Pour ce Milan-San Remo, cinq invitations ont été attribuées pour connaître l’intégralité des engagés. Dans ceux qui pourront prendre part à ce Monument, le Team Arkéa-Samsic côté français a été convié.
Le premier Monument se déroulera en présence du Team Arkéa-Samsic. C’est désormais une certitude suite à l’annonce de l’organisation du Milan-San Remo révélant l’ensemble des invitations. En plus des dix-neuf représentants du WorldTour et du Team Total Direct Energie qualifiée en tant que meilleure formation Continental Pro, le Team Arkéa-Samsic a donc réussi à obtenir une des cinq places restantes. De quoi lui permettre d’afficher des ambitions pour ce rendez-vous phare de début de saison. Ils pourront croiser notamment un certain Mathieu van der Poel, car son équipe a aussi été invitée à participer.
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Au départ de la prochaine édition de Tirreno-Adriatico (11 – 17 mars), vingt-trois équipes constitueront le peloton. Dans celui-ci, il y aura notamment le Team Arkéa-Samsic, qui fait partie des quatre formations ayant obtenu une place pour participer à cette course par étapes italienne.
La prochaine édition du Tirreno-Adriatico aura un certain accent français. Avec cinq formations engagées, elles formeront un contingent important. Celui-ci a grossi suite aux invitations distribuées. Le Team Arkéa-Samsic pourra aligner sept de ses coureurs lors de cette épreuve en sachant qu’elle sera aussi présente sur un autre front quasiment en même temps, en l’occurrence Paris-Nice. Quant à eux, le Team Total Direct Energie est bel et bien présent en tant que meilleure équipe Continental Pro lors de la dernière saison écoulée.
Pour compléter le plateau des Strade Bianche, l’organisation a délivré les six invitations dont elle disposait. Parmi les six heureux élus, B&B Hôtels – Vital Concept, Team Arkéa-Samsic en font partie.
Une bonne nouvelle pour B&B Hôtels – Vital Concept et le Team Arkéa-Samsic. Ces deux formations françaises qui évoluent en Continental Pro (2e division) vont pouvoir se présenter sur la ligne de départ des Strade Bianche. De quoi prétendre à un éventuel très bon résultat. Cette course récente au calendrier mais déjà très réputée est programmée le 7 mars prochain. Pour B&B Hôtels – Vital Concept, il s’agira de sa deuxième participation consécutive à cet événement tandis que ça va être une première pour le Team Arkéa-Samsic.
Parmi les autres invitées, la présence de Katusha – Alpecin (Corendon) est à souligner. Cela assure de ce fait la présence de Mathieu van der Poel dans cette course dont le dernier vainqueur est Julian Alaphilippe. Et en remarquant que son grand rival en cyclo-cross Wout van Aert a fait deux podiums (3e en 2018 et 2019) sur les deux dernières éditions, tout laisse à penser que le le Néerlandais peut s’illustrer sur un tracé aussi exigent. Ce sera assurément un des clients à suivre de près.
A un peu moins de quatre mois du départ du Giro 2020 (9 – 31 mai), l’ensemble des équipes présentes sont désormais connus. L’organisation de ce Grand Tour a délivré ses trois invitations à Androni Giocattoli – Sidermec, Bardiani CSF Faizane et Vini Zabu KTM qui auront à cœur d’être à la hauteur de ce rendez-vous phare de la saison.
D’une année à l’autre au Tour d’Italie, pas de changement à noter concernant les engagés. Entre 2019 et 2020, ce seront exactement les vingt-deux mêmes équipes qui prendront le départ. Avec les dix-neuf formations qui composent le WorldTour et le retrait du Team Total Direct Energie, il restait trois invitations à attribuer par l’organisation. Celle-ci a fait le choix, sans grande surprise, de privilégier des structures transalpines. Une décision profitant ainsi à Androni Giocattoli – Sidermec, Bardiani CSF Faizane et Vini Zabu KTM.
Here are the 22 teams of the Giro d’Italia 2020! | Ecco le 22 squadre che parteciperanno al Giro d’Italia 2020! | Ya están los 22 equipos que participarán en el Giro d’Italia 2020! pic.twitter.com/spXmuHCNuI
Actuellement en camp d’entraînement avec le Team Jumbo-Visma à Alicante (Espagne), Wout van Aert ne va pas pour autant délaisser le cyclo-cross dans les semaines à venir. Le Belge a confirmé son intention d’être au départ du championnat du monde de cyclo-cross à Dübendorf (2 février) et prévoit aussi de participer à quelques autres compétitions dans cette fin de saison.
La dernière partie de saison en cyclo-cross va se faire avec Wout van Aert. Le Belge, qui a fait son retour en compétition à la fin du mois de décembre va prolonger le plaisir dans cette discipline. Dans les quatre prochaines semaines, celui qui porte le maillot du Team Jumbo-Visma sera au départ de cinq courses. Parmi celles-ci, la plus prestigieuse sera bien évidemment le championnat du monde disputé en Suisse à Dübendorf. Si la sélection belge pour cet événement n’est pas encore connue, sa présence ne fait aucun doute.
