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Présentation de l’étape 9 du Giro 2019

Dimanche 19 mai aura lieu l’étape 9 du Giro 2019. Importante et particulière à plus d’un titre, car déjà il s’agit de la dernière journée de course dans cette première semaine avant une journée de repos bien méritée. Puis, parce que c’est un contre-la-montre individuel qui va être prépondérant pour ceux qui visent le classement général. Mais attention à bien gérer son effort, il s’annonce difficile et donc assez long pour couvrir les 34,7 kilomètres au total.

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Tout savoir de l’étape 9 du Giro 2019

Dans chaque Grand Tour, il y a forcément des journées plus importantes et marquantes que d’autres. La dernière de la première semaine du Giro 2019 entre dans cette catégorie avant même qu’elle soit disputée, car c’est certain il va y avoir des écarts, c’est certain. Avec un contre-la-montre individuel de près de 35 kilomètres et qui sera difficile à négocier, les ambitions des prétendants au classement général prendront une tournure positive pour certains et négative pour d’autres après en avoir terminé. En s’élançant de Riccione, les deux premiers tiers du parcours environ (jusqu’au deuxième pointage intermédiaire au km 22,2) vont s’avérer favorable aux rouleurs et purs spécialistes de l’exercice solitaire.

Ensuite, ce sera une toute autre histoire. La route va s’élever de façon quasi ininterrompue jusqu’à la ligne d’arrivée tracée à San Marino. Les grimpeurs pas forcément adeptes du chrono seront alors plus dans leur élément, et pourront peut-être encore mieux limiter la casse ou même reprendre du temps. La gestion de l’effort sera aussi primordial, car c’est bien un contre-la-montre en deux parties distinctes auquel les coureurs auront droit. Le résultat de chacun pourrait avoir une incidence sur le comportement à adopter les jours suivants.

Les favoris à la victoire de l’étape 9 du Giro 2019

Par rapport à ce contre-la-montre, la combinaison gagnante s’approche forcément d’un spécialiste de l’exercice doté de grandes qualités de rouleur mais aussi de grimpeur ou en tout cas de bien passer les bosses. A ce jeu-là, Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma) paraît être en toute logique l’homme principal à battre. Mais il faudra également compter sur Bob Jungels (Deceuninck – Quick Step), Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Simon Yates (Mitchelton-Scott) capables de réaliser le meilleur temps de la journée.

Présentation de l’étape 8 du Giro 2019

Samedi 18 mai aura lieu l’étape 8 du Giro 2019. Deuxième plus longue de cette 102e édition en terme de distance avec 235 kilomètres, son profil peut à la fois intéresser les sprinteurs mais aussi les baroudeurs. Chacun devra en tout cas se déjouer des différentes difficultés qui subsistent dans la dernière partie de course pour tenter d’accrocher un précieux et important succès.

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Tout savoir de l’étape 8 du Giro 2019

A première vue, la huitième étape du prochain Tour d’Italie semble se diriger en faveur d’un sprinteur. Classée ainsi en étape de plaine, c’est le sentiment qui prédomine. Mais à y regarder de plus près, ce n’est pas forcément certain. Pourtant, les 158 premiers kilomètres pour être précis vont être quasiment plats comme la main. C’est dire qu’il ne faudra pas s’attendre à quelque chose en particulier sauf à penser qu’une échappé aura pris du champ.

Mais dans un deuxième temps, cela risque de devenir plus intéressant, car avec le Monte della Mattera qui se dressera sur ce parcours, les difficultés vont arriver. Ce qui va clairement donner du piment. Par la suite, ce ne sera pas non plus impossible de passer pour les sprinteurs, mais quand même un peu vallonné pour leur rendre la tâche plus compliqué. Peut-être que certains baroudeurs arriveront à en profiter. C’est toute l’incertitude en rejoignant Pesaro, la ville d’arrivée.

Les favoris à la victoire de l’étape 8 du Giro 2019

S’il est bien difficile de savoir quel baroudeur irait au bout en cas d’échappée gagnante, il est par contre plus aisé de connaitre les identités des coureurs si cela arrive au sprint avec un peloton complet. Dans ce cas de figure qui a une belle chance de se produire, Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe), Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) et Caleb Ewan (Lotto Soudal) seront en mesure de lutter pour la première place. Tout comme Arnaud Démare (Groupama-FDJ), Matteo Moschetti (Trek-Segafredo) Sacha Modolo (EF Education First) et Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data), qui seront davantage des outsiders.

VIDÉOS Tour Down Under 2019 étape 3

Retrouvez les vidéos de la troisième étape du Tour Down Under 2019, remportée sur le fil par Peter Sagan (Bora-Hansgrohe). Le Slovaque a devancé Luis Leon Sanchez (Team Astana) et Daryl Impey (Mitchelton – Scott) dans un sprint pour la gagne disputé au sein d’un groupe d’une quarantaine de coureurs.

Première victoire de la saison pour Sagan

Contrairement aux deux premières journées, la troisième étape du Tour Down Under a donné lieu à une course plutôt mouvementée. Après des tentatives d’Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) ou encore de Kenny Elissonde (Team Sky), c’est un groupe de tête assez réduit (37 coureurs) qui s’est présenté à l’arrivée pour se jouer la gagne. Au sprint, Peter Sagan a dominé de justesse Luis Leon Sanchez, et en a profité pour décrocher sa première victoire de la saison.

Grâce à son succès de la veille, Patrick Bevin (Team CCC) est toujours en tête du classement général, talonné par le vainqueur du jour Peter Sagan. L’espagnol Luis Leon Sanchez complète quant à lui le podium.

Le final de l’étape

Le résumé complet

Présentation de l’étape 7 du Giro 2019

Vendredi 17 mai aura lieu l’étape 7 du Giro 2019. Présentant un profil assez vallonné, mais pas non dans les grandes largeurs, cela donne l’opportunité à un certain nombre de coureurs de pouvoir de s’illustrer. Une journée intéressante en perspective de Vasto à l’Aquila sur les 180 kilomètres que compose le tracé.

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Tout savoir de l’étape 7 du Giro 2019

Pour commencer la septième étape, pendant plusieurs dizaines de kilomètres, une longue portion plate ou en faux-plat montant servira surtout à voir une échappée se développer. Puis, un premier passage un peu plus délicat s’annoncera avec une côte répertoriée suivi d’une autre qui ne l’est pas. De nouveau ensuite, les coureurs seront dans une phase a priori plus calme avant que les choses sérieuses ne débutent.

Avec le Svolte di Popoli, la course entrera dans une autre dimension. Point majeur de la journée, le sommet sera à un peu plus de quarante kilomètres du terme. Autrement-dit, c’est à peu près une heure qu’il restera à faire pour rallier l’arrivée à L’Aquila. Un final pas simple à aborder avec deux bosses, qui auront assurément une incidence sur le résultat.

