précédente, qui avait vue Alejandro Valerde remporter le classement général, le Tour de la Communauté de Valence semble cette année encore promis à un grimpeur. En effet, le parcours de la seule réelle étape de montagne (reliant Vila-Real à Alcala-Alcocebre) comporte des ascensions difficiles, qui devraient creuser des écarts décisifs entre les concurrents à la veille de l’arrivée à Valence. Ainsi, des coureurs de Grand Tour comme Geraint Thomas, Dan Martin, ou encore Ion Izagirre sont les principaux candidats à la succession de Valverde, qui tentera quant à lui de conserver son titre.

Alejandro Valverde (Movistar) – 38 ans

Vainqueur sortant, le Champion du monde en titre se présentera en Espagne en tant que favori de l’épreuve. Auteur d’une superbe saison 2018, couronnée par sa victoire à Innsbruck, Alejandro Valverde aura l’occasion d’ouvrir son compteur à Valence, grâce à ses formidables qualités de grimpeur/puncheur. Sur ses terres, et sur un parcours qui semble bien lui convenir, il sera très dur à battre.

Geraint Thomas (Sky) – 32 ans 

Geraint Thomas a frappé un très grand coup en remportant d’une main de maître la dernière Grande Boucle. Impérial sur les routes françaises, le britannique a prouvé que malgré son âge, il faudra compter sur lui dans les années à venir. Coureur extrêmement polyvalent, ses aptitudes en contre-la-montre pourraient notamment lui permettre de se distinguer de ses adversaires, et de rafler le général.

Ion Izagirre (Astana) – 29 ans

Arrivé cet été chez Astana en provenance de la Bahrain-Merida, Ion Izagirre a encore quelques belles années devant lui. En terminant 9ème du dernier Tour d’Espagne pour sa première participation, il a prouvé sa capacité à tenir la dragée haute aux meilleurs coureurs de Grand Tour du moment. S’il n’est cependant pas le favori de ce Tour de Valence, il a tout de même une belle carte à jouer, et possède toutes les qualités requises pour créer la surprise.

Adam Yates (Mitchelton-Scott) – 26 ans

Révélé sur le Tour de France 2016 au cours duquel il a remporté le maillot blanc du meilleur jeune, Adam Yates n’a cependant pas réussi à confirmer son statut d’espoir du cyclisme mondial ces deux dernières saisons. Mais même si son année 2018 n’a pas été marquée par une grande victoire, il n’en reste pas moins un excellent coureur, et un grimpeur capable de briller pour sa course de rentrée.

Dan Martin (UAE Team Emirates) – 32 ans

Présent dans le Top 10 des trois dernières éditions du Tour de France, Dan Martin est un coureur régulier ces dernières années, et capable de coups d’éclat, comme il l’a fait lors de la 6ème étape de la dernière Grande Boucle. Excellent grimpeur, l’irlandais peut prétendre à la victoire finale sur le Tour de Valence, même si la tâche semble difficile au vu de la concurrence.

Luis Léon Sánchez (Astana) – 35 ans

Contrairement à plusieurs de ses adversaires, avant de se présenter au départ de cette épreuve espagnole, Luis Léon Sánchez à déjà mis la machine en route en ce début de saison. Aligné sur le Tour Down Under et sur la Cadel Evans Great Ocean Road Race, le puncheur d’Astana est déjà affûté, chose qui pourrait réellement faire pencher la balance en sa faveur sur une telle course à étapes. Souvent placé mais jamais vainqueur ces dernières semaines, c’est un outsider à prendre très au sérieux.

Mikel Nieve (Mitcheton-Scott) – 34 ans

À 34 ans, Mikel Nieve a prouvé au cours des dernières saisons son impressionnante régularité en Grand Tour. Excellent grimpeur, la grosse étape de montagne de la semaine ne devrait pas constituer un problème pour lui, et s’il devrait être un équipier de luxe pour Adam Yates, l’espagnol pourrait tout autant prendre les choses en main en cas de défaillance de son leader.

Jesús Herrada (Cofidis) – 28 ans

Coureur combatif par excellence, Jesús Herrada n’a pas été en réussite l’an passé, notamment sur le Tour d’Espagne, où il s’était fait ravir le maillot de meilleur grimpeur par Thomas de Gendt dans les toutes dernières étapes de l’épreuve. Mais l’espagnol a magnifiquement rebondi en ce début de saison, remportant le Trofeo Ses Salines devant d’excellents adversaires. Outsider de ce Tour de Valence, il ne faudra pas le sous-estimer.

Matej Mohorič (Bahrain-Merida) – 24 ans

Matej Mohorič sort d’une excellente année, durant laquelle il a brillé tant en Grand Tour que sur des courses d’un jour. Mais face à des adversaires tels que Valverde ou Thomas, le jeune slovène devrait plutôt joueur une victoire d’étape que le général, qui n’est pas impossible au vu de ses références de 2018.

David de la Cruz (Sky) – 29 ans

Si il aura surement plutôt un rôle d’équipier pour son leader Geraint Thomas, David de la Cruz sera tout de même un coureur à suivre sur le Tour de Valence. Bon grimpeur, le 15ème de la dernière Vuelta pourrait surprendre ses adversaires, et peut-être jouer une victoire d’étape.

Tour de la Communauté de Valence 2019 : la liste des coureurs engagés

Du 6 au 10 févier aura lieu le Tour de la Communauté de Valence 2019, première course par étapes européenne de l’année cycliste. C’est notamment l’occasion de voir quelques uns des grands noms du cyclisme international, qui vont pouvoir enfin en découdre de nouveau dans une compétition durant quelques jours. Ils auront tous à effectuer un parcours long de 643,2 kilomètres, qui nécessitera des qualités différentes en fonction des journées. Ceux qui se montreront les plus réguliers pourront prétendre au mieux à une place intéressante au niveau du classement général. En évoquant la victoire finale, Alejandro Valverde (Movistar Team) est forcément un nom qui va revenir. Le tenant du titre aura notamment à maîtriser son dauphin de l’an passé et compatriote Luis Leon Sanchez (Team Astana) ou bien encore Jesus Herrada (Cofidis) probant cinquième sur l’édition précédente. Mais ils seront encore d’autres à pouvoir jouer les premiers rôles. Retrouvez la liste des coureurs engagés et des favoris.

Les coureurs engagés sur le Tour de la Communauté de Valence 2019

Pour ce Tour de la Communauté de Valence 2019, plusieurs coureurs sont en mesure de viser la victoire finale. Il s’agira de bien lancer sa saison à travers cette course par étapes. Évoluant à domicile, Alejandro Valverde aura évidemment une certaine pression à assumer. Du fait aussi de son statut de vainqueur sortant, celui qui va évoluer pour la première fois en Espagne avec son maillot de champion du monde ne peut pas jouer autre chose que la première place. Passé pas si loin l’an passé, Luis Leon Sanchez (Team Astana) a montré que ce genre de parcours pouvait lui convenir. Et vu sa forme affiché en ce début de saison, il s’annonce de nouveau redoutable. En ce qui concerne le duo britannique, Geraint Thomas (Team Sky) et Adam Yates (Mitchelton-Scott), difficile de savoir où ils en sont. Mais dès leur course de rentrée, ils pourraient bien s’illustrer en jouant un rôle important. Et dans un autre registre, d’autres coureurs de renom auront l’opportunité de se démarquer. Dylan Groenewegen (Team Jumbo-Visma), Sonny Colbrelli (Bahrain Merida), Nacer Bouhanni (Cofidis) et Greg Van Avermaet (CCC Team) prendront le départ. De belles passes d’armes sont donc à prévoir à différents niveaux.

Favoris et outsiders du Tour de la Communauté de Valence 2019

***** Alejandro Valverde
**** Adam Yates, Geraint Thomas
*** Luis Leon Sanchez, Dan Martin, Dylan Teuns
** Jesus Herrada, Ion Izagirre, Rui Costa, Esteban Chaves
* Roman Kreuziger, Ben Hermans, David De La Cruz, Matej Mohoric, Pello Bilbao

Equipes et coureurs engagés – Liste des participants

Ce sont 24 équipes de 7 coureurs maximum qui prendront le départ de ce Tour de la Communauté de Valence 2019, première course par étapes de l’année en Europe, soit 168 coureurs engagés qui auront à parcourir 643,2 kilomètres répartis sur les cinq jours de course.