Wout keeps moving forward📈
😀 »I am very happy to announce that I will be riding cyclocrosses for another four weeks. » – @WoutvanAert#samenwinnen
A 25 ans, Wout van Aert est déjà triple champion du monde de cyclo-cross (2016,2017,2018), mais rééditer une telle performance cette année s’annonce compliquée. Depuis son retour, les prestations du Belge sont très encourageantes mais évidemment sa blessure contractée au dernier Tour de France doit nécessiter logiquement du temps pour lui permettre de retrouver son tout meilleur niveau. Et puis, son grand rival Mathieu van der Poel semble inarrêtable. Battu qu’une seule fois cette saison et presque invaincu depuis un an et demi, l’actuel champion du monde sera le grandissime favori pour se succéder à lui-même au palmarès. C’est le dire le niveau du défi qui attend Wout van Aert dont la prochaine compétition est prévue le samedi 25 janvier à Zonnebeke.
Sur ce Tour de San Juan 2020, vingt-sept équipes vont être au départ. Toutes chercheront à bien figurer sur cette épreuve phare sud-américaine. Dans ce peloton, il va y avoir notamment six formations WorldTour dont Cofidis côté français. Elles feront la course contre des équipes locales dites plus modestes. Cela regroupera un total de 168 coureurs.
Composition des équipes au départ du Tour de San Juan 2020
Movistar Team
1 – BETANCUR Carlos
2 – MORA Sebastian
3 – ELOSEGUI Inigo
4 – JACOBS Johan
5 – OLIVEIRA Nelson
6 – SEPULVEDA Eduardo
BORA – hansgrohe
11 – SAGAN Peter
12 – BODNAR Maciej
13 – FABBRO Matteo
14 – GATTO Oscar
15 – OSS Daniel
16 – POLJANSKI Pawel
Cofidis Solutions Crédits
21 – LAPORTE Christophe
22 – MARTIN Guillaume
23 – MATE Luis Angel
24 – ALLEGAERT Piet
25 – LEMOINE Cyril
26 – BARCELO Fernando
Deceuninck – Quick Step
31 – ALAPHILIPPE Julian
32 – EVENEPOEL Remco
33 – HODEG Alvaro José
34 – SERRY Pieter
35 – STYBAR Zdenek
36 – VAN LERBERGHE Bert
Israel Start-Up Nation
41 – BARBIER Rudy
42 – EINHORN Itamar
43 – HOFSTETTER Hugo
44 – SCHELLING Patrick
45 – VAHTRA Norman
46 – MCCABE Travis
UAE Team Emirates
51 – GAVIRIA Fernando
52 – BOHLI Tom
53 – MCNULTY Brandon
54 – MOLANO Juan Sebastian
55 – RICHEZE Maximiliano
56 – TROIA Oliviero
Androni Giocattoli – Sidermec
61 – BELLETTI Manuel
62 – BAIS Mattia
63 – FLOREZ Miguel Eduardo
64 – FRAPPORTI Mattia
65 – PELLAUD Simon
66 – RAVANELLI Simone
Bardiani-CSF-Faizane
71 – BENFATTO Marco
72 – DALLA VALLE Nicolas
73 – FILOSI Iuri
74 – MAESTRI Mirco
75 – TONELLI Alessandro
76 – ZACCANTI Filippo
Fundacion – Orbea
81 – ALONSO Mikel
82 – GOIKOETXEA Peio
83 – ARANBURU Jokin
84 – BRAVO Garikoitz
85 – BALLARIN Iker
86 – CUADRADO Unai
Vini Zabu – KTM
91 – STOJNIC Veljko
92 – MARENGO Umberto
93 – BUSATO Matteo
94 – WACKERMANN Luca
95 – GAROSIO Andrea
96 – DI RENZO Andrea
Rally Cycling
101 – BRITTON Rob
102 – BROWN Nathan
103 – CARPENTER Robin
104 – JOYCE Colin
105 – MANNION Gavin
106 – MURPHY Kyle
Amore & Vita – Prodir
111 – APPOLLONIO Davide
112 – TIZZA Marco
113 – MARCHESINI Riccardo
114 – ZULLO Antonio
115 – LUKSEVICS Viesturs
116 – BOGDANOVICS Maris
Atum general / Tavira / Maria Nova Hotel
121 – FIGUEIREIDO Frederico
122 – GRIGORYEV Alexander
123 – TRUEBA Alvaro
124 – MARTINGIL Cesar
125 – SIMAO Ruben
126 – MARQUE Alejandro Manuel
Colombia Tierra de Atletas – GW Bicicletas
131 – QUIROZ Oscar Adalberto
132 – MENDOZA Omar Alberto
133 – SOTO Nelson Andres
134 – CAMARGO Diego Andres
135 – MUNOZ William David
136 – CASALLAS Jeisson Fer
Medellin
141 – SEVILLA Oscar
142 – ROLDAN Weimar Alfonso
143 – PAREDES Cesar Nicolas
144 – VARGAS Walter
145 – SANCHEZ Brayan
146 – HERNANDEZ Jose Tito
Agrupacion Virgen De Fatima
151 – TIVANI German Nicolas
152 – NARANJO Nicolas Javier
153 – ESCUELA Ricardo
154 – VELARDEZ Leandro
155 – JUAREZ Daniel
156 – JUAREZ Gabriel
157 – GOMEZ Oscar Alfredo
Equipo Continental Municipalidad de Pocito
161 – TIVANI Gerardo Matias
162 – NAVARRETE Maximiliano Ezequiel
163 – MELIVILO Juan Javier
164 – ATENCIO Gerardo
165 – RAMOS Ruben
166 – CONTTE Tomas
Initialement prévu pour le compte de la formation CCC, Patrick Bevin est contraint de déclarer forfait pour le Tour Down Under qui débute ce 21 janvier. En proie à des problèmes cardiaques lors d’un entraînement à Adélaïde (Australie), le Néo-Zélandais a suivi des examens à l’hôpital qui ont confirme une arythmie supra-ventriculaire.