Les favoris à la victoire de l’étape 7 du Giro 2019

Comme la veille, cela s’annonce ouvert pour l’emporter. Autant un baroudeur qu’un favori du général est en capacité de lever les bras à L’Aquila. De ce fait, si un membre de l’échappée va au bout, des coureurs tels que Rafal Majka (Bora-Hansgrohe) ou Thomas De Gendt (Lotto Soudal), Tony Gallopin (AG2R La Mondiale) semblent avoir le profil idéal. Dans le cas où la course s’emballerait entre les principaux favoris, Simon Yates (Mitchelton-Scott) et Vincenzo Nibali (Bahrain Merida) feraient partie des quelques coureurs à suivre.

Présentation de l’étape 6 du Giro 2019

Jeudi 16 mai aura lieu l’étape 6 du Giro 2019. Elle peut être considérée comme la première en ligne qui peut vraiment faire quelques écarts. Les grimpeurs mais aussi les puncheurs seront normalement à la fête sur cette journée marathon de 233 kilomètres. Et selon les circonstances de course, un coureur issu d’une échappée pourrait avoir le dernier mot.

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Tout savoir de l’étape 6 du Giro 2019

Une longue journée en prévision pour les coureurs engagés dans cette 102e édition du Giro. Plus de 230 kilomètres à faire avec un final pour le moins compliqué qui les attend. Avant cela, quelques portions vallonnées se situeront dans le parcours, mais rien d’effrayant. Ce sera surtout un moyen de faire partie de l’échappée du jour, qui peut espérer aller loin, voire jusqu’au bout.

Avec un tel profil, assister à deux courses à différents échelons ne serait pas surprenant. Cependant, il faudra avoir une certaine avance au moment d’entrer dans la Coppa Casarinelle, qui sera la difficulté du jour. Celle qui pourrait occasionner de l’action dans le peloton et qui sait permettre à quelques favoris de se dévoiler. Au sommet, il n’y aura plus que treize kilomètres environ dont une petite remontée et des parties en descente ou faux-plat descendant. Une incitation à prendre des risques. A voir si ça se matérialisera sur le terrain.

Les favoris à la victoire de l’étape 6 du Giro 2019

C’est vraiment le genre d’étape où pas forcément un type de coureur se dégage véritablement. Entre les baroudeurs, les puncheurs et les grimpeurs, cela paraît ouvert. Donc pas d’immense favori, mais bien entendu des sérieux prétendants comme Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Simon Yates (Mitchelton-Scott) sont autant capables de s’imposer. Côté français, les deux coureurs d’AG2R La Mondiale Alexis Vuillermoz et Tony Gallopin pourront prétendre se mêler la lutte en cas d’une bonne forme.

Présentation de l’étape 5 du Giro 2019

Mercredi 15 mai aura lieu l’étape 5 du Giro 2019 qui a une très grande probabilité de se conclure par une arrivée groupée avec les meilleurs sprinteurs en acteurs principaux. La distance kilométrique assez courte (140 kilomètres), mais aussi et surtout le relief peu présent, voire pas du tout dans les derniers instants incitent à penser davantage à ce scénario.

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Tout savoir de l’étape 5 du Giro 2019

Au départ de Frascati, cette cinquième étape est dans un premier temps compliquée. Dès lors qu’ils seront lâchés, les coureurs auront directement une première bosse d’une longueur proche des dix kilomètres à franchir. Elle sera indéniablement un parfait tremplin pour assister à des attaques mais ne comptera pas pour le classement de montagne. Au contraire de la difficulté suivante, très rapprochée d’ailleurs, dont le sommet est situé au km 25. C’est dire à quel point cette entame est loin de tout repos. La suite sera cependant plus calme. Sur l’ensemble du parcours restant, seule une autre difficulté sera située à environ cinquante kilomètres de l’arrivée. Mais autrement rien de quoi stopper l’élan du peloton avec ses sprinteurs, qui auront une belle occasion à saisir. Pour se diriger vers Terracina, c’est absolument tout plat. De quoi favoriser une explication à la loyale entre les plus rapides.

Les favoris à la victoire de l’étape 5 du Giro 2019

Il est fort à parier qu’en cette première semaine avec des organismes encore frais, les sprinteurs seront en mesure de contrôler cette étape avec l’apport de leurs équipiers. Autrement-dit, cela devrait se résumer à une explication entre les coureurs les plus rapides. Parmi ceux-là, Fernando Gaviria (UAE Team Emirates), Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) et Caleb Ewan (Lotto Soudal) sont certainement les plus attendus. Et à un degré moindre, Arnaud Démare (Groupama-FDJ), Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe), Sacha Modolo (EF Education First) et Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data) peuvent prétendre à la première place en étant dans une bonne journée.

Peter Sagan décroche son premier succès de l’année

Pour le compte de la troisième étape du Tour Down Under, Peter Sagan (Bora – Hansgrohe) est parvenu à s’imposer en réglant au sprint un peloton fort quasiment d’une quarantaine d’unités. Luis Leon Sanchez (Team Astana) battu de justesse et Daryl Impey (Mitchelton – Scott) ont complété le podium du jour. Au classement général, Patrick Bevin (Team CCC) vainqueur la veille et cinquième aujourd’hui reste en haut de la hiérarchie.

Peter Sagan vainqueur d’étape au Tour Down Under

Peter Sagan aime décidément l’arrivée à Uraidla. Déjà vainqueur au même endroit lors de la précédente édition du Tour Down Under, le Slovaque a réédité cette performance, qui lui permet au passage de connaître une première victoire en 2019. Mais ce fut loin d’être facile, car son dauphin Luis Leon Sanchez lui aura donné beaucoup de fil à retordre. Cela s’est même joué de très peu entre les deux hommes sur la ligne d’arrivée, mais avec le dernier mot qui est revenu au coureur de Bora-Hansgrohe.

En tout, ils ont été trente-sept coureurs à finir cette étape dans le même temps. Preuve que comme prévu le circuit final composé de six tours a fait des dégâts et user pas mal les organismes en plus de la forte chaleur qui sévit actuellement en Australie. Autant d’obstacles qui ont pourtant incité quelques coureurs à sortir du peloton en début de journée dont Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step). Mais à l’image de l’Italien qui s’est relevé par la suite, aucun des six autres coureurs est arrivé à aller au bout de son entreprise. Alberto Bettiol (EF Education First) a été le dernier repris à un peu plus de dix kilomètres du but.

Déjà à ce moment, le peloton avait perdu un grand nombre d’unités et roulait à un rythme assez important, ce qui n’a pas empêché Kenny Elissonde (Team Sky) de tenter de fausser compagnie au reste de la meute. Finalement, son attaque à 3 kilomètres du terme dans une dernière bosse ne va pas aller bien loin. Et c’était alors acté que tout se jouerait dans un sprint en comité réduit. Le peloton lancé à vive allure a été mené par Daryl Impey, qui s’est fait ensuite débordé par deux autres coureurs, Peter Sagan et Luis Leon Sanchez. C’est au jeté de vélo que le Slovaque a eu définitivement raison de l’Espagnol. A noter que leur opération est bonne voire excellente au général car derrière Patrick Bevin, Sagan n’est plus qu’à une petite seconde tandis que Sanchez complète le podium provisoire à neuf secondes.