MOVISTAR TEAM

  • 1 – VALVERDE Alejandro
  • 2 – CARRETERO Hector
  • 3 – FERNANDEZ Ruben
  • 4 – OLIVEIRA Nelson
  • 5 – ROELANDTS Jürgen
  • 6 – VALLS Rafael
  • 7 – VERONA Carlos

TEAM SKY

  • 11 – DE LA CRUZ David
  • 12 – LAWLESS Chris
  • 13 – PUCCIO Salvatore
  • 14 – ROSA Diego
  • 15 – STANNARD Ian
  • 16 – SWIFT Ben
  • 17 – THOMAS Geraint

CCC TEAM

  • 21 – ANTUNES Amaro
  • 22 – DE MARCHI Alessandro
  • 23 – SCHÄR Michael
  • 24 – VAN AVERMAET Greg
  • 25 – VAN HOECKE Gijs
  • 26 – VAN KEIRSBULCK Guillaume
  • 27 – WISNIOWSKI Lukasz

MITCHELTON-SCOTT

  • 31 – TRENTIN Matteo
  • 32 – YATES Adam
  • 33 – CHAVES Esteban
  • 34 – NIEVE Mikel
  • 35 – HAIG Jack
  • 36 – JUUL-JENSEN Christopher
  • 37 – MEZGEC Luka

ASTANA PRO TEAM

  • 41 – SANCHEZ Luis Leon
  • 42 – BILBAO Pello
  • 43 – HOULE Hugo
  • 44 – IZAGIRRE Ion
  • 45 – FRAILE Omar
  • 46 – CORT Magnus
  • 47 – KUDUS Merhawi

BAHRAIN MERIDA

  • 51 – COLBRELLI Sonny
  • 52 – GARCIA Ivan
  • 53 – KOREN Kristijan
  • 54 – MOHORIC Matej
  • 55 – PERNSTEINER Hermann
  • 56 – TEUNS Dylan
  • 57 – TRATNIK Jan

TEAM JUMBO-VISMA

  • 61 – BOUWMAN Koen
  • 62 – VAN EMDEN Jos
  • 63 – GROENEWEGEN Dylan
  • 64 – TEUNISSEN Mike
  • 65 – MARTIN Tony
  • 66 – ROOSEN Timo
  • 67 – DE TIER Floris

AG2R LA MONDIALE

  • 71 – BOUCHARD Geoffrey
  • 72 – CHEVRIER Clément
  • 73 – DILLIER Silvan
  • 74 – DUVAL Julien
  • 75 – GOUGEARD Alexis
  • 76 – NAESEN Oliver
  • 77 – VANDENBERGH Stijn

UAE TEAM EMIRATES

  • 81 – COSTA Rui
  • 82 – KRISTOFF Alexander
  • 83 – MARCATO Marco
  • 84 – MARTIN Dan
  • 85 – MORI Manuele
  • 86 – RAVASI Edward
  • 87 – RIABUSHENKO Alexandr

TEAM KATUSHA – ALPECIN

  • 91 – GONCALVES José
  • 92 – HOLLENSTEIN Reto
  • 93 – CRAS Steff
  • 94 – SMIT Willie
  • 95 – TANFIELD Harry
  • 96 – WÜRTZ SCHMIDT Mads
  • 97 – ZABEL Rick

TEAM DIMENSION DATA

  • 101 – BAK Lars Yitting
  • 102 – BOASSON HAGEN Edvald
  • 103 – GASPAROTTO Enrico
  • 104 – KING Ben
  • 105 – KREUZIGER Roman
  • 106 – NIZZOLO Giacomo
  • 107 – THOMSON Jay Robert

COFIDIS

  • 111 – BOUHANNI Nacer
  • 112 – CLAEYS Dimitri
  • 113 – FORTIN Filippo
  • 114 – HERRADA Jesus
  • 115 – HERRADA José
  • 116 – MATE Luis Angel
  • 117 – VANBILSEN Kenneth

DIRECT ENERGIE

  • 121 – BOUDAT Thomas
  • 122 – GAUDIN Damien
  • 123 – GRELLIER Fabien
  • 124 – LIGTHART Pim
  • 125 – PETIT Adrien
  • 126 – TAARAMAË Rein
  • 127 – TERPSTRA Niki

ISRAEL CYCLING ACADEMY

  • 131 – GEBREMEDHIN Awet
  • 132 – SAGIV Guy
  • 133 – ENGER Sondre Holst
  • 134 – CIMOLAI Davide
  • 135 – HERMANS Ben
  • 136 – PLAZA Ruben
  • 137 – VAN WINDEN Dennis

SPORT VLAANDEREN – BALOISE

  • 141 – DE VYLDER Lindsay
  • 142 – DELTOMBE Kevin
  • 143 – NOPPE Christophe
  • 144 – SPRENGERS Thomas
  • 145 – VAN POUCKE Aaron
  • 146 – VAN GOMPEL Mathias
  • 147 – VAN HECKE Preben

NIPPO VINI FANTINI FAIZANE

  • 151 – CANOLA Marco
  • 152 – BAGIOLI Nicola
  • 153 – BOU Joan
  • 154 – HATSUYAMA Sho
  • 155 – LOBATO Juan José
  • 156 – LONARDI Giovanni
  • 157 – MOSER Moreno

EUSKADI – MURIAS

  • 161 – BRAVO Garkoitz
  • 162 – BARTHE Cyril
  • 163 – SANZ Enrique
  • 164 – BARCELO Fernando
  • 165 – ITURRIA Mikel
  • 166 – SAEZ Hector
  • 167 – SAMITIER Sergio

GAZPROM-RUSVELO

  • 171 – ARSLANOV Ildar
  • 172 – VLASOV Aleksandr
  • 173 – SHILOV Sergey
  • 174 – KURBATOV Alexey
  • 175 – STASH Mamyr
  • 176 – KULIKOV Vladislav
  • 177 – EVTUSHENKO Alexander

W52 / FC PORTO

  • 181 – ALARCON Raul
  • 182 – RODRIGUES Joao
  • 183 – PINTO Edgar
  • 184 – SILVA Joaquim
  • 185 – CARVALHO Antonio
  • 186 – VINHAS Rui
  • 187 – CALDEIRA Samuel José

CAJA RURAL – SEGUROS RGA

  • 191 – SERRANO Gonzalo
  • 192 – MOLINA Antonio
  • 193 – MORA Sebastian
  • 194 – LASTRA Jonathan
  • 195 – GONZALEZ David
  • 196 – ABERASTURI Jon
  • 197 – MOREIRA Mauricio

RALLY UHC CYCLING

  • 201 – CARPENTER Robin
  • 202 – ELLSAY Nigel
  • 204 – JOYCE Colin
  • 205 – ORONTE Emerson
  • 206 – MURPHY Kyle
  • 207 – TUFT Svein

FUNDACION EUSKADI

  • 211 – SOTO Antonio Jesus
  • 212 – LOPEZ Diego
  • 213 – HIGUITA Sergio
  • 214 – MARTIN Gotzon
  • 215 – AZURMENDI Ibai
  • 216 – GOIKOETXEA Peio
  • 217 – ALONSO Mikel

BURGOS-BH

  • 221 – FERNANDES José
  • 222 – EZQUERRA Jesus
  • 223 – RUBIO Diego
  • 224 – VILELA Ricardo
  • 225 – PENALVER Manuel
  • 226 – SUREDA Jaume
  • 227 – MADRAZO Angel

KOMETA CYCLING TEAM

  • 231 – LOPEZ Juan Pedro
  • 232 – RIES Michel
  • 233 – GAZZOLI Michele
  • 234 – OLDANI Steffano
  • 235 – CAMACHO Juan
  • 236 – SEVILLA Diego Pablo
  • 237 – GARCIA José Antonio

Tour de la Communauté de Valence 2019 : Présentation parcours, étapes, profil

Du 6 au 10 février va se tenir le Tour de la Communauté de Valence 2019, qui est la première course par étapes de la saison disputée sur le sol espagnol et même en Europe. Cette 69e édition comportera cinq étapes, quatre en ligne plus un contre-la-montre individuel. Le départ de cette compétition se fera du côté d’Orihuela pour se terminer quelques jours plus tard à Valence. En tout, cela représentera un total de 643,2 kilomètres afin de pouvoir sacrer le lauréat de l’épreuve. Par rapport à ce qui s’était déroulé sur l’édition précédente, c’est Alejandro Valverde (Movistar Team) qui remet son tire en jeu. L’Espagnol s’était montré impérial et presque imbattable. Remportant deux étapes, il l’avait remporté au final en devançant un duo du Team Astana, en l’occurrence Luis Leon Sanchez qui sera de nouveau présent cette année au contraire de Jakob Fuglsang, absent de la liste de départ.