Une arythmie contraint Patrick Bevin au forfait
Vainqueur de la deuxième étape du Tour Down Under l’an dernier, Patrick Bevin a été contrait au forfait en ce début de saison 2020. « Patrick n’a pas d’antécédents de problèmes cardiaques mais un électrocardiogramme a détecté un épisode d’arythmie supraventriculaire », explique le docteur Testa, chef de la direction médicale de l’équipe CCC. La vie du Néo-Zélandais de 28 ans n’est pas en danger. Il a été traité afin de contrôler le rythme cardiaque. « Heureusement, Patrick a vécu cet épisode avec l’équipe et nous avons pu traiter l’arythmie immédiatement. Nous continuerons à surveiller sa récupération et à effectuer des tests supplémentaires par mesure de précaution », continue le docteur. Evidemment, aussi proche du départ de la course, son retrait a été aussitôt annoncé.
Bevin déçu, Guillaume Van Keirsbulck en renfort
« C’est décevant de rater la course après s’être préparé durant toute l’inter-saison et surtout après avoir été si proche de la victoire l’an dernier », dit Patrick Bevin qui en plus d’avoir remporté une étape s’était classé 2e de la 4e étape. « Je me sens très bien et maintenant c’est juste une question de repos et de récupération pour m’assurer que cela ne se reproduise plus. Avec le bloc solide d’entraînement hors saison dans mes jambes, je suis convaincu que je peux encore avoir un bon début de saison un mois plus tard que prévu », relativise-t-il. Du coup, le Belge Guillaume Van Keirsbulck a été appelé en renfort. Il a donc pris l’avion précipitamment direction l’Australie ! Il s’agira de sa 2e participation après 2016 sous les couleurs d’Etixx-Quick Step.
Vidéo : Bevin se paie les meilleurs sprinteurs – Tour Down Under 2019
Le Tour Down Under féminin est lancé ! L’Australienne Chloé Hosking l’a emporté au sprint au terme des 166,3 kilomètres du jour dessinés entre Hahndorf et Macclesfield. La pensionnaire de la formation Rally Cycling a devancé la Finlandaise Lotta Henttala (Trek-Segafredo Women) et Matilda Raynolds (Specialized Racing). Par la même occasion, Hosking a endossé le premier maillot de leader.
Nouvelle équipe et déjà victorieuse Hosking
La sprinteuse australienne n’aura pas attendu longtemps pour décrocher sa première victoire UCI. En bonne forme, elle a déjà levé les bras à plusieurs reprises sur des courses non classées. Sur le Bay Crit Series et le championnat national de critérium, Chloe Hosking avait dénoté une très belle forme. Pour le compte de sa nouvelle équipe Rally Cycling, l’Australienne de 29 ans n’a pas tardé à lever les bras pour décrocher une victoire de prestige. « J’ai parlé pendant l’intersaison de la façon dont j’avais l’impression que la pression avait été levée lorsque j’ai signé pour le Rally Cycling et c’est toujours dans ces moments que je suis meilleure, a déclaré Chloe Hosking. Je suis vraiment contente de pouvoir leur donner une victoire UCI. Elles ont vraiment parfaitement exécuté le plan et je suis vraiment fier des filles. »
Vidéo de cyclisme : Women’s Tour Down Under 2020 – Etape 1
Classement de la 1e étape du Women’s Tour Down Under 2020
Nom
Pays
Equipe
1
HOSKING Chloe
AUS
Rally Cycling
3:17:02
2
HENTTALA Lotta
FIN
TREK – SEGAFREDO
+00
3
RAYNOLDS Matilda
AUS
+00
4
ELVIN Gracie
AUS
MITCHELTON SCOTT
+00
5
MULLENS Peta
AUS
ROXSOLT ATTAQUER
+00
6
KIRCHMANN Leah
CAN
TEAM SUNWEB
+00
7
LIPPERT Liane
GER
TEAM SUNWEB
+00
8
KITCHEN Lauren
AUS
FDJ NOUVELLE – AQUITAINE
+00
9
SIERRA Arlenis
CUB
ASTANA WOMEN’S TEAM
+00
10
RYAN Alexis
USA
CANYON / /SRAM RACING
+00
Classement général – 1e étape Women’s Tour Down Under 2020
C’est d’une scène peu cocasse qu’a été victime Chris Hamilton. Le coureur du Team Sunweb a eu la malchance de se rompre un testicule lors d’une simple sortie à vélo. Cette blessure le contraint à ne pas prendre le départ du Tour Down Under, qui démarrera le 21 janvier prochain.