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VIDÉOS Tour Down Under 2019 étape 2

Retrouvez les vidéos de la deuxième étape du Tour Down Under 2019, remportée par le Néo-Zélandais Patrick Bevin (CCC Team). Le rouleur de 27 ans a profité d’une chute massive survenue dans le peloton à quelques centaines de mètres de la ligne d’arrivée pour devancer au sprint Caleb Ewan (Lotto-Soudal) et Peter Sagan (Bora-Hansgrohe).

Patrick Bevin surprend les favoris du sprint

Avec un profil plat, la deuxième étape du Tour Down Under 2019 avait toutes les chances de se conclure au sprint. Après avoir contrecarré les plans de plusieurs échappées, le peloton se dirigeait tranquillement vers une arrivée massive. Mais une importante chute dans les derniers mètres de la course a perturbé les équipes de sprinteurs et propulsé un petit groupe de coureurs vers la gagne. Patrick Bevin (considéré plutôt comme un rouleur) a alors tenté sa chance, et a réussi à devancer au final de purs sprinteurs comme Sagan et Ewan. Le Néo-Zélandais a fait coup double, puisqu’il s’est par la même occasion emparé de la tête du classement général.

Le final de la course

VIDÉOS Tour Down Under 2019 étape 1

Retrouvez les vidéos de la première étape du Tour Down Under 2019 remportée au sprint par Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step). L’italien a facilement dominé dans le final Max Walscheid (Team Sunweb) et Jakub Mareczko (Team CCC), respectivement deuxième et troisième, pour ainsi prendre la tête du classement général.

Elia Viviani au rendez-vous

C’est le début de la moisson Deceuninck – Quick Step ! Grâce à Elia Viviani, l’écurie belge a démarré la saison 2019 comme elle avait terminé 2018 : sur une victoire. Au terme d’une course calme et contrôlée, le sprinteur italien a assuré dans les derniers mètres de la première journée du Tour Down Under 2019, parvenant à se faufiler entre ses concurrents, et déposer Walscheid et Mareczko.

Le final de l’étape

Le résumé complet

Présentation de l’étape 4 du Giro 2019

Mardi 14 mai aura lieu l’étape 4 du Giro 2019. Celle-ci s’annonce d’ores et déjà ouverte avec de nombreux coureurs qui peuvent croire en leurs chances de succès. Sur les 228 kilomètres qui seront au programme, tout se jouera probablement sur la toute dernière partie.

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Tout savoir de l’étape 4 du Giro 2019

Une étape qui va durer 228 kilomètres, mais qui pourrait se décider sur les cinq derniers uniquement. C’est à quoi pourrait se résumer la quatrième journée du Tour d’Italie 2019 parce que entre le départ et l’arrivée, une seule côte répertoriée sera à dénombrer. Et elle sera située en début de course à Manciano, au kilomètre 32,6.

Après quelques portions légèrement vallonnées suivront mais rien de comparable. Ce sera ainsi jusqu’à l’approche de l’arrivée où ça va se corser de nouveau. Pas une énorme montée vers la ligne à Frascati, mais assez pour permettre aux puncheurs de s’illustrer et de se montrer à leur avantage. Avoir une bonne pointe de vitesse sera aussi essentiel pour faire la différence dans les derniers mètres.

Les favoris à la victoire de l’étape 4 du Giro 2019

Avec un tel final proposé, les puncheurs auront une occasion en or. Les opportunités ne sont pas si nombreuses pour ce type de coureur dans les Grands Tours, à eux d’en profiter. Parmi les prétendants, Jay McCarthy (Bora-Hansgrohe), Alexis Vuillermoz (AG2R La Mondiale), Enrico Battaglin (Team Katusha – Alpecin) et Diego Ulissi (UAE Team Emirates) seront sur un terrain qu’ils apprécieront. Mais peut-être que le dernier mot reviendra à un grimpeur en lice pour le général tel que Simon Yates (Mitchelton-Scott) ou Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma).

Présentation de l’étape 3 du Giro 2019

Lundi 13 mai aura lieu l’étape 3 du Giro 2019, qui ne devrait pas échapper selon toute logique à un sprinteur. Si le parcours de 2019 kilomètres n’est pas entièrement plat de Vinci à Orbetello, cela reste très largement dans leurs cordes. Une journée dite plus classique dans le déroulement est à prévoir.

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Tout savoir de l’étape 3 du Giro 2019

Les sprinteurs auront une occasion à ne pas laisser filer. Sur l’ensemble de l’étape, il n’y aura pas a priori de pièges pour les empêcher de s’expliquer. Tout de même, il faudra se montrer méfiant surtout par rapport aux quelques coureurs qui formeront l’échappée. Pour eux, d’abord dans un premier temps, les deux classements de la montagne pourrait s’avérer intéressant pour éventuellement porter un maillot distinctif. Ils sont répartis dans la première moitié de parcours, qui est un peu vallonné mais sans plus.

Après, plus le peloton s’approchera du terme, plus ce sera facile à aborder. Les différents trains des sprinteurs pourront avoir tout le temps de s’organiser et de placer leurs leaders respectifs dans les ultimes kilomètres. Puis, ce sera aux plus rapides des coureurs de s’exprimer et d’exprimer le maximum de leur potentiel.

Les favoris à la victoire de l’étape 3 du Giro 2019

Pas de doute permis, c’est du côté des sprinteurs qu’il va falloir se tourner pour trouver l’identité du vainqueur. A moins d’une grosse surprise évidemment, mais qui semble très improbable dans ce genre d’étape surtout en début de Grand Tour. C’est donc certainement entre Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe), Fernando Gaviria (UAE Team Emirates), Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) et Caleb Ewan (Lotto Soudal) que cela devrait se jouer. Sans oublier, Arnaud Démare (Groupama-FDJ), Davide Cimolai (Israel Cycling Academy), Sacha Modolo (EF Education First) et Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data) qui se mêleront à la lutte.

Présentation de l’étape 2 du Giro 2019

Dimanche 12 mai aura lieu l’étape 2 du Giro 2019. Ce sera la première en ligne de cette 102e édition. Elle fera exactement 200 kilomètres, mais risque surtout de ne pas être une promenade de santé notamment pour les sprinteurs. Ces derniers seront favoris pour l’emporter à condition de passer sans encombre les différents obstacles su parcours.

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Tout savoir de l’étape 2 du Giro 2019

A l’occasion de la première journée disputée en ligne, c’est déjà une étape qui s’annonce délicate et dont l’issue est difficile à imaginer. Le parcours emprunté sera très loin d’être complètement plat. Une trentaine de kilomètres après s’être élancé de Bologne, il sera temps d’aborder la première difficulté, qui pourrait permettre à certains coureurs de s’échapper à moins que ça soit déjà fait auparavant. Puis, une longue phase d’accalmie interviendra avec rien en particulier à signaler.