Tout savoir sur le Tour de la Communauté de Valence 2019

Pour ne pas changer, il y en aura pour tout le monde sur ce 69e Tour de la Communauté de Valence. Entre étapes de plaine, vallonnées avec arrivée en bosse et contre-la-montre, chacun ou presque pourra s’y retrouver à un moment donné. C’est pourquoi à tous les niveaux, la course s’apprête d’être haletante et très serrée entre tous. Et notamment pour le classement général, qui se jouera certainement à quelques secondes du fait de la longueur de l’épreuve qui ne permet pas de creuser de trop grands écarts entre les meilleurs. Il faudra pouvoir saisir la moindre opportunité pour prétendre l’emporter au final après que les 643,2 kilomètres aient été effectués dans leur intégralité. Ce serait une belle manière en tout cas de pouvoir démarrer de cette façon la saison entamée depuis quelques semaines en Australie. En position de s’imposer une deuxième année consécutive, Alejandro Valverde est bien sûr un coureur à suivre tout particulièrement. Sauf qu’un certain Geraint Thomas (Team Sky) vainqueur du dernier Tour de France ou Simon Yates (Mitchelton-Scott) lauréat sur la Vuelta en septembre pour ne citer qu’eux vont se dresser sur la route de l’actuel champion du monde. Une belle bataille en perspective.

Parcours du Tour de la Communauté de Valence 2019 (2.1)

Mercredi 6 février – Etape 1 – Orihuela / Orihuela (10,2 km – CLM individuel)

Depuis 2016, un tel départ n’était pas donné. Pour la première étape du Tour de la Communauté de Valence 2019, il s’agira pour les coureurs d’effectuer un contre-la-montre individuel autour d’Orihuela. Celui-ci sera assez court en fait car dépassera à peine les 10 kilomètres. Et conviendra parfaitement aux purs rouleurs, car la quasi intégralité du parcours est plat. Seuls les derniers centaines de mètres présenteront un peu plus de dénivelé, mais pas de quoi changer non plus totalement le résultat.

Jeudi 7 février – Etape 2 – Alicante / Alicante (166 km)

Du dénivelé pour la première étape en ligne de cette édition. Mais des sprinteurs qui sont tout à fait en mesure de passer et de jouer la victoire ensuite. Les 125 premiers kilomètres sont certes compliqués à négocier avec pas moins de trois ascensions répertoriées pour le classement de la montagne. Mais une fois passé le dernier sommet, le plus dur sera derrière les coureurs qui auront plus que 40 kilomètres en descente ou sur du plat à effectuer. De quoi permettre aux coureurs rapides d’en tirer un avantage certain.

Vendredi 8 février – Etape 3 – Quart de Poblet / Chera (191 km)

La lutte pour le général va pouvoir se lancer. Sur l’étape la plus longue de cette édition, ce sont particulièrement les derniers kilomètres qui devront être suivis. Ceux-là qui pourraient provoquer certains écarts. Alors que la journée est globalement vallonnée, il faudra en plus se confronter à deux montées consécutives en un peu plus de quinze kilomètres. Cela doit donner forcément des idées.

Samedi 9 février – Etape 4 – Vila-Real / Alcara-Alcocebre (188 km)

Le verdict sera connu à l’issue de cet avant-dernier acte. Et plus précisément, après avoir effectué la montée d’Alcara-Alcocebre. Celle-ci décidera du sort de chacun dans ce Tour de la Communauté de Valence 2019. Après cela, il ne sera plus possible d’inverser la tendance du classement général. C’est donc bel et bien une bataille entre les coureurs les plus en jambe dans cette course qui est à attendre.

Dimanche 10 février – Etape 5 – Paterna / Valencia (88 km)

Pour refermer le chapitre de cette édition, pas de changement par rapport à l’an dernier, ni même aux années précédentes, l’arrivée se fera bien à Valence. Par contre, le tracé ne dépassera même pas les 100 kilomètres. Du coup, la journée s’annonce rapide et encore plus sur un parcours tout plat où les sprinteurs devraient logiquement s’expliquer pour la première place, à moins qu’une surprise peu probable n’arrive d’un coureur échappé.

France Télévisions revient sur sa décision, et diffusera la Bretagne Classic

C’est une excellente nouvelle pour le cyclisme français ! Après avoir annoncé sa volonté d’arrêter de diffuser la Bretagne Classic Ouest-France (mettant en péril l’organisation de la course), le groupe France Télévisions est finalement revenu sur sa décision, et sera finalement bel et bien diffuseur de cette épreuve estivale du calendrier World Tour.

La Bretagne Classic est sauvée !

Jugeant l’audience de la Bretagne Classic trop faible au regard de l’argent investi, France Télévisions avait annoncé il y a quelques jours sa volonté de se retirer de l’organisation de la course à compter de la saison 2019. Mais au vu de l’importance prise par la nouvelle, et de l’attachement du public à cette classique bretonne, le groupe s’est ravisé, et est revenu sur sa décision. La grande mobilisation des acteurs du cyclisme français aura eu raison du plan d’économies financières de France Télévisions.

Ainsi, la 83ème édition de la Bretagne Classic aura bel et bien lieu l’été prochain. Rappelons que l’an passé, c’est le belge Oliver Naesen (AG2R La Mondiale) qui s’était imposé à Plouay.

À la suite de l’annonce, plusieurs personnalités du cyclisme s’étaient en effet mobilisées pour demander le maintien de la course :

Thibaut Pinot veut terminer sur le podium du Tour de France

A l’occasion de la présentation de l’équipe Groupama-FDJ, les grandes lignes du programme de Thibaut Pinot ont été confirmées. Sans surprise, le Français fera bien du Tour de France (6 – 28 juillet) son objectif majeur de la saison avec l’ambition d’y évoluer à son meilleur niveau.

Le Tour de France 2019 dans le viseur de Thibaut Pinot

Depuis 1985, la France attend un successeur à Bernard Hinault comme vainqueur du Tour de France. Et si c’était pour cette année ? Il n’est pas du tout utopique de penser que cette performance soit réalisable en juillet prochain compte tenu du niveau affiché ces derniers mois par Thibaut Pinot notamment. Le Français, qui a remporté son premier Monument en octobre dernier le Tour de Lombardie, a clairement pris une autre dimension depuis ce fantastique résultat. Évoluant à son meilleur niveau, le coureur de Groupama-FDJ n’a rien à envier aux autres. Et le prochain Tour de France peut parfaitement le prouver.

Si le mot de victoire finale n’a pas été émis, Pinot a par contre bien déclaré que le podium final était visé. Une performance déjà réalisée par le passé sur la Grande Boucle, mais qui commence à dater. C’était une troisième place en 2014 derrière Vincenzo Nibali et Jean-Christophe Péraud. Bien sûr, atteindre de nouveau un même résultat serait une belle satisfaction, mais il est aussi possible de viser encore plus haut. En tout cas, Pinot et Groupama-FDJ  vont se donner les moyens de réussir. Mais avant d’arriver en juillet, il y aura quelques autres courses à bien négocier dont la première qui sera pour le Franc-Comtois le Tour de Provence, sans oublier un peu plus tard les épreuves World Tour que sont Tirreno-Adriatico et le Tour de Catalogne.

Programme de Thibaut Pinot jusqu’au Tour de France

  • Tour de Provence (14 – 17 février)
  • Tour du Haut-Var (22 – 24 février)
  • GP Industria (10 mars)
  • Tirreno-Adriatico (13 – 19 mars)
  • Tour de Catalogne (25 – 31 mars)
  • Tour de l’Ain (24 – 26 mai)
  • Critérium du Dauphiné (9 – 16 juin)
  • Championnats de France (28 juin – 1er juillet)
  • Le Tour de France (6 – 28 juillet)

Arnaud Démare va refaire son apparition sur le Tour d’Italie

Présent au départ des éditions 2012 et 2016, Arnaud Démare participera cette année pour la troisième fois de sa carrière au Tour d’Italie (11 mai – 2 juin). Pour le Français, l’objectif sera clair, celui de remporter au minimum une victoire d’étape. Une chose que le sprinteur de Groupama-FDJ n’est pas encore parvenu à faire. Une belle échéance en perspective.