Il ne va jamais oublier cette sortie à vélo de janvier 2020. Alors qu’il était en VTT, après avoir passé une bosse sur son parcours, l’Australien est mal retombé sur son cadre provoquant une douleur très mal situé à… un testicule. Dès que sa sortie s’est achevée, la direction des urgences a été prise pour se faire opérer dans la foulée.
Pendant quelques temps, Chris Hamilton va devoir laisser le vélo de côté pour récupérer suffisamment. Lui qui devait prendre le départ du Tour Down Under doit y renoncer tout comme à la Cadel Evans Great Ocean Road Race et à l’Herald Sun Tour.
A 38 ans, c’est une page qui se tourne pour Bernhard Eisel. Sur les réseaux sociaux, l’Autrichien a annoncé mettre un terme à sa carrière. Au total, il aura passé dix-neuf années dans le peloton.
Son tour est venu. Démarrant sa carrière chez les professionnels au début de ce siècle, Bernhard Eisel est désormais un jeune retraité. C’est lui-même qui a fait l’annonce à travers un message diffusé sur les réseaux sociaux.
Au terme de cette longue et remarquable carrière, Eisel sera passé par cinq formations différentes. Dans cet ordre, il a couru pour Mapei – QuickStep, la FDJ, le Team Columbia, Sky et enfin Dimension Data. Ce qui restera particulièrement marquant dans sa carrière, c’est le duo qu’il a formé pendant quelques années avec Mark Cavendish. Dans le rôle de poisson-pilote, son apport a été indéniable pour mener à d’innombrables succès son coéquipier britannique.
Individuellement, l’Autrichien aura pris part à dix-neuf Grands Tours (12 Tour de France, 4 Giro, 3 Vuelta). Et sera parvenu à cumuler quinze succès dont le dernier remontant à 2010 sur Gand-Wevelgem est certainement le plus prestigieux de tous.
Du 26 janvier au 2 février va se dérouler le Tour de San Juan 2020. Avec les sept étapes que comprend cette compétition disputée en Argentine, 1 024,1 kilomètres vont devoir être réalisés par les coureurs pour effectuer la totalité du parcours. Il s’agit de la 38e édition de l’épreuve avec un départ et une arrivée effectuée depuis la localité de San Juan. L’année passée, Winner Anacona (Movistar Team) remportait la course devant Julian Alaphilippe (Deceuninck – Quick Step) et Oscar Sevilla (Medellin).
Pour certains coureurs, leur début de saison va passer par l’Argentine et plus précisément par ce Tour de San Juan 2020. A l’occasion de cette course par étapes d’une semaine, les sprinteurs auront la part belle même si c’est assurément un coureur au profil rouleur-grimpeur qui pourra espérer s’imposer au final.
Pour les deux premiers jours de course, à part énorme surprise, une arrivée groupée est à prévoir compte tenu d’un profil assez voire complètement plat. Le premier tournant sera pour la troisième étape avec un contre-la-montre individuel de quinze kilomètres qui va permettre d’établir une hiérarchie entre les prétendants à un bon classement général. Après cela, la journée suivante ne devrait pas changer grand chose malgré une portion montante en milieu de tracé.
Après avoir parcouru un peu plus de la moitié du parcours, une journée de repos arrivera avant d’aborder la dernière ligne droite. Celle-ci sera composée de trois étapes dont la première sera déterminante pour le général. Avec une arrivée jugée au sommet de l’Alto Colorado, le futur vainqueur final de l’épreuve sera certainement connu. En effet, les deux dernières étapes sans grandes difficultés ne devraient pas favoriser le moindre chamboulement.