Par contre, les cinquante derniers kilomètres seront bien différents. Avec l’ascension de Montalbano, la course entrera dans un moment décisif. Selon le rythme imposé, les dégâts pourraient s’avérer plus ou moins important et notamment chez les sprinteurs. Pour eux, il va falloir absolument tenir le coup pour espérer avoir un coup à jouer ensuite. Après, une autre côte à San Baronto comptant pour le grand prix de la montagne sera à franchir mais moins difficile que la précédente. Au sommet, il restera alors vingt-deux kilomètres en partie en descente, mais surtout effectué sur du plat. De quoi mettre aux prises les coureurs les plus rapides pour une première explication en confrontation.

Les favoris à la victoire de l’étape 2 du Giro 2019

Malgré une dernière partie vallonnée, penser qu’un sprinteur parviendra à lever les bras à l’issue de cette deuxième étape n’est pas si farfelue. A condition bien sûr de passer les difficultés dans le peloton, Fernando Gaviria (UAE Team Emirates), Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step), Caleb Ewan (Lotto Soudal) s’avèrent comme les plus sérieux candidats. Sans oublier non plus Arnaud Démare (Groupama-FDJ), Pascal Ackermann (Bora – Hansgrohe), Sacha Modolo (EF Education First) et Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data) qui seront en mesure de démontrer leurs qualités dans une arrivée massive.

Présentation de l’étape 1 du Giro 2019

Samedi 11 mai aura lieu l’étape 1 du Giro 2019. Ce premier Grand Tour de la saison commencera cette fois-ci par un contre-la-montre individuel. Il est court avec seulement 8,2 kilomètres à effectuer mais aura un profil atypique car se terminant par une bosse avec des pourcentages parfois élevés. Un rendez-vous déjà à ne pas manquer pour ceux qui visent le classement général.

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Tout savoir de l’étape 1 du Giro 2019

Un premier moment de vérité dans le Giro 2019. Dès l’entame, les coureurs engagés et surtout ceux qui auront comme objectif le classement général devront se montrer performants. Il faudra disputer un contre-la-montre individuel de 8,2 kilomètres. Jusque là, tout ce qu’il y a de plus normal pour ce qui est de certains Grands Départs dans les courses de trois semaines. Mais ça s’arrête là, car ce ne sera un parcours tout plat à réaliser comme c’est habituellement le cas. En s’élançant de Bologne, les six premiers kilomètres seront assez faciles et largement favorables aux purs spécialistes. Par contre, pour les deux kilomètres suivants, d’autres qualités devront être prises en compte. Les puncheurs et grimpeurs seront sur leur terrain de prédilection avec la côte de San Luca. Elle est empruntée chaque année pour le final du GP d’Emilie, une classique italienne de fin de saison dont la dernière édition a été remportée par Alessandro De Marchi. La ligne d’arrivée pour le Tour d’Italie sera exactement situé au même endroit.

Les favoris à la victoire de l’étape 1 du Giro 2019

Etre spécialiste du contre-la-montre et aussi bon grimpeur sera la combinaison parfaite pour espérer s’imposer en ouverture du Giro 2019. Du coup, avec de telles caractéristiques, Tom Dumoulin (Team Sunweb) apparaît comme le principal favori pour devenir le premier maillot rose de cette 102e édition. Pour rivaliser avec le Néerlandais, Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma), Bob Jungels (Deceuninck – Quick Step), Vincenzo Nibali (Bahrain Merida) sont certainement les mieux armés et peut-être les seuls capables de le battre.

Tropicale Amissa Bongo 2019 – Les coureurs français au départ

Au départ de la Tropicale Amissa Bongo 2019, ils seront quinze coureurs français issus de trois équipes différentes, Team Arkéa Samsic, Vital Concept – B&B Hôtels et Direct Energie. Parmi tous ces représentants tricolores, pas un ne se détache mais ils sont plusieurs à pouvoir espérer prétendre à la victoire finale. 

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Tropicale Amissa Bongo 2019, une habitude française

La Tropicale Amissa Bongo est un rendez-vous incontournable pour les Africains mais aussi pour les Français, qui représentent toujours un contingent important. Et cette édition ne dément pas cette réalité. D’ailleurs, ce sera la nation la plus représentée du fait qu’ils soient dans plusieurs équipes différentes. Comme toujours et vu la concurrence, une victoire d’étape serait le minium alors que le gain du classement général peut être largement à la portée de l’un des tricolores. Une performance déjà atteinte à neuf reprises sur les treize précédentes éditions.

Adrien Petit (Direct Energie) – 28 ans

Il est peut-être le meilleur atout français au départ. En pleine possession de ses moyens à 28 ans et ancien vainqueur de l’épreuve, Adrien Petit peut viser en toute logique le général. Mais il faudra le démontrer tout au long des sept étapes à parcourir. Capable de déjouer chacun des pièges du tracé, le Français est en mesure de jouer les premier rôles. Une deuxième victoire au palmarès serait la meilleure démonstration.

Lorenzo Manzin (Vital Concept – B&B Hôtels) – 24 ans

L’attente sera importante le concernant sur les différentes sprints de cette édition. Lorenzo Manzin, qui vise à s’approcher du meilleur niveau dans ce domaine aura une belle occasion de se tester face à des références. Face à Niccolo Bonifazio mais surtout contre André Greipel, il aura à faire à deux coureurs réputés. Une victoire d’étape obtenue dans cette circonstance serait encore plus belle et pourrait témoigner d’un vrai cap passé. A suivre.

Yohann Gène (Direct Energie) – 37 ans

En route vers un troisième sacre ? C’est en tout cas l’objectif que peut se fixer Yohann Gène durant cette 14e édition. Vainqueur déjà en 2013 et 2017, il est un fin connaisseur de cette course par étapes qui lui a permis de briller par le passé. Pour le Français, son autre principal atout sera très certainement son expérience, qui sera cruciale afin de déjouer tous les pièges et réaliser la meilleure semaine possible.

Laurent Pichon (Team Arkea Samsic) – 32 ans

Un parfait outsider. Il n’est peut-être pas dans les plus grands favoris, ni même le plus cité pour remporter une étape, mais au final la régularité pourrait payer de son côté. Laurent Pichon a des qualités qui peuvent correspondre au tracé global. Possédant une bonne pointe de vitesse et aussi capable d’être performant sur des fin d’étapes plus corsées, le coureur du Team Arkéa Samsic aura des atouts à faire valoir.

Brice Feillu (Team Arkea Samsic) – 33 ans

Typé grimpeur, Brice Feillu ne trouvera pas au Gabon de longues ascensions, mais cela n’empêche pas le fait que la possibilité de le voir en tête du classement existe. Pour sa course de rentrée, il pourrait tout de même profiter des quelques portions vallonnées pour s’exprimer et faire du mal à la concurrence. Reste à voir quel sera son rôle précis chez Team Arkéa Samsic et s’il sera suffisamment en forme pour lutter avec les meilleurs.