Le Giro 2019 avec Arnaud Démare

Après Alexis Vuillermoz et Tony Gallopin, c’est la présence d’un autre coureur français majeur qui vient d’être confirmée et devenue officielle pour le prochain Tour d’Italie. Arnaud Démare sera bien au départ de la 102e édition, qui s’élancera le 11 mai de Bologne pour s’achever trois semaines plus tard le 2 juin à Vérone. Ça ne sera pas une découverte pour l’ex double champion de France, qui va nourrir de grosses ambitions sur ce premier Grand Tour de la saison. Avec le compteur encore bloqué ici contrairement au Tour de France, les intentions seront claires. Celles de remporter au moins l’une des vingt-et-une étape, mais l’envie est bien plus grande que ça. Ce sont plusieurs victoires qui vont être visées.

Si à ce jour, Démare n’a encore jamais réussi à remporter deux étapes sur un même Grand Tour, ce Tour d’Italie 2019 peut être l’occasion de mettre fin à cette statistique. En tout cas, l’un des leaders de Groupama-FDJ pourra profiter d’un terrain à sa convenance sur les douze premières étapes de cette édition. Avec de nombreux profils qui pourront favoriser les coureurs les plus rapides, le Français aura des occasions à saisir. Pour être dans les meilleures dispositions dans ce grand rendez-vous italien, il bénéficiera bien évidemment d’une équipe qui sera en grande partie articulée autour de lui. Mais à chaque fois, bien finir le travail sera la mission à relever.

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VIDÉOS Tour de San Juan 2019 étape 7

Retrouvez les vidéos de la septième et dernière étape du Tour de San Juan 2019 avec la victoire de Sam Benett (Bora-Hansgrohe). Vainqueur d’un sprint massif, l’Irlandais aura réussi à remplir l’objectif en s’imposant une fois dans cette course par étapes argentine. Cette compétition a d’ailleurs consacré Winner Anacona (Movistar Team), premier au classement général final.

Sam Bennett, le plus rapide au sprint

Cela n’a pas été une partie de plaisir, mais le résultat est au bout. Sam Bennett est parvenu à l’emporter juste avant que le Tour de San Juan 2019 ne soit définitivement terminé. Evidemment, une grosse satisfaction sachant que les précédentes tentatives ne s’étaient pas révélées aussi fructueuses. Cette fois-ci, ça a bien fonctionne même si tout n’a pas été parfait.

Sur la dernière ligne droite de cette journée qui s’est logiquement finie avec un peloton groupé, Bennett a été bien emmené par Peter Sagan. Par contre, l’autre coureur, Erik Baska, qui devait former ce train n’était pas au contact directement de son leader. Cela aurait pu mal tourner, mais Bennett est passé dans les tout derniers mètres par rapport à Alvaro José Hodeg (Deceuninck – Quick Step). De son côté, Winner Anacona, leader de la course, n’a pas eu à s’inquiéter et a bien conservé sa tunique jusqu’au bout. Une semaine que le Colombien n’est pas prêt d’oublier.

Le final de la course

Dernière étape pour Sam Bennett, le général pour Winner Anacona

Comme attendu, la septième et ultime étape du Tour de San Juan s’est achevée par un sprint massif qui a permis à Sam Bennett (Bora-Hansgrohe) de l’emporter. L’Irlandais a pris le meilleur notamment sur Alvaro Jose Hodeg (Deceuninck – Quick Step) et Erik Baska (Bora-Hansgrohe). De son côté, Winner Anacona a passé une journée tranquille et conclut la compétition en vainqueur du classement général après avoir pris les commandes à l’issue de l’étape reine.

Sam Bennett finit bien le Tour de San Juan

Pour une fois, ce n’est pas Fernando Gaviria qui s’est imposé à l’issue d’un sprint massif dans ce Tour San Juan. Seulement dixième, le Colombien a été nettement battu et débordé, notamment par Sam Bennett qui a profité de cette dernière journée de course afin de ne pas repartir bredouille d’Argentine. Et par la même occasion, sa formation Bora-Hansgrohe par le biais de son sprinteur empoche aussi un succès sur cette édition.

Alors que cela ne faisait pas beaucoup de doute que l’étape allait se terminait de manière groupée, il fallait encore bien terminer pour Bennett. Une chose qu’il a réussi à faire même si ce fut loin d’être une formalité. En effet, le train de Bora-Hansgrohe a connu des difficultés pour se mettre véritablement bien en place. Peter Sagan (5e) a emmené Bennett, mais Erik Baska (3e) autre coureur devant l’aider dans les derniers centaines de mètres n’a pas se trouver avec l’Irlandais. Heureusement, ça n’a pas eu d’influences sur le résultat final malgré le fait qu’avec son dauphin Hodeg, tout s’est joué dans les ultimes mètres précédant la ligne d’arrivée.

Winner Anacona, le vainqueur final

Alors que pour les sprinteurs, l’enjeu était important pour en finir de cette édition du Tour de San Juan, les principaux protagonistes du général n’avait pas grand chose à espérer ou même à viser. Ils se devaient juste de suivre et de terminer dans le peloton afin de ne rien perdre comme temps. Et ce qu’est parvenu à faire sans soucis notamment Winner Anacona, qui est le gagnant cette année de cette course par étapes argentine. C’est son succès dans l’étape la plus difficile avec une arrivée au sommet qui lui a permis d’atteindre la première place.

Assurément, une franche réussite pour le Colombien qui devance un autre coureur qui se sera fait marquer de manière très positive tout au long de la semaine, en l’occurrence Julian Alaphilippe. Le Français vainqueur de deux étapes pouvait difficilement prétendre à une meilleure entame de saison. Ce podium est enfin complété par Oscar Sevilla, qui était le tenant du titre de l’épreuve.

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VIDÉOS Grand Prix Cycliste La Marseillaise 2019

Retrouvez les vidéos du Grand Prix Cycliste La Marseillaise 2019 marquée par la victoire d’Anthony Turgis (Direct Energie). Le vice-champion de France 2018 a démarré de la meilleure manière qui soit sa saison avec sa nouvelle formation. C’est la cinquième victoire de sa carrière, mais surtout la première depuis deux ans et demi.

Anthony Turgis vainqueur du GP La Marseillaise

Après Arthur Vichot et Alexandre Geniez, c’est à nouveau un Français qui s’est imposé au GP La Marseillaise, rendez-vous qui marque le début de saison en France et en Europe. A son tour, Anthony Turgis a inscrit son nom au palmarès après avoir passé la quasi intégralité de la course à l’avant. Faisant partie de l’échappée, ses chances paraissaient plutôt faibles au départ. Mais au fil des kilomètres, cette option s’est avérée la bonne.

En effet, dans la phase finale de la course, Turgis avec Romain Combaud (Delko Marseille Provence) ont distancé Julien Antomarchi (Natura4Ever – Roubaix Lille Metropole) et Moren Van Niekerk (St Michel – Auber 93). Ils ont alors effectué les trente derniers kilomètres environ à deux sans être rejoint par le peloton, qui a terminé à un peu plus de vingt secondes derrière eux. Tom Van Asbroeck (Israêl Cycling Academy) a été le plus rapide pour prendre la 3e place, tandis que devant Turgis s’est débarrassé au sprint de Combaud.

Le final de la course

Mathieu Van der Poel redevient champion du monde

Pour la deuxième fois de sa carrière, Mathieu Van der Poel a remporté l’épreuve des championnats du monde. A Bogense (Danemark), le Néerlandais a largement dominé pour aller s’emparer du maillot arc-en-ciel. Ses deux principaux rivaux, les Belges Wout Van Aert, triple champion du monde en titre et Toon Aerts vainqueur du général de la coupe du monde cette saison ont dû se contenter de la médaille d’argent et de bronze.

Le maillot arc-en-ciel pour Mathieu Van der Poel

Il l’a fait ! Depuis son premier titre acquis en 2015 à Tabor en République Tchèque, Mathieu Van der Poel n’avait plus jamais remporté le championnat du monde. C’est désormais chose faite avec sa performance réalisée du côté de Bogense. Il aura été impérial de bout en bout, même si Wout Van Aert en particulier a tout fait pour essayer de remporter une quatrième couronne mondiale consécutive. Mais comme tout le monde, le Belge a dû cédé à un moment donné.

Dès le départ, la course est partie sur un sacrée rythme, qui a vu tout de suite les meilleurs de la discipline se détacher, en l’occurrence les Belges et les Néerlandais. Et c’est bien Mathieu Van der Pole qui a été le premier à faire une vraie différence. Cependant, par rapport à ce qui se passait tout au long de la saison, il a dû se résoudre à un retour de Van Aert son plus grand rival. La lutte tant attendue allait avoir lieu, mais le basculement s’est fait un peu plus tard, au cinquième des douze tours programmés. Le moment où Van der Poel est définitivement parti seul. Plus jamais Van Aert ne recollera et ne le reverra.