Les principaux favoris
***** Julian Alaphilippe
**** Remco Evenepoel
*** Eduardo Sepulveda, Oscar Sevilla
** Guillaume Martin, Brandon McNulty
* Giovanni Visconti, Carlos Betancur
Le profil de la course
Dimanche 26 janvier – Etape 1 – San Juan / San Juan (163,5 km)
Lundi 27 janvier – Etape 2 – Pocito / Pocito (168,7 km)
Mardi 28 janvier – Etape 3 – Ullum / Ullum (15,2 km)
Mercredi 29 janvier – Etape 4 – Jachal / Valle Fertil (185,8 km)
Vendredi 31 janvier – Etape 5 – Caucete / Alto Colorado (175,1 km)
Samedi 1er février – Etape 6 – Villicum / Villicum (174,5 km)
Dimanche 2 février – Etape 7 – San Juan / San Juan (141,3 km)
D’après le parcours révélé du Tour de Bretagne 2020, le choix de durcir l’épreuve a été clairement l’option privilégiée. Du 25 avril au 1er mai, les coureurs engagés devront faire face à quelques tracés particulièrement escarpés favorisant une course de mouvement.
Si Lorrenzo Manzin est le vainqueur de la dernière édition du Tour de Bretagne, il paraît peu probable de retrouver un coureur plutôt sprinteur mettre son nom au palmarès cette année. En l’espace d’un an, le parcours de cette course par étapes n’aura pas grand chose à voir. En tout cas, en 2020, il s’annonce beaucoup plus varié permettant ainsi à différents types de pouvoir s’exprimer pleinement.
D’ailleurs, plusieurs passages corsées que comportent la Bretagne seront empruntées durant cette compétition se déroulant au cœur du printemps. A commencer par la première étape, qui verra le peloton passer par le Mûr-de-Bretagne. De quoi laisser envisager la possibilité d’une course déjà animée même si la fin de parcours sera plus plate. Pour le lendemain, c’est un profil à peu près similaire que l’on retrouve. Autrement-dit, ça pourrait permettre aux attaquants de se mettre en évidence.
De son côté, la troisième étape a tout pour être un point-clé de cette édition. Avec du dénivelé tout au long de la journée, les prétendants à la victoire finale auront de quoi faire pour se porter à l’avant. D’autant plus que les deux journées suivantes s’annoncent a priori plus calmes avec des arrivées destinées aux sprinteurs. A noter quand même que la cinquième étape égale à 217 km sera la plus longue de toute l’histoire de l’épreuve.
En ce qui concerne, l’avant-dernière et la dernière étape, ce sera une toute autre affaire. Le dénouement du classement général à ce moment-là avec deux arrivées faites pour les costauds. Avec la côte de la Pinterie à Fougères suivi d’une ascension redoutable à Dinan, le sort de chacun sera alors définitivement scellé. Forcément alléchant sur le papier.
A l’occasion de l’épreuve de cyclo-cross se déroulant à Otegem, Mathieu van der Poel s’est révélé une nouvelle fois dominateur. Vainqueur la veille du championnat des Pays-Bas, il vient de s’offrir une 21e victoire cette saison. A une distance respectable, Tim Merlier et Gianni Vermeersch ont dû se contenter du podium.
Les jours se suivent et se ressemblent pour Mathieu van der Poel. Tout juste auréolé d’un sixième titre de champion des Pays-Bas de la spécialité, le coureur d’Alpecin-Fenix vient de s’adjuger l’épreuve d’Otegem sans grandes difficultés. Maître de son sujet, il n’a pas de mal pour s’échapper seul en tête et finir en solitaire comme il sait si bien le faire. Et la présence de l’armada belge (Iserbyt, Aerts, Sweeck) n’a pas suffi à le stopper.
Depuis l’entame de cette nouvelle année, Mathieu van der Poel est donc toujours invaincu. Et même plus largement, l’actuel champion du monde n’a été battu qu’une seule fois depuis le début de la saison, c’était à Ronse par Toon Aerts. Ce dernier n’a pu faire mieux que cinquième aujourd’hui, mais revient bien après une indisponibilité suite à une fracture de quatre côtes. Dans cet ordre, Tim Merlier, Gianni Vermeersch et Eli iserbyt l’ont devancé sur cette course. A noter que pour Laurens Sweeck le héros du dernier championnat de Belgique, cela ne s’est pas passé au mieux. Visiblement pas remis de ses émotions de la veille, il a terminé aux portes du top 10, en onzième position.
Au terme d’une course qu’il aura dominé, Laurens Sweeck s’est adjugé le titre de champion de Belgique de cyclo-cross. Une sacrée performance réalisée par ce coureur de 26 ans, qui a notamment battu l’étoile montante de la discipline Eli Iserbyt et le vainqueur sortant Toon Aerts.
La Belgique a son nouveau roi en cyclo-cross. Laurens Sweeck qui n’avait jamais été sacré jusque-là, vient de décrocher la victoire sur cette édition du championnat national. C’est d’autant plus remarquable que le niveau du plateau engagé était relevé. Pour preuve, il s’est notamment défait d’Eli Iserbyt, Toon Aerts, Tim Merlier et Wout van Aert qui ont fini dans cet ordre aux cinq premières places.