Damien Gaudin (Direct Energie)  – 32 ans

Faire comme en 2018, voire mieux, ce serait une belle entame d’année concernant Damien Gaudin. En effet, le Français reste sur une probante troisième place acquise il y a tout juste un an. Auteur alors d’une belle semaine, il avait été en position pour l’emporter, mais devant finalement se contenter d’un podium. Son tempérament offensif l’amènera peut-être cette fois-ci vers le sommet de la hiérarchie.

Jérémy Lecroq (Vital Concept – B&B Hôtels) – 23 ans

Chez Vital Concept – B&B Hôtels, il y aura bien sûr Lorenzo Manzin, mais pas seulement. Avec Jérémy Lecroq, il y a une belle carte à jouer pour cette équipe. Sur une course aussi ouverte que la Tropicale Amissa Bongo, ce coureur français peut aussi jouer les trouble-fêtes. Et même plus en profitant d’une échappée ou en se révélant en très grande forme et donc très difficile à battre. Un des nombreux outsiders qui prendront le départ.

En plus de ces dix premiers coureurs cités, Maxime Daniel (Team Arkéa Samsic), Alexandre Pichot (Direct Energie), Justin Mottier (Vital Concept – B&B Hôtels), Romain Le Roux (Team Arkea Samsic), Alan Riou (Team Arkea Samsic), Corentin Ermenault (Vital Concept – B&B Hôtels), Marc Fournier (Vital Concept – B&B Hôtels), Axel Journiaux (Direct Energie) seront également de la partie lors de cette Tropicale Amissa Bongo 2019.

Le surprenant Patrick Bevin bat tous les sprinteurs

Contre tout attente, Patrick Bevin (CCC Team) est allé remporter au sprint la deuxième étape de ce Tour Down Under. Après avoir effectué les 122 kilomètres entre Norwood et Angaston, le Néo-Zélandais a notamment battu Caleb Ewan (Lotto Soudal) et Peter Sagan (Bora-Hansgrohe), respectivement deuxième et troisième. Grâce aux bonifications empochées, le vainqueur du jour s’empare également de la tête du classement général.

Le jour parfait pour Patrick Bevin

Personne n’aurait pu imaginer une telle issue. Sur la deuxième journée du Tour Down Under qui était fortement favorable aux sprinteurs, ce n’est pas à proprement parlé un spécialiste du genre qui s’est imposé. En effet, Patrick Bevin plus réputé pour ses qualités de rouleur a été plus qu étonnant dans ce final en profitant pleinement de sa puissance pour couper la ligne d’arrivée en premier. A la lutte avec le Néo-Zélandais, Caleb Ewan ou encore Peter Sagan n’ont pas été capables de le dépasser, ni même de l’inquiéter. C’est dire le niveau de la prestation du coureur de CCC Team.

Si le résultat final a été pour le moins surprenant, le reste du scénario a été assez classique. Avec d’abord le développement d’une échappée de trois coureurs, dont deux qui avaient déjà essayé la veille. En l’occurrence, Artyom Zakharov (Team Astana) et Jason Lea (Unisa – Australia) étaient de nouveau placé un temps à l’avant et Jaime Castrillo (Team Movistar) les accompagnait. Leur avance n’a jamais été très importante par rapport un peloton qui a su parfaitement les contrôler. Une fois repris, c’est un autre homme qui a su se mettre en évidence. Matthieu Ladagnous (Groupama-FDJ) qui est sorti tout seul aura offert une très belle résistance. Repris à environ trois kilomètres de l’arrivée, le Français n’est pas passé si loin d’un exploit retentissant. Mais le peloton a eu le dernier mot.

Ensuite, de manière groupée, tous les coureurs se sont dirigés vers l’arrivée jusqu’à moins d’un kilomètre du terme. Moment où une chute est survenue, et qui a coupé le peloton en deux, mais sans conséquences car tout le monde est classé dans le même temps. Devant, ils étaient alors plus q’une vingtaine à pouvoir encore prétendre à la victoire. Avec moins d’équipiers pour emmener, cela a été plus décousu. Luis Leon Sanchez (Team Astana) a tenté de surprendre en anticipant légèrement le sprint, mais l’Espagnol s’est fait rattraper par la meute dans les derniers mètres. Il s’est fait notamment débordé par un impressionnant Patrick Bevin, qui a réglé à lui seul tous les autres sprinteurs encore présents dans ce final. Une victoire forte en signification, car c’est sa première dans le World Tour à 27 ans. Et elle lui permet de prendre les commandes du Tour Down Under 2019. Les prochains jours révéleront s’il est en mesure de faire encore mieux.

Samuele Manfredi est sorti du coma

C’est la fin d’une longue et angoissante attente. Samuele Manfredi, un jeune coureur italien de 18 ans, est sorti lundi du coma artificiel dans le lequel il était plongé depuis plus d’un mois. La bonne nouvelle a été annoncée sur les réseaux sociaux ce matin par son équipe, la Conti Groupama-FDJ.

Le jeune Manfredi était inconscient depuis le 10 décembre dernier

Véritable espoir du cyclisme italien (champion d’Europe junior de poursuite individuelle en 2018), Samuele Manfredi avait été victime d’un accident le 10 décembre dernier, lors d’un entraînement dans son pays natal. Percuté violemment par une voiture, le jeune coureur de la Conti Groupama-FDJ avait été plongé directement dans un coma artificiel. Souffrant d’un important traumatisme crânien, son état inquiétait.

Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, son équipe a donc annoncé que Manfredi s’était réveillé ce lundi 14 janvier, précisant aussi que « ses jours ne sont plus en danger« . Après cet heureux réveil, le jeune italien va maintenant entamer « un long processus de réhabilitation« . Nous lui souhaitons un prompt rétablissement !

Tropicale Amissa Bongo 2019 : les 10 favoris et outsiders de la course

Du 21 au 27 janvier, ce sont 90 coureurs engagés sur la Tropicale Amissa Bongo 2019 qui vont se livrer bataille pour essayer d’atteindre la première place du classement général final. Le chemin sera long et semé d’embûches pour y parvenir. Pour ces sept jours de course au total, certains favoris et autres outsiders semblent tout de même plus armés afin d’inscrire leur nom au palmarès. Et faire ainsi comme Joseph Areruya (Rwanda) vainqueur l’an passé, qui tentera de réaliser le doublé. 

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Qui va remporter la Tropicale Amissa Bongo 2019 ?

Pour ne pas changer, la Tropicale Amissa Bongo s’annonce comme une course ouverte, qui pourrait sourire à de nombreux coureurs engagés sur la ligne de départ. La précédente édition en était le parfait reflet avec la victoire de Joseph Areruya. Le Rwandais avait profité des faits de course qui lui ont été favorables, et cherchera à rééditer une telle performance. Mais rien n’est gagné face à des coureurs expérimentés et plus habitués au haut niveau. Parmi eux, Adrien Petit et Yohann Gène qui ont déjà remporté l’épreuve, mais aussi André Greipel et Niccolo Bonfiazio qui feront office de principales têtes d’affiche de la 14e édition. Pendant sept jours, ces coureurs et d’autres seront réunis pour réaliser un parcours de 998 kilomètres.