Ensuite, l’écart a été creusé et Van der Poel a bien semblé inatteignable. C’était son jour, à l’image de sa saison pour le moins remarquable. Son titre n’est pas en soi une surprise, car le Néerlandais est bien la maître de la discipline depuis un certain temps, mais il a enfin réussi à renouer avec le succès dans le championnat du monde. Pendant un an, le maillot-arc-en-ciel sera sur ses épaules.

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Anthony Turgis, la belle surprise du GP La Marseillaise

Membre de l’échappée matinale, Anthony Turgis a résisté jusqu’au bout au retour du peloton pour aller remporter la 40e édition Grand Prix Cycliste La Marseillaise. Le coureur de Direct Energie a battu au sprint Romain Combaud (Delko Marseille Provence). Réglant le peloton, Tom Van Asbroeck (Israel Cycling Academy) a terminé à la troisième place.

Des débuts tonitruants pour Anthony Turgis

L’audace a été récompensée. Pour l’ouverture de la saison en France, à l’occasion du GP La Marseillaise, il s’est avéré qu’une échappée a eu le dernier mot. Un fait rare encore plus dans une course d’un jour comme celle-ci. Et plus précisément, Anthony Turgis a décroché la victoire battant tout en puissance au sprint Romain Combaud. Ils auront bien résisté à un peloton, qui a échoué à vingt-trois secondes du duo français. Arrivé donc pour la troisième place, c’est Tom Van Asbreock qui a réussi à se faire une place sur la marche du podium restante. Dans son sillage à noter la belle quatrième place de Julien Trarieux (Delko Marseille Provence) ou encore la sixième place de Lilian Calmejane (Direct Energie).

Rien qu’à voir le résultat final, Delko Marseille Provence et Direct Energie ont été les deux grandes équipes de cette édition. Celles qui ont aminé le plus la course et ont logiquement été récompensés. Prônant une course offensive, elle se retrouvaient à l’avant avec Anthony Turgis et Romain Combaud qui ont passé l’intégralité de la journée devant. Ils ont roulé un temps en compagnie de julien Antomarchi (Natura4Ever – Roubaix Lille Métropole) et Morne Van Niekerk (St Michel -Auber 93), mais ces deux coureurs ont décroché à une trentaine de kilomètres de l’arrivée. C’était une lutte entre deux hommes isolés en tête et un peloton lancé à vive allure. A priori, ce combat semblait déséquilibré, mais en fait pas du tout. Avec beaucoup trop de temps à reprendre sur Turgis et Combaud, la victoire était devenue inaccessible à force de se rapprocher de l’arrivée.

Dans la dernière difficulté, le Col de la Gineste, le vent de face n’incitaient pas forcément à l’attaque. D’ailleurs ces conditions météorologiques avaient poussé l’organisation la veille à modifier le parcours initial et à supprimer le col des crètes, réputé comme la plus dure des montées prévues. Cela n’a pas dissuadé pour autant Valentin Madouas de tenter sa chance et essayer tout seul de combler l’écart mais sa tentative va être finalement veine. Turgis et Combaud se sont bien expliqués au sprint pour remporter ce GP La Marseillaise, avec l’avantage qui est revenue au coureur de Direct Energie. Pour sa première apparition en compétition avec ses nouvelles couleurs, le vice-champion de France ne pouvait pas mieux lancer sa saison.

Marcel Kittel remporte au sprint le Trofeo Palma

Après avoir vécu une dernière saison pour le moins compliquée et très loin de ses attentes, Marcel Kittel (Team Katusha Alpecin) se relance très bien. Dans une arrivée avec un peloton groupé, l’Allemand s’est en effet imposé sur le Trofeo Palma en réglant notamment Timothy Dupont (Wanty – Gobert) et Hugo Hofstetter (Cofidis). 

Marcel Kittel renoue avec la victoire

Ça faisait presque dix mois qu’il attendait de retrouver la première place. C’est désormais chose faite pour Marcel Kittel, qui a été le plus rapide dans le sprint pour aller remporter le Trofeo Palma. Dans cette quatrième et dernière manche du Challenge de Majorque, c’est traditionnellement un sprinteur qui arrive à s’illustrer, et le coureur du Team Katusha-Alpecin en a pleinement profité. De quoi forcément lui apporter de la confiance, qui lui avait tant manquée ces derniers temps.

S’il est encore difficile de savoir si ce premier succès va en appeler d’autres cette saison. Kittel est arrivé en tout cas à débloquer son compteur assez rapidement. Parmi les coureurs qui pouvaient être considérés comme favoris, c’est celui indéniablement qui s’en est le mieux sorti. Ses premiers poursuivants ont été plutôt des outsiders comme Timothy Dupont et Hugo Hofstetter. Et même si la victoire leur échappe, c’est un podium au moins satisfaisant pour ces deux coureurs. Par contre, la déception peut être plus grande concernant André Greipel, seulement cinquième sur la ligne alors que John Degenkolb le tenant du titre a dû se contenter d’une huitième place.

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VIDÉOS Herald Sun Tour 2019 étape 5

Retrouvez les meilleurs moments de la cinquième étape de l’Herald Sun Tour 2019 qui s’est terminé par le succès de Kristoffer Halvorsen. Le Norvégien l’a emporté au sprint à Melbourne et conclut de la meilleure manière la semaine du Team Sky, qui s’est rapprochée de la perfection.

Team Sky emporte tout sur son passage à l’Herald Sun Tour 2019

Déjà vainqueur avec Owain Doull sur cet Herald Sun Tour 2019, Team Sky a de nouveau pu goûter à la victoire avec un autre de ses coureurs, Kristoffer Halvorsen. Le Norvégien s’est montré parfait dans le final en maîtrisant le sprint. Une première place qui est forcément spécial pour l’ex-champion du monde espoirs car il s’agit de son premier succès sous le maillot de la formation britannique.

Mais la journée des premières chez Sky ne s’est pas arrêtée car Dylan Van Baarle a aussi réussi remporté le classement général de l’Herald Sun Tour. Pour le Néerlandais, c’est une performance de premier plan car il devance notamment des coureurs comme Michael Woods et Richie Porte, qui pouvaient être considérés comme les principaux favoris.

Le résumé de la course

Inge Van der Heijden, la nouvelle championne du monde espoirs

Après une course ultra resserrée et très tactique, c’est la néerlandaise Inge Van der Heijden qui s’est emparé du titre mondial. Faisant la différence à la fin du dernier tour, elle a terminé devant deux autres compatriotes Fleur Nagengast et Ceylin Del Carmen Alvarado. C’est la première médaille d’or pour les Pays-Bas dans cette édition.

Inge Van der Heijden au top d’un podium 100% néerlandais

La course la plus indécise de ce championnat du monde de cyclo-cross ! L’épreuve féminine espoirs a tenu toutes ses promesses du départ à l’arrivée. Le suspense fut intégrale avec de nombreuses concurrentes dont le niveau était super rapproché. C’est simple, personne n’a véritablement pu se détacher et prendre le large, tout le contraire donc de ce qui c’était passé jusqu’à maintenant sur le reste du programme.

Pour preuve, elles étaient une bonne dizaine à pouvoir prétendre au maillot arc-en-ciel lorsqu’il aura fallu aborder le dernier tour. Il n’est pas habituel de se retrouver dans ce genre de situation. Cela donne encore plus d’importance au placement pour les portions plus techniques du parcours. Arrivant à les négocier dans les premières positions, les représentantes néerlandaises ont mené toujours quasiment le rythme. Et petit à petit, ça a cédé par l’arrière.

Pour ce qui est de la lutte pour la première place, Alvarado avait pris quelques longueurs d’avance par rapport à Van der Heijden. Il restait alors à négocier la phase plate menant jusqu’à la ligne d’arrivée. Mais arrivée à bout de force, la lauréate de la coupe du monde n’a pas résisté et s’est faite déborder par Van der Heijden, qui a réalisé le coup parfait dans les derniers mètres, alors que Nagengast a finalement pris la médaille d’argent.

VIDÉOS Tour de San Juan 2019 étape 6

Retrouvez les vidéos de la sixième étape du Tour de San Juan 2019 avec le beau coup réalisé par German Tivani (Agrupacion Vorgen De Fatima). L’Argentin qui a été membre d’une échappée est arrivée jusqu’au bout avec deux autres de ses compatriotes, alors que la première partie du peloton avec quelques uns des sprinteurs a été battu.