Assez régulier depuis l’entame de la saison, Laurens Sweeck a tout de même très certainement sorti sa meilleure course sur cette épreuve. En grande forme, il s’est permis le luxe de mener assez rapidement les débats et ensuite de s’envoler vers la victoire. Celle-ci va assurément lui donner de la confiance pour la prochaine grande échéance que va constituer le mondial au début du mois de février. Une compétition dans laquelle il retrouvera notamment tous ses rivaux belges, qui n’ont rien pu faire face à lui.
Sans grande surprise, Mathieu van der Poel s’est imposé à l’occasion de cette édition des championnats des Pays-Bas de cyclo-cross. Pour la sixième fois de sa carrière déjà à seulement 24 ans, l’actuel champion du monde est sacré au niveau national. Lars van der Haar et Joris Nieuwenhuis sont les deux autres coureurs à l’accompagner sur le podium.
Il n’y a pas eu de sensation sur le tracé des championnats de Pays-Bas de cyclo-cross. Comme c’était à prévoir, le grandissime favori Mathieu van der Poel a décroché le titre national. A l’image de ce que le Néerlandais est capable de réaliser tout au long de la saison, la victoire lui est revenue en solitaire après avoir nettement fait la différence par rapport à la concurrence.
Au final, Mathieu van der Poel a coupé la ligne d’arrivée avec un avantage assez conséquent sur son plus proche poursuivant. Lars van der Haar a échoué à trente-six secondes tandis que Joris Nieuwenhuis a concédé une minute et quatre secondes. Le reste de la meute emmené par Corné van Kessel à la quatrième place a fini à plus de deux minutes et trente secondes au minimum.
2015: 🥇 Mathieu van der Poel
2016: 🥇 Mathieu van der Poel
2017: 🥇 Mathieu van der Poel
2018: 🥇 Mathieu van der Poel
2019: 🥇 Mathieu van der Poel
2020: 🥇 Mathieu van der Poel#NKveldrijdenhttps://t.co/005SmJp1Eu
Sur cette édition des championnats de France de cyclo-cross disputé à Flamanville, il n’y a pas eu photo. Clément Venturini, coureur chez AG2R La Mondiale, s’est imposé après avoir dominé la course de bout en bout. C’est la troisième fois qu’il est sacré au niveau national. Joshua Dubau et Fabien Doubey ont complété le podium.
Après 2017 et 2019, Clément Venturini vient de remporter l’édition 2020 des championnats de France de cyclo-cross. Un troisième titre décroché avec autorité et de manière impériale. A aucun moment, le porteur du maillot d’AG2R La Mondiale aura tremblé.
Dès les premiers instants, le tenant du titre a imposé son rythme, qui va s’avérer trop important pour l’ensemble de ses concurrents. Une fois seul en tête, la gestion a été parfaite pour arriver en vainqueur sur la ligne d’arrivée. Derrière lui, la deuxième place s’est jouée dans le dernier tour entre Joshua Dubau et Fabien Doubey avec l’avantage finalement pris pour le premier cité. A noter également la septième place finale décrochée par Steve Chainel sacré il y a maintenant deux ans.
🔵⚪🔴 @clemventurini conserve son titre et remporte son 3ème titre de champion de France de CX 🔵⚪🔴
A 32 ans, Cameron Meyer a remporté pour la première fois de sa carrière le titre de champion d’Australie. Porteur d’une attaque fatale à 10 kilomètres de l’arrivée, le coureur de Mitchelton-Scott a devancé son coéquipier Lucas Hamilton et Marcus Culey (Team Sapura Cycling). Il succède au palmarès à Michael Freiberg.
Mitchelton-Scott, la course parfaite
En supériorité numérique, la formation Mitchelton-Scott ne devait pas rater son coup. Dans un petit groupe à l’avant, les trois coureurs de l’équipe australienne ont parfaitement joué avec leurs adversaires pour les mettre en difficulté. Dans une bosse à 10 kilomètres de l’arrivée, Cameron Mayer a porté une attaque fatale à tous. Nathan Haas (Cofidis), a un temps mené la chasse mais les deux coéquipiers de Meyer veillaient au grain et empêchaient la chasse. Meyer s’est donc imposé en solitaire, devançant son coéquipier Lucas Hamilton et Marcus Culey (Team Sapura Cycling) de presque 1 minute.
En réaction à sa victoire sur son championnat national pour le site de Mitchelton-Scott, Cameron Meyer s’est montré évidemment très satisfait. Et a tenu à insister sur la force collective de sa formation.
« Je ne peux pas remercier davantage mes coéquipiers. On m’a confié beaucoup de responsabilités aujourd’hui avec un peu de leadership et il y avait beaucoup de pression qui en découlait, mais mes coéquipiers étaient incroyables. Nous étions aux avant-postes, nous avions toujours eu quelqu’un à l’avant et j’avais quelqu’un pour m’aider tout le temps. Finalement, la force du nombre a gagné et aujourd’hui a été mon jour de chance. »
Amanda Spratt a remporté pour la troisième fois de sa carrière le titre de championne d’Australie sur route. En bonne forme, la cycliste de 32 ans pensionnaire de la formation Mitchelton-Scott avait fini 4e de l’épreuve chronométrée il y quelques jours. Elle a devancé Justine Barrow et sa coéquipière Grace Brown.