André Greipel (Team Arkéa Samsic) – 36 ans

Il est sans conteste l’attraction de la Tropicale Amissa Bongo 2019. André Greipel va participer pour la première fois de sa carrière à cette course par étapes, et rien que sa présence est déjà un événement. Même si bien évidemment ses résultats seront à observer de près. Il s’agira en plus de sa première apparition avec le maillot du Team Arkéa Samsic. L’occasion pour lui d’apporter un ou plusieurs succès à sa toute nouvelle équipe. Il en est largement capable au vu de son niveau toujours très bon et de la concurrence qui n’est pas aussi relevée sur le World Tour. De quoi démarrer peut-être de la meilleure manière qui soit l’année 2019.

Niccolo Bonifazio (Direct Energie) – 25 ans

Pour Niccolo Bonifazio, la Tropicale Amissa Bongo va être une totale découverte. Arrivé à l’intersaison chez Direct Energie en provenance de Bahrain Merida, il a été recruté par la formation vendéenne afin de se renforcer dans le sprint. La première opportunité de le prouver va donc être sur cette compétition. De grands espoirs y sont permis. En étant intrinsèquement le meilleur sprinteur au départ avec André Greipel, l’Italien est un prétendant à une victoire d’étape minimum. A lui maintenant avec l’aide de ses équipiers de se montrer à la hauteur de l’objectif.

Joseph Areruya (Rwanda) – 23 ans

C’est dans la peau du tenant du titre que Joseph Areruya va aborder cette édition. Un sacré défi donc qui attend le Rwandais, qui peut tout à fait prétendre à un deuxième sacre consécutif. Il l’a démontré en 2018, le coureur de Delko-Marseille est doté d’un fort potentiel et d’évidentes qualités. Avec le maillot de son équipe nationale sur les équipes, Areruya se rappellera peut-être à son bon souvenir. Mais c’est certain que pour reproduire une telle performance, il faudra être de nouveau en capacité de faire tourner les faits de course à son avantage.

Adrien Petit (Direct Energie) – 28 ans

Il sait ce que représente une victoire finale sur la Tropicale Amissa Bongo. Adrien Petit l’a vécu, c’était en 2016. Et qui sait, le Français se retrouvera dans la même situation à l’issue de cette édition. En tout cas, il a les moyens pour y arriver. Le parcours ne devrait pas lui poser de soucis particuliers et puis son expérience du terrain peut compter à un moment donné. Profitant aussi d’une belle force collective chez Direct Energie, cet atout pourrait lui permettre de s’afficher en haut de la hiérarchie.

Daniel Teklehaimanot (Erythrée) – 30 ans

La Tropicale Amissa Bongo 2019 pour se relancer. C’est à quoi ressemble cette édition pour Daniel Teklehaimanot, qui se retrouve à concourir pour son pays l’Erythrée. Faute de n’avoir pas pu trouver d’équipe professionnelle, il avait pris cette décision il y a quelques temps. Mais au vu de ses nombreuses années passées dans le World Tour et de ses qualités démontrées, un résultat de premier plan de sa part est une sérieuse option à prendre en considération. Il pourrait ainsi lui permettre de se faire désirer par une formation de première ou seconde division dans quelques temps.

Lorenzo Manzin (Vital Concept – B&B Hôtels) – 24 ans

Bien commencer l’année. C’est ce que cherchera à faire Lorenzo Manzin. En manque de résultats probants, le Français peut cette fois-ci débloquer le compteur très rapidement. Ses talents de sprinteur peuvent lui permettre d’empocher au minimum une victoire d’étape, ce qui sera le principal objectif. Après pour le général, tellement de données risquent d’entrer en considération qu’il faudra voir l’évolution au fur et à mesure. Mais c’est sûr,  son équipe Vital Concept – B&B Hôtels va compter énormément sur lui.

Youcef Reguigui (Algérie) – 29 ans

Il est l’un des meilleurs Africains à prendre le départ. Avec Areruya, Teklehaimanot, Youcef Reguigui est une référence sur le continent. Son passé dans le World Tour en est la parfaite preuve. C’est pourquoi son résultat dans cette course par étapes sera particulièrement à surveiller. Capable d’être performant au sprint, mais aussi sur des arrivées un peu plus vallonnées, il sera intéressant de voir de quoi il est capable. Un candidat sérieux pour le gain des étapes et peut-être pour le général selon la forme affichée.

Matteo Pelucchi (Androni Giocattoli – Sidermec) – 29 ans

C’est avec une certaine ambition que Matteo Pelucchi peut aborder la compétition. Pas vraiment le plus attendu au départ, notamment dans les sprints, il aura sa carte à jouer tout de même. Reste à lui de le démontrer sur la route avec un maillot porté pour la première fois, celui d’Androni Giocattoli – Sidermec. Précédemment chez Bora-Hansgrohe et donc descendu à l’échelon Continental Pro, l’Italien a l’occasion prouver sur la semaine à venir que ses qualités sont restés intacts.

Yohann Gène (Direct Energie) – 37 ans

Et si c’était lui ? Yohann Gène, toujours présent dans le peloton à 37 ans, peut marquer l’Histoire de la course. Avec une possible victoire au classement général, il serait le deuxième coureur à remporter trois fois l’épreuve. Seul Anthony Charteau a réussi à le faire avant lui. C’est dire le défi qui l’attend, et pour cela le Français devra se montrer très fort. Son expérience sera certainement aussi un atout dans la conquête de la première place.

Laurent Pichon (Team Arkea Samsic) – 32 ans

Un prétendant à surveiller. Vainqueur de la Coupe de France en 2017, Laurent Pichon est un postulant crédible au classement général. Pour cela, le Français pourra faire parler ses qualités de puncheur et jouer sa carte personnelle sur quelques étapes. Dans la même équipe d’André Greipel, les libertés ne seront peut-être pas ombreuses, mais ce sera à lui de saisir les rares opportunités.

Présentation de l’étape 7 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Dimanche 27 janvier aura lieu l’étape 7 de la Tropicale Amissa Bongo 2019. Pour le dernier jour de compétition, il faudra peut-être encore s’attendre à quelques chamboulements. Sur les 140 kilomètres à parcourir de Zes de Nkok à Librevilleles coureurs encore engagés devront se déjouer d’un circuit final piégeux.

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Tout savoir de l’étape 7 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Avant d’en finir complètement avec la Tropicale Amissa Bongo 2019, a dernière étape pourrait encore réserver quelques surprises. Pourtant, la première partie sera bien clame avec aucun difficultés au programme. Les quatre-vingt premiers kilomètres son effectués très largement sur une portion plate. Puis, place aux choses sérieuses avec l’entrée dans le circuit final dans Libreville à faire à dix reprises. Les tours s’enchaînant de manière rapide comportent à chaque fois une bosse, qui aura pour but de faire la sélection au sein du peloton. Il est certain que seuls les coureurs les plus en forme seront en capacité de lorgner vers la victoire d’étape. A voir après si le général subira la moindre évolution.