German Tivani connaît son jour de gloire

Quoi de mieux que s’imposer sur son tour national ? Pour un coureur portant les couleurs d’une modeste formation locale argentine, c’est évidemment un rêve qui devient réalité. German Tivani est parvenu à atteindre cet objectif en remportant avec l’aide de trois autres coureurs échappés son duel contre le peloton. Pourtant, c’était loin d’être gagné au vu du profil convenant logiquement aux sprinteurs avec très peu de dénivelé.

Mais le regroupement n’a jamais eu lieu, les coureurs de tête ont fait plus que de la résistance. Leurs efforts respectifs se sont avérés payants et derrière, il a fallu se contenter des places d’honneur. A l’avant, Tivani s’est montré bien trop fort au sprint par rapport à Daniel Diaz et Daniel Zamora, qui ont pris la deuxième et troisième place. Et dernière chose à noter, c’est le fait que Winner Anacona (Movistar Team) n’est plus très loin de remporter le général de cette épreuve.

Le final de la course

L’étape pour Kristoffer Halvorsen, Dylan Van Baarle gagne le général

Une fin exceptionnelle pour le Team Sky. Sur la dernière étape de l’Herald Sun Tour, la formation britannique a obtenu la victoire grâce à son sprinteur Kristoffer Halvorsen, qui a devancé Dion Smith (Mitchelton-Scott) et Brenton Jones (Korda Mentha Real Estate Australia). Alors que Dylan Van Baarle, leader depuis la veille, s’est distingué en remportant le classement général final.

L’ultime sprint revient à Kristoffer Halvorsen, l’Herald Sun Tour gagné par Dylan Van Baarle

Une équipe aura tout emporté sur l’Herald Sun Tour 2019, c’est le Team Sky. Elle a terminé de façon spectaculaire en s’adjugeant la cinquième et dernière étape par le biais de Kristoffer Halvorsen. Et dans le même temps, un autre de ses coureurs Dylan Van Baarle a inscrit son nom au palmarès. C’est dire à quel point cette formation phare du peloton international peut repartir d’Australie avec le sentiment du devoir accompli.

Pour en revenir à cette dernière journée de course, c’est exactement le scénario prévu qui s’est déroulé. Avec moins de 100 kilomètres à parcourir, les coureurs échappés n’ont pas réussi à surprendre un peloton vigilant et qui a permis aux meilleurs sprinteurs de s’illustrer. Justement, Halvorsen a profité pleinement de cette occasion en maîtrisant son sujet dans les derniers mètres et laissant la concurrence se battre pour les places d’honneur.

Pour ceux qui occupaient les premières places du général, il n’y a pas eu de soucis particuliers à rester dans le peloton. Du coup, comme c’était à prévoir, le classement n’a pas subi de modifications marquantes. La victoire finale de Dylan Van Baarle a pu être officialisée. C’est évidemment une immense satisfaction pour le Néerlandais, qui s’adjuge pour la première fois de sa carrière une course par étapes. Le podium a été complété par Nick Schultz (Mitchelton-Scott) et par Michael Woods (EF Education First).

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German Tivani crée la surprise, les sprinteurs battus

Le peloton s’est fait piéger sur la sixième et avant-dernière étape du Tour de San Juan. Une échappée est allée au bout et trois coureurs se sont disputés la victoire. Tous argentins, c’est German Tivani (Agrupacion Vorgen De Fatima) qui a été le plus rapide au sprint par rapport à Daniel Diaz (Equipo Municipalidad de Pocito) et Daniel Zamora (Agrupacion Vorgen De Fatima). Présent dans un peloton qui a franchi la ligne d’arrivée avec dix-huit secondes de retard, Winner Anacona (Team Movistar) vainqueur la veille est resté leader du général.

German Tivani, une victoire inattendue

Un scénario pour le moins étonnant. C’est sur quoi a débouché l’avant-dernière journée de course du Tour de San Juan. Dans une étape qui semblait largement favorable pour une arrivée groupée et donc pour les sprinteurs en particulier, c’est une échappée qui a eu le fin mot de l’histoire. Mais plus surprenant encore, elle n’était composée que de quatre éléments et tous sans exception assez bien placés au général. Que ce soit German Tivani, Daniel Diaz, Daniel Zamora et Dayer Quintana (Neri Sottoli – Selle Italia – KTM), ils étaient tous placés entre deux minutes et trois minutes trente secondes de Winner Anacona, le porteur du maillot de leader. De quoi représenter forcément une menace pour ceux qui occupaient les premières positions.

Et si dans un premier temps, leur chance de réussite pour aller jusqu’au bout demeuraient très faibles, la probabilité s’est mise à augmenter progressivement. Quand à moins trente kilomètres de l’arrivée, l’écart est encore supérieur aux trois minutes, les raisons d’y croire pouvaient exister. De plus, à l’avant, ils n’ont pas ménagé leurs efforts, c’est ce qui leur a permis d’ailleurs de faire douter le peloton, qui a repris du temps mais pas suffisamment. Le suspense a eu beau duré un certain temps, quand les coureurs de tête sont entrés sur le circuit automobile d’El Villicium pour un peu moins des cinq kilomètres restants, il était acté qu’ils iraient au bout à part incroyable retournement de situation.

Concernant l’arrivée, et étant en supériorité numérique dans la formation Agrupacion Vorgen De Fatima, Daniel Zamora a roulé totalement pour German Tivani, qui a su finir le travail. Il n’a pas eu de soucis à s’imposer au sprint étant plus frais que Daniel Diaz devant se contenter d’une deuxième place. En tout cas, cette journée est une totale réussite pour le cyclisme argentin qui a placé trois de ses coureurs aux trois premières places. C’est le scénario parfait qui s’est déroulé. Mais cela ne change rien en ce ce qui concerne le classement général toujours dominé par Winner Anacona. Le Colombien a pris une petite cassure sur le final, mais reste avec trente-cinq secondes d’avance sur Julian Alaphilippe. Un écart normalement suffisant pour passer sans encombres la dernière étape du Tour de San Juan et remporter l’épreuve.

Trofeo Palma 2019 : la liste des coureurs engagés

Ce 3 février aura lieu le Trofeo Palma 2019, dernière des quatre courses prévues au programme du Challenge de Majorque. Celle-ci est à considérer comme la plus plate au niveau du profil. Le sprinteurs engagés seront clairement ceux qui auront le plus de chances de se distinguer. Les 159,6 kilomètres ne seront pas d’une grande difficulté même s’il sera nécessaire de franchir une ascension à quelques dizaines de kilomètres de l’arrivée. Mais cela reste accessible au plus grand nombre afin de ne pas être distancé. Voir un peloton groupé se disputer la victoire est le scénario le plus plausible et donc assister à une lutte entre notamment André Greipel (Arkéa – Samsic), John Degenkolb (Trek-Segafredo) et Alexander Kristoff (UAE Team Emirates) est à envisager sérieusement.

Les coureurs engagés sur le Trofeo Palma 2019

Par rapport aux trois courses précédentes de ce Challenge de Majorque, le scénario semble plus facile à deviner. Les sprinteurs, qui auront une opportunité, ne voudront pas la rater et risquent de contrôler la course à l’aide de leurs équipiers jusqu’à ce qui sera le temps de s’expliquer. En cas de présence dans le final, André Greipel aura de sérieux atouts à faire valoir tout comme son compatriote Marcel Kittel (Katusha-Alpecin). Mais attention à ne pas oublier aussi John Degenkolb et Alexander Kristoff qui peuvent tout à fait lutter au sprint.

Favoris et outsiders du Trofeo Palma 2019

***** John Degenkolb
**** André Greipel
*** Marcel Kittel, Alexander Kristoff
** Jean-Pierre Drucker, Andrea Pasqualon, Jürgen Roelandts
* Hugo Hofstetter, Thomas Boudat, Sondre Holst Enger, Jasper De Buyst, Jon Aberasturi

Equipes et coureurs engagés – Liste des participants

Ce sont 25 équipes de 7 coureurs maximum qui prendront le départ de ce Trofeo Palma 2019, soit 175 coureurs engagés qui auront à parcourir 159,6 kilomètres autour de Palma.