Cette édition des championnats d’Australie resteront mémorables pour Mitchelton-Scott. Avant que Cameron Meyer obtienne le titre chez les hommes, Amanda Spratt s’était mis en évidence sur l’épreuve en ligne féminine. Gagnante avec autorité même si sa dauphine Justine Barrox lui a tenu la tête, elle portera pour la troisième fois de sa carrière le maillot australien durant une saison entière. Sa première compétition avec cette tunique est d’ailleurs imminente, car il s’agira du Tour Down Under disputé entre le 16 et le 19 janvier.
« C’est tout aussi spécial, sinon plus spécial (la troisième fois). Je dois à mon équipe celle-ci, ils ont incroyablement bien roulé, vous avez pu voir comment Grace Brown a travaillé dans cette échappée. C’est inhabituel pour nous, mais je suis venue ici en tant que seul leader. Cela donne beaucoup de pression mais je suis tellement reconnaissant à l’équipe de m’avoir donné l’opportunité et que j’ai pu l’offrir pour eux. »
Arrivé douzième au général du dernier Tour de France, Guillaume Martin sera de nouveau au départ de la prochaine édition (27 juin – 19 juillet). Le Français portera sur ses épaules les espoirs de Cofidis pour terminer à une belle place finale et viser encore mieux que sa précédente participation.
Il a changé d’équipe à l’intersaison, mais son intention d’en faire du Tour de France un objectif majeur reste la même. Pour l’année en cours, Guillaume Martin va continuer de cibler la Grande Boucle, mais il n’y aura pas que ça. En constante progression, le Français pourrait aussi s’affirmer sur des courses par étapes telles que Paris-Nice et le Tour du Pays Basque. Dans cette première partie de saison, ce seront les principales compétitions disputées par le coureur de 26 ans sans oublier les Ardennaises avec la Flèche Wallonne plus Liège-Bastogne-Liège.
Pour sa rentrée, à l’image de ce que va faire Christophe Laporte, elle aura lieu sur le Tour de San Juan. C’est la première fois que Guillaume Martin commencera une saison de cette manière en Amérique du Sud. Pour son retour en Europe, il alternera entre des courses par étapes et des classiques. Une période qui s’étend de l’Ardèche Classic jusqu’à Liège-Bastogne-Liège. Après une coupure, la dernière ligne droite avant le Tour de France le mènera au critérium du Dauphiné. Il sera temps alors de se montrer à la hauteur sur une 103e édition de la plus grande course cycliste au monde qui ne tardera pas à entrer dans le vif du sujet. De quoi ravir un grimpeur tel que Guillaume Martin pouvant se montrer légitimement ambitieux pour cet événement et plus globalement sur l’ensemble de la saison.
Dans les prochains mois, Christophe Laporte ne va pas chômer. Entre sa rentrée prévue au Tour de San Juan en Argentine jusqu’au prochain Tour de France, de nombreuses courses dont certaines prestigieuses sont prévues à son programme.
Du Tour de San Juan au Tour de France, un programme copieux attend Christophe Laporte. En cinq mois, les temps de coupure entre deux événements ne seront pas très importants. Un des plus longs arrivera même dès ce début de saison. Entre l’épreuve d’ouverture qu’il disputera depuis l’Argentine et son retour en Europe avec le Tour du Haut Var, il y aura quasiment trois semaines qui vont s’écouler. Le Français se retrouvera autrement avec une telle période sans compétition que bien plus tard dans l’année. C’est dire à quel point le coureur de la formation Cofidis devra être en capacité de bien enchaîner.
La fin de l’hiver et le début de printemps s’annonce comme une période primordiale pour Christophe Laporte. Dans celle-ci, il aura pas mal d’échéances à commencer par Paris-Nice. Un succès d’étape serait une belle manière de repartir de la Course au Soleil. Après cela, des classiques vont s’enchaîner pour lui dont Milan-San Remo et Paris-Roubaix, deux des cinq Monuments du cyclisme. De belles occasions pour le Français de briller.
Pour ce qui est de son approche du Tour de France, celle-ci passera a priori par les Boucles de la Mayenne ainsi sue le Tour de Suisse. Une compétition dans laquelle il fera équipe avec Elia Viviani, qui prendra part aussi dans la foulée au Tour de France. Sur cette édition de la Grande Boucle, Laporte devrait occuper le rôle de poisson pilote pour le champion d’Europe en titre, ce qui n’empêchera pas de jouer sa carte personnelle sur quelques jours. Et qui sait d’ouvrir son compteur dans les Grands Tours.
Selon ce que rapporte le site Cyclingnews, le calendrier de Geraint Thomas jusqu’au Tour de France est acté. Pour préparer au mieux la Grande Boucle et y arriver dans les meilleures dispositions, le Britannique disputera pas plus de quatre épreuves en l’espace de quelques mois.
Une saison totalement et uniquement axée vers le Tour de France. A l’image des deux saisons précédentes, Geraint Thomas n’a pas changé ses habitudes à ce niveau-là. La Grande Boucle restera son objectif majeur avec la possibilité d’accrocher une deuxième fois cette course à son palmarès après 2018. Mais avant cela, il y aura quelques autres compétitions sur lesquelles le coureur du Team INEOS sera aligné.
Ce qui est d’ores et déjà certain, Thomas prendra le départ de Tirreno-Adriatico. Une course par étapes d’une semaine dans laquelle le Britannique est tout à fait en capacité de jouer les premiers rôles en sachant qu’un chrono est compris dans le programme. Dans les mois suivants, le coureur de 33 ans a prévu également de prendre part au Tour de Romandie et au Tour de Suisse.
En comparaison de l’année qui vient de s’écouler, c’est donc quasiment un calendrier similaire adopté par Thomas. Présent en 2019 sur les Strade Bianche et au Tour du Pays Basque, il fait cette fois-ci le choix de faire l’impasse dessus. Par contre, il reste encore une incertitude sur sa programmation d’ici cet été. Cela concerne sa course de rentrée. Il se pourrait bien que ça soit le Tour d’Algarve, mais une confirmation est encore attendue. Thomas totalisera ainsi moins de trente jours de course avant de démarrer le Tour de France. A voir désormais si cette approche s’avérera payante.
Tout jeune retraité de son activité de cycliste professionnel, Samuel Dumoulin va continuer d’exercer dans le milieu. A partir de cette saison, le Français endossera le rôle de directeur sportif chez B&B Hôtels – Vital Concept.
Sa reconversion est toute trouvée. Après avoir couru une dernière saison chez les professionnels, Samuel Dumoulin n’aura pas tardé pour occuper une nouvelle fonction. Au sein de l’équipe B&B Hôtels – Vital Concept, il sera l’un des directeurs sportifs. De quoi apporter tout son expérience construite durant dix-huit saisons dans le peloton.
Après 18 saisons au plus haut niveau et 30 succès chez les professionnels, @SamuelDumoulin vient compléter la Direction sportive du @BBHotels_VC.
Dans le communiqué sur le site de la formation bretonne, Samuel Dumoulin est revenu sur ce nouveau poste qu’il va endosser dès à présent.
«Depuis les Championnats de France de La Haie-Fouassière, ma dernière course au mois de juin, j’ai eu le temps de réfléchir à ce que je voulais faire de mon après-carrière. Je me suis rendu compte que j’avais en moi cette envie de transmettre mon expérience et ma hargne. Voilà plusieurs années que j’ai endossé l’habit de capitaine de route et c’est un rôle qui me tient à cœur. Devenir directeur sportif est le prolongement naturel de cette position que j’avais vis-à-vis de mes coéquipiers.»
Pour Samuel Dumoulin, qui aura cumulé trente succès dans sa carrière dont une victoire d’étape au Tour de France 2008, ses débuts dans sa fonction de directeur sportif sont imminents. Le GP La Marseillaise sera la première compétition, puis l’Etoile de Bessèges, le Tour de la Provence suivront notamment.
C’est une année particulièrement chargée et remplie qui s’annonce pour Elia Viviani. L’Italien membre de la formation Cofidis depuis l’intersaison, qui commencera sous ses nouvelles couleurs au Tour Down Under (21 – 26 janvier) aura plusieurs échéances importantes. Le tour d’Italie, le Tour de France et les JO sur la piste seront autant d’objectifs dans son viseur.
Du Tour Down Under, qui marquera sa rentrée en compétition cette année, jusqu’au cœur de l’été, Elia Viviani sera bien occupé. Et même sur une courte période, ses principaux objectifs seront concentrés. Entre le Giro et les Jeux Olympiques sans oublier au milieu le Tour de France, tout se passera en moins de trois mois. C’est dire à quel point la deuxième partie de printemps et la première moitié de l’été devront être particulièrement bien négociés de la part du dernier champion d’Europe.
🗣️ « Une équipe composée de grands talents qui sauront être complémentaires pour viser la victoire. » @cedvasseur
Les Cofidis sont prêts à attaquer la saison dans le circuit #UCIWT ⚔️
Dans le détail, après des premiers jours de course passés en Australie, le leader de la formation Cofidis sera tourné vers Milan-San Remo qu’il préparera avec Tirreno-Adriatico. Une fois ces deux courses italiennes réalisées, un enchaînement de quelques compétitions belges d’un jour l’attendront. Ce sera ensuite le temps de se projeter sur le Tour d’Italie où l’objectif sera de repartir avec une victoire d’étape minimum tout comme au Tour de France. Quand la