Les favoris à la victoire de l’étape 7 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Une échappée ou un homme fort issu du peloton ? Rien que cette incertitude permet difficilement d’imaginer quelques principaux favoris. Cependant, il est fort à penser que des coureurs tels que Joseph Areuya (Rwanda), Daniel Teklehamanot (Erythrée) côté africain auront un rôle à jouer. Les Français auront des atouts à faire valoir avec notamment Laurent Pichon (Team Arkéa-Samsic) et Adrien Petit (Direct Energie).

André Greipel, grandissime favori de la Tropicale Amissa Bongo pour Arkéa-Samsic

Si beaucoup d’équipes débutent leur saison 2019 au Tour Down Under, pour d’autres écuries de moindre niveau, la rentrée se fera à l’autre bout du monde, au Gabon, à l’occasion de la Tropicale Amissa Bongo. Parmi elles, la formation Arkéa-Samsic (anciennement Fortunéo-Samsic) et son nouveau leader André Greipel, qui se présentera en favori de l’épreuve.

Un nouveau départ pour André Greipel

Arrivé cet été en Bretagne en provenance de la Lotto-Soudal, le sprinteur allemand de 36 ans participera à sa toute première course sous ses nouvelles couleurs. Ayant choisi de rejoindre une équipe de Continentale Pro pour son probable ultime défi, André Greipel aura l’occasion de participer à des épreuves auxquelles il ne s’est encore jamais mesuré. Ce sera justement le cas de la Tropicale Amissa Bongo, car habitué à débuter sa saison par le Tour Down Under (dont il a remporté un total de 18 étapes), Greipel n’a jamais été aligné sur cette course gabonaise.

Avec un parcours principalement plat, la Tropicale Amissa Bongo devrait être le théâtre de plusieurs sprints massifs. Seul coureur de grande renommée annoncé au départ de la course, André Greipel fait donc logiquement figure de grandissime favori pour la victoire finale, et devrait pouvoir faire parler la poudre plus d’une fois. Mais la Tropicale est une course particulière et incertaine : les échappées victorieuses ne sont pas à exclure !

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Composition d’Arkéa-Samsic pour la Tropicale Amissa Bongo

  • GREIPEL André
  • DANIEL Maxime
  • FEILLU Brice
  • LE ROUX Romain
  • PICHON Laurent
  • RIOU Alan

Présentation de l’étape 6 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Samedi 26 janvier aura lieu l’étape 6 de la Tropicale Amissa Bongo 2019. Un avant-dernier acte qui sera dans la lignée en partie des précédentes journées avec un kilométrage faible (110 kilomètres), mais aussi avec un certain dénivelé. De quoi permettre une multitude de scénarios possibles et une course ouverte parmi l’ensemble des coureurs engagés.

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Tout savoir de l’étape 6 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Que va-t-il se dérouler sur cette étape ? Cela semble vraiment indécis car différents types de coureurs peuvent réellement exprimer leur plein potentiel. D’un côté, les coureurs plutôt distancés au niveau du classement général ont quelque chose à tenter. Avec une journée qui pourrait s’avérer difficile à contrôler pour un peloton, les différentes côtes placées sur le parcours durciront encore un peu plus la donne. Et même la dernière qui ne compte pas pour le classement de la montagne a des allures décisives par rapport au résultat final. A seulement quelques kilomètres du terme, des coureurs auront certainement l’intention de tout tenter pour filer vers la victoire.

Les favoris à la victoire de l’étape 6 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Nombreux seront les candidats sur cette journée. C’est pourquoi faire une liste de quelques noms n’est pas si évident. Mais parmi ceux qui pourraient se détacher, Laurent Pichon (Team Arkéa-Samsic), Damien Gaudin (Direct Energe) et Joseph Areruya (Rwanda) sont de possibles prétendants. Mais pourquoi pas aussi un certain Daniel Teklehaimanot (Erythrée), Marco Frapporti (Androni Giocattoli – Sidermec) ou Brice Feillu (Team Arkéa – Samsic) pour terminer en vainqueur.

Présentation de l’étape 5 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Vendredi 25 janvier aura lieu l’étape 5 de la Tropicale Amissa Bongo 2019. Courte en réalité avec 120 kilomètres et pas très difficile sur le papier, elle a toutes les chances de déboucher sur une arrivée groupée profitant aux meilleurs sprinteurs présents parmi les coureurs engagés. Assister à un autre scénario serait pour le moins surprenant entre Bitam et Mongomo.

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Tout savoir de l’étape 5 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Une journée calme en prévision ? C’est bien ce qui pourrait se passer pour la cinquième étape de la Tropicale Amissa Bongo. Son profil ne constitue pas en soi normalement un moment charnière de cette édition. Reste que dans les faits, cela pourrait être différent si une échappée venait à prendre trop de champ. Les équipes qui voudront emmener leurs sprinteurs savent donc ce qui leur restent à faire. Sur l’ensemble du parcours, il n’y aura pas la moindre difficulté répertoriée à affronter. C’est dire à quel point le tracé est globalement plat et ne devrait pas poser de problèmes en particulier. Une arrivée avec un peloton au complet est attendue.

Les favoris à la victoire de l’étape 5 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Il est clair que si la victoire ne viendrait pas d’un sprinteur, ce serait une sacrée surprise. C’est pourquoi au vu du plateau, André Greipel (Team Arkéa – Samsic) et Niccolo Bonifazio (Direct Energie) paraissent comme les principaux favoris. Après dans une moindre mesure, Lorenzo Manzin (Vital Concept – B&B Hôtels), Matteo Pelucchi (Androni Giocattoli – Sidermec) et Youcef Reguigui (Algérie) auront aussi une belle carte à jouer. Pour eux, ce sera peut-être même l’occasion la plus franche parmi les sept jours de course au programme.

Elia Viviani, un démarrage parfait au Tour Down Under

La saison cycliste 2019 est dorénavant officiellement lancée. Pour la première étape du Tour Down Under disputée entre North Adelaide et Port Adelaide sur 129 kilomètres, Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) s’est montré le plus fort. Une victoire nette acquise devant Max Walscheid (Team Sunweb) et Jakub Mareczko (Team CCC). Il est aussi logiquement le premier leader au classement général.

Elia Vivani débloque le compteur d’entrée

Elia Viviani est le premier à dégainer pour cette saison 2019. A l’occasion de l’ouverture du Tour Down Under, le porteur du maillot de champion d’Italie a réglé sans grandes difficultés ses adversaires au sprint. Une image qui rappelle immédiatement la saison précédente où ce même coureur avait cumulé pas moins de dix-huit succès. Et il n’a pas attendu, c’est le moins que l’on puisse dire, pour débuter sa série lors de cette nouvelle année.

Avant de s’illustrer de très belle manière, c’est un scénario assez attendu qui s’est déroulé tout au long de la journée. Quatre coureurs ont formé l’échappée du jour, et ils auront occuper la tête de course une grande partie de la journée. Il y avait Michael Storer (Team Sunweb), Artyom Zakharov (Astana), Patrick Bevin (Team CCC) et Jason Lea (Unisa – Australia). Mais avec l’effort du peloton et notamment des équipes belges Deceuninck – Quixk Step et Lotto Soudal, c’était impossible de résister. Pour les derniers kilomètres, tout est rentré dans l’ordre et c’est comme prévu un sprint massif qui a été disputé.

Elia Viviani a été réellement impressionnant en arrivant d’abord à se faufiler parfaitement avant d’accélérer et repousser la concurrence à plusieurs longueurs. L’écart creusé a été si important que les regrets sont impossibles pour Max Walscheid et Jakub Mareczko, qui ont terminé sur le podium, et les autres. Fortement attendu, Peter Sagan n’a pas été en mesure de rivaliser sur cette arrivée comme le démontre sa huitième place. Mais la plus grosse déception revient sans nul doute à Caleb Ewan, qui est totalement passé à côté en finissant 23e. Très loin de ses ambitions de victoire d’étape et de sa prestation sur la People’s Choice Classic dimanche dernier. Pour l’Australien et l’ensemble des sprinteurs battus, une occasion de se rattraper va se présenter dès demain sur la deuxième étape entre Norwood et Angaston, finalement réduite à 132 kilomètres. A moins que Viviani confirme sa domination et enchaîne un deuxième succès.

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Romain Bardet rajoute Milan-San Remo à son programme

Une nouvelle étonnante concernant Romain Bardet. Alors que le Français ne l’avait pas inscrit initialement à son programme de courses, il sera bel et bien au départ de la prochaine édition de Milan-San Remo. Une information révélée par l’AFP. Ce sera seulement sa deuxième participation dans ce Monument du cyclisme, six après sa précédente et unique apparition.

Romain Bardet choisit de faire Milan-San Remo

Romain Bardet est un amoureux des courses d’un jour et en particulier des plus grandes classiques du calendrier. Il le démontre en signalant sa présence sur Milan-San Remo, qui aura lieu le 23 mars cette année. Si la Classicissima ne semble pas être la course qui lui convient le mieux, le coureur d’AG2R La Mondiale compte tout de même relever ce défi. A noter que pour sa seule participation datant désormais de 2013, il avait alors terminé à une honorable dix-septième. Et dire qu’il faisait quasiment à peine ses débuts chez les professionnels. C’était seulement sa deuxième année.

Mais depuis, le grimpeur auvergnat a parcouru du chemin et sa notoriété n’a cessé de grandir grâce à ses différents résultats obtenus dans les plus grandes épreuves. Deux fois sur le podium du Tour de France (2e en 2016, 3e en 2017), il s’est également révélé performant sur les classiques et non des moindres. Rien que lors de la saison passée, le Français est parvenu à faire podium sur Liège-Bastogne-Liège (3e) et les Strade Bianche (2e). Sans oublier son statut honorifique de dernier vice-champion du monde et seulement devancé par Alejandro Valverde.

Sa présence sur Milan-San Remo n’est donc pas une si grande surprise en soi. Elle révèle tout simplement les intentions de Romain Bardet, ne se fixant aucune barrière ou limite. Certes, il n’a pas le profil le plus avantageux pour prétendre à la victoire. Mais l’exemple de Vincenzo Nibali est parfait. Un grimpeur au tempérament offensif qui a su devancer les sprinteurs au printemps dernier. Et si c’était le tour maintenant de Bardet… le rêve est en tout cas permis.

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Présentation de l’étape 4 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Jeudi 24 janvier aura lieu l’étape 4 de la Tropicale Amissa Bongo 2019. Elle semble se diriger en faveur d’un sprinteur si la logique est pour le moins respectée, mais rien n’est moins sûr. Dans les coureurs engagés, il y en a certains qui ne voudront pas l’entendre de cette oreille. Et voudront avoir leur part du gâteau sur les 120 kilomètres qui séparent Mitzic de Oyem.

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Tout savoir de l’étape 4 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Une opportunité parfaite pour les sprinteurs, qui va se présenter alors que plus de la moitié des étapes auront été parcourues à la fin de celle-ci. Elle sera clairement décomposée en deux temps. La première partie est favorable au développement d’une échappée jusqu’aux environs du kilomètre 70 où la majeure difficulté de la journée sera enfin franchie. Puis, cela risque d’être une autre paire de manche avec un terrain plus plat que connu précédemment. Les équipiers des coureurs jugés les plus rapides pourront alors se mettre en action et à leur service pour qu’ils puissent s’exprimer pleinement dans le final. Reste à ne pas laisser filer un audacieux dans la phase décisive.

Les favoris à la victoire de l’étape 4 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Si comme annoncé, un sprinteur venait à s’imposer, ce serait plutôt envers André Greipel (Team Arléa-Samsic) ou Niccolo Bonifazio (Direct Energie) à qui on penserait en premier. Lorenzo Manzin (Vital Concept – B&B Hôtels), Youcef Reguigui (Algérie), Matteo Pelucchi (Androni Giocattoli – Sidermec) constitueraient quant à eux quelques uns des principaux outsiders.

Présentation de l’étape 3 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Mercredi 23 janvier aura lieu l’étape 3 de la Tropicale Amissa Bongo 2019, qui fera très exactement 100 kilomètres à partir de Leconi en direction de Franceville. Elle sera peut-être décisive dans l’optique du classement général même si la moitié du parcours complet ne sera pas encore atteint. Parmi l’ensemble des coureurs engagés, un ou quelques uns pourraient prendre en tout cas une sérieuse option.

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Tout savoir de l’étape 3 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Un profil pour se distinguer. La troisième étape a des allures de tremplin idéal pour réaliser un coup de maître au niveau du classement général. Les quarante premiers kilomètres s’annoncent difficiles à maîtriser avec plusieurs montées qui se succèdent dont deux comptant pour le grand prix de la montagne. Après, il est vrai que ce sera une phase de course plus calme et plus plate qui attendra les coureurs. Mais c’est sans oublier la toute fin avec le sommet de l’ultime côte qui est très rapprochée de la ligne d’arrivée tracée à Franceville. Un moyen évident de faire quelques différences, peut-être pas irrémédiables mais importantes assurément.

Les favoris à la victoire de l’étape 3 de la Tropicale Amissa Bongo 2019

Ceux qui pensent pouvoir briller au général doivent cocher cette étape avec attention, c’est certain. Le final est particulièrement propice à quelques écarts. Ce sera peut-être le moyen de voir se porter à l’avant et de gagner dans cette journée, Joseph Areruya (Rwanda),Laurent Pichon (Team Arkéa – Samsic) ou bien Marco Frapporti (Androni Giocattoli – Sidermec), qui seront sur un terrain à leur convenance. Brice Feillu (Team Arkéa – Samsic), Adrien Petit (Direct Energie) et Daniel Teklehaimanot (Erythrée) devront être également suivis.