MOVISTAR TEAM

  • 3 – MAS Luis
  • 5 – PEDRERO Antonio
  • 6 – ROJAS José
  • 8 – VERONA Carlos
  • 9 – ERVITI Imanol
  • 10 – BENNATI Daniele
  • 11 – ROELANDTS Jürgen

UAE TEAM EMIRATES

  • 15 – DURASEK Kristijan
  • 16 – LAENGEN Vegard Stake
  • 17 – MARCATO Marco
  • 19 – MORI Manuele
  • 20 – OLIVEIRA Rui
  • 22 – KRISTOFF Alexander
  • 24 – RIABUSHENKO Alexandr

LOTTO SOUDAL

  • 25 – DE BUYST Jasper
  • 28 – ARMEE Sander
  • 29 – FRISON Frederik
  • 31 – LAMBRECHT Bjorg
  • 32 – NAESEN Lawrence
  • 33 – VAN GOETHEM Brian
  • 35 – WOUTERS Enzo

TEAM KATUSHA ALPECIN

  • 37 – KITTEL Marcel
  • 38 – BATTAGLIN Enrico
  • 39 – BIERMANS Jenthe
  • 40 – BOSWELL Ian
  • 47 – POLITT Nils
  • 51 – ZABEL Rick
  • 52 – ZAKARIN Ilnur

BORA – HANSGROHE

  • 54 – MAJKA Rafal
  • 56 – BENEDETTI Cesare
  • 60 – DRUCKER Jean-Pierre
  • 61 – KENNAUGH Peter
  • 63 – SAGAN Juraj
  • 64 – SCHILLINGER Andreas
  • 66 – SELIG Rüdiger

TREK – SEGAFREDO

  • 69 – DEGENKOLB John
  • 70 – BRAMBILLA Gianluca
  • 71 – BEPPU Fumiyuki
  • 73 – CONCI Nicola
  • 77 – IRIZAR Markel
  • 78 – MOSCHETTI Matteo
  • 79 – SKUJINS Toms

COFIDIS

  • 82 – EDET Nicolas
  • 85 – HOFSTETTER Hugo
  • 86 – LAFAY Victor
  • 87 – LEMOINE Cyril
  • 89 – MATHIS Marco
  • 90 – MORIN Emmanuel
  • 92 – TOUZE Damien

DIRECT ENERGIE

  • 96 – CARDIS Romain
  • 98 – LIGTHART Pim
  • 99 – NAULEAU Bryan
  • 101 – SELLIER Simon
  • 102 – SICARD Romain
  • 103 – TULIK Angelo
  • 104 – BOUDAT Thomas

CAJA RURAL – SEGUROS RGA

  • 105 – CANELLAS Xavier
  • 106 – ABERASTURI Jon
  • 108 – BANASZEK Alan
  • 111 – GONZALEZ David
  • 115 – MORA Sebastian
  • 116 – MOREIRA Mauricio
  • 117 – SERRANO Gonzalo

ROOMPOT – CHARLES

  • 119 – BOOM Lars
  • 120 – LEYSEN Senne
  • 121 – DE BIE Sean
  • 124 – VAN STAEYEN Michaël
  • 125 – ASSELMAN Jesper
  • 126 – VAN GINNEREN Sjoerd
  • 129 – VAN POPPEL Boy

SPORT VLAANDEREN – BALOISE

  • 131 – NOPPE Christophe
  • 132 – PLANCKAERT Emiel
  • 136 – VAN POUCKE Aaron
  • 137 – VAN ROOY Kenneth
  • 138 – VERWILST Aaron
  • 139 – WEEMAES Sasha
  • 140 – WILLEMS Thimo

TEAM ARKEA – SAMSIC

  • 142 – GREIPEL André
  • 144 – BONNAMOUR Franck
  • 146 – GUERNALEC Thibault
  • 147 – JARRIER Benoît
  • 148 – LE ROUX Romain
  • 150 – RUSSO Clément
  • 151 – WAGNER Robert

EUSKADI BASQUE COUNTRY

  • 154 – LOPEZ-COZAR Juan
  • 156 – SANZ Enrique
  • 157 – BARCELO Fernando
  • 158 – VIEJO Jose Daniel
  • 159 – SAEZ Hector
  • 161 – UDONDO Gotzon
  • 162 – GONZALEZ Mario

ISRAEL CYCLING ACADEMY

  • 166 – CATAFORD Alexander
  • 167 – BOIVIN Guillaume
  • 170 – CIMOLAI Davide
  • 171 – ENGER Sondre Holst
  • 172 – GOLDSTEIN Roy
  • 175 – SAGIV Guy
  • 176 – VAN WINDEN Dennis

RALLY UHC CYCLING

  • 180 – BRITTON Robert
  • 181 – COTE Pier-André
  • 184 – DE VOS Adam
  • 186 – HUFFMAN Evan
  • 188 – MAGNER Tyler
  • 190 – MCNULTY Brandon
  • 191 – MURPHY John

WANTY – GOBERT CYCLING

  • 196 – BACKAERT Frederik
  • 197 – DE WINTER Ludwig
  • 198 – DE DECKER Alfdan
  • 200 – DUPONT Timothy
  • 201 – KREDER Wesley
  • 202 – PASQUALON Andrea
  • 203 – VALLEE Boris

INTERPRO CYCLING ACADEMY

  • 209 – BOGDANOVICS Maris
  • 210 – CASANOVAS David
  • 212 – HUDRY Florian
  • 213 – SARAMOTINS Aleksejs
  • 214 – JONES Simon
  • 216 – PONCE Samuel
  • 217 – NAVARRO Gauthier

FUNDACION EUSKADI

  • 219 – ALONSO Mikel
  • 220 – ARANBURU Jokin
  • 221 – AZURMENDI Ibai
  • 222 – CUADRADO Unai
  • 223 – GOIKOETXEA Peio
  • 225 – MARTIN Gotzon
  • 227 – ZHYHUNOU Dzmitry

TEAM SAUERLAND NRW

  • 231 – HODAPP Johannes
  • 232 – LEINAU Joann
  • 233 – LEINAU Louis
  • 235 – KNOLLE Jon
  • 236 – INTRA Felix
  • 237 – MÜNSTERMANN Per
  • 238 – KULBE Lars

BIKE AID

  • 240 – KONING Peter
  • 242 – SCHÄFER Timo
  • 243 – VAN ENGELEN Adrie
  • 244 – BICHLMANN Daniel
  • 246 – CARSTENSEN Lucas
  • 247 – WOLF Justin
  • 248 – GROSSER Aaron

CANYON DHB

  • 250 – RICHARDSON Alexandar
  • 251 – PATON Alex
  • 253 – MCCARTHY Robert-Jon
  • 254 – DE BOCK Stijn
  • 261 – COLMAN Alex
  • 263 – HENNESSY Jacob
  • 264 – BOSTOCK Matthew

AMORE & VITA – PRODIR

  • 267 – BERNARDINETTI Marco
  • 268 – CELANO Danilo
  • 269 – FICARA Pierpaolo
  • 270 – FREULER Jan-andré
  • 271 – LUKSEVICS Viesturs
  • 273 – MONCASSIN Maxence
  • 274 – NIKA Iltjan

EVOPRO RACING

  • 277 – ALAFACI Eugenio
  • 280 – DOWNEY Mark
  • 281 – LIZDE Seid
  • 282 – MESTRE Dominic
  • 284 – FEELEY Daire
  • 285 – MCGEOUGH Cormac
  • 286 – ZHUPA Eugert

SEL ESPANOLA PISTA

  • 288 – TORRES Albert
  • 289 – BENNASSAR Joan
  • 290 – BUADES Marc
  • 291 – LLANERAS Pau
  • 293 – AMORES Julio
  • 296 – IRIBAR Unai
  • 297 – PELEGRI Oscar

Tim Wellens garde ses bonnes habitudes au Trofeo Tramuntana

Pour la troisième édition consécutive, Tim Wellens s’est imposé à l’occasion du Trofeo Tramuntana comptant comme la troisième manche du Challenge de Majorque. Le Belge a terminé la course en solitaire, tandis que Emanuel Buchmann (Bora-Hansgrohe) vainqueur la veille et Aljandro Valverde (Movistar Team) ont complété le podium.

Wellens, une nouvelle victoire au Challenge de Majorque

Cette course lui va à merveille. Une nouvelle fois, comme en 2017 et 2018, le parcours tracé entre Soller et Deia a souri à Tim Wellens, qui confirme sa réputation de bien démarrer dès l’entame des premières courses. D’ailleurs, ses deux précédentes prestations sur ce Challenge de Majorque l’avaient déjà montré. Cinquième sur le Trofeo Ses Salines – Felanitx, et deuxième sur Andratx – Lloseta, le Belge affichait un niveau plus qu’intéressant. Et sur le Trofeo Tramuntana, ça s’est encore mieux passé pour lui.

D’abord c’est une course d’usure qui a eu lieu. Avec un parcours modifié mais restant très vallonné et comportant 170 kilomètres, le peloton a peu à peu perdu de nombreux éléments. Restant uniquement les coureurs les plus en forme dans la phase décisive, c’est alors que Emanuel Buchmann est parti en solitaire. A l’image de sa victoire de la veille, l’Allemand a longtemps occupé la tête de course mais cette fois-ci il s’est fait rattrapé par deux coureurs, Alejandro Valverde et Tim Wellens.

Puis, dans les derniers kilomètres, c’est le Belge qui est passé à l’offensive. Son initiative va s’avérer décisive, puisque ses deux adversaires ne seront pas en capacité de revenir sur lui. C’est en tout cas un podium royal pour cette avant-dernière manche du Challenge de Majorque avec trois coureurs qui sont partis sur des bonnes bases. Pour la dernière journée disputée autour de Palma, l’avantage sera aux sprinteurs.

https://twitter.com/ChallengeMca/status/1091719597999443969

Troisième titre mondial décrochée par Sanne Cant

Après avoir vécu une saison souvent dans l’ombre des néerlandaises, Sanne Cant a réagi au meilleur des moments lors de ce championnat du monde. Sur le tracé de Bogense, au Danemark, la Belge a remporté pour la troisième fois de sa carrière cette épreuve. Lucinda Brand et Marianne Vos ont terminé sur le podium.

Sanne Cant reste championne du monde

Comme en 2018, Sanne Cant a remporté la course élite féminine des championnats du monde. Une performance qui était pas si évidente à prévoir avant même le départ de la course. N’arrivant jamais à gagner cette saison sur le circuit de la coupe du monde, elle était toujours devancée au minimum par une néerlandaise. Mais finalement la tendance s’est inversée sur la journée la plus importante de l’année en cyclo-cross.

Dans la course au maillot arc-en-ciel, Cant a affiche une solidité rarement vu ces derniers mois. Présente en permanence en tête de course, elle a dû se débrouiller seule face à quatre néerlandaises. A priori, la lutte semblait déséquilibrée, mais elle s’en est tirée parfaitement. Imposant son propre rythme, elle les a décroché les unes après les autres sans qu’aucune d’entre elle ne parvienne à revenir. Dans le dernier tour, Lucinda Branda a beau essayé de revenir et comblé l’écart mais ça n’a pas réussi pour celle qui comptait trois victoires en coupe du monde cette année. La dernière marche du podium a été prise par Marianne Vos, qui peut être aussi déçue, car avec son statut de vainqueur du général de la coupe du monde, elle pouvait prétendre à mieux. Mais Cant en a décidé autrement.

https://twitter.com/pasiociclismo/status/1091711833491279874

Vichot et Rolland pour mener Vital Concept au GP La Marseillaise

A l’occasion du GP La Marseillaise, ce sera la première apparition d’Arthur Vichot et de Pierre Rolland sous leurs nouvelles couleurs. Ils représenteront deux sérieux atouts de la formation Vital Concept – B&B Hôtels pour le début de la saison sur le continent européen.

Vichot, Rolland au départ du GP La Marseillaise

Le jour tant attendu est arrivé. Après avoir changé d’équipe à l’intersaison et rejoint Vital Concept – B&B Hôtels, Arthur Vichot ainsi que Pierre Rolland vont démarrer leurs saisons respectives au même endroit, sur le GP La Marseillaise. Dans cette course d’un jour qui marque le début de la saison en France, il y a l’occasion pour tous les deux de frapper déjà un grand coup et de commencer au mieux la collaboration avec leur nouvelle équipe. Ce sont deux coureurs majeurs de l’effectif, qui seront attendus pas seulement ddans cetet épreuve mais tout au long de la saison.

Concernant plus précisément Arthur Vichot, cette course d’ouverture disputée autour de Marseille lui convient parfaitement. D’ailleurs, ses résultats passés le démontrent de très belle manière. Vainqueur en 2017, il s’était alors imposé avec la tunique de champion de France. De quoi forcément donner des idées pour reproduire une telle performance et ajouter une deuxième fois son nom au palmarès. Compte tenu de ses qualtés de puncheur-sprinteur, cela est tout à fait envisageable.

De son côté, pour Pierre Rolland plus grimpeur, le parcours ne sera pas idéal. Mais cela n’empêche pas d’être ambitieux. Et si l’ancien vainqueur d’étapes au Tour de France s’illustrait d’entrée de jeu en cette nouvelle saison ? C’est une possibilité à ne pas écarter. En tout cas, ce sera l’occasion de le revoir en action avec une équipe française où il retrouvera d’ailleurs Cyril Gautier, autre atout de Vital Concept – B&b Hôtels reformant le duo de chez Europcar.

Composition de Vital Concept – B&B Hôtels

  • Yoann Bagot
  • Cyril Gautier
  • Patrick Müller
  • Quentin Pacher
  • Kévin Reza
  • Pierre Rolland
  • Cyril Gautier

https://twitter.com/VitalConcept_BB/status/1091367507175399424

VIDÉOS Herald Sun Tour 2019 étape 4

Retrouvez les meilleurs moments de la quatrième étape de l’Herald Sun Tour 2019 qui va assurément marquer cette édition. Victorieux pour la première fois de sa carrière Nick Schultz (Mitchelton-Scott) n’a pas été le seul grand gagnant de la journée car Dylan Van Baarle (Team Sky) deuxième a pris les commandes du général.

Owain Doull termine victorieusement la journée du Team Sky

Une journée sortie de l’ordinaire. Un scénario classique aurait pu laisser penser que les mieux classés au général jusqu’ici, autrement-dit Michael Woods et Richie Porte se détachent comme deux jours auparavant. Mais ça ne s’est pas du tout passé de cette manière. Et pour cause, ce sont Nick Schultz (Mitchelton-Scott) et Dylan Van Baarle (Team Sky) qui leur ont volé la vedette.

Schultz a vécu une journée qui va représenter un tournant évident dans sa carrière, car il s’agit de son tout premier succès chez les professionnels. Dernier rescapé de l’échappée avec Van Baarle, il l’a battu au sprint au sommet de la difficulté principale menant vers Arthurs Seat. Devancé pour le gain de l’étape, le Néerlandais peut largement s’en contenter sachant que sa performance lui a permis d’endosser le maillot de leader de l’épreuve. A part incroyable dénouement sur la dernière étape plate en circuit, la victoire finale va lui revenir.

Le résumé de la course

Tom Pidcock survole le championnat du monde espoirs

Favori avant le départ de cette édition du mondial, Tom Pidcock a totalement assumé ce statut. Le Britannique a très largement dominé la course en devançant notamment Eli Iserbyt (Belgique) tenant du titre et le Français Antoine Benoist, qui apporte une médaille à la délégation française.

Victoire du numéro 1 mondial Tom Pidcock

Un trio royal pour composer le podium des championnats du monde espoirs disputés à Bogense. Thomas Pidcock devant Eli Iserbyt et Antoine Benoist, cela ne pouvait pas mieux refléter le niveau actuel dans la catégorie qui précède celle des élites. Hommes forts de cette saison et occupant régulièrement les premières positions dans les manches de coupe du monde, ils n’ont pas failli sur le rendez-vous majeur.

Dans un premier temps, Eli Iserbyt a semblé faire la différence. Mais après un début de course tonitruant de la part du belge, ce dernier n’a rien pu faire face au retour progressif de Tom Pidcock. Le Britannique lui a même placé une accélération à un moment qui a fait très mal. A partir de ce moment, l’écart s’est creusé et il n’a plus jamais quitté la première place. Jusqu’à ligne d’arrivée, le nouveau champion du monde a paru en contrôle.

Cela récompense sa très belle saison comprenant déjà une victoire finale au classement général de la coup du monde. En ce qui concerne Eli Iserbyt, il n’y aura pas de troisième titre dans cette catégorie après 2016 et 2018 mais tout de même une belle médaille d’argent au vu de la course. Et à souligner aussi, c’est côté tricolore, la prestation accomplie d’Olivier Benoist qui a tenu son rang en terminant sur la troisième marche du podium. De quoi finir sur une note très positive cette saison.

https://twitter.com/UCI_CX/status/1091683615476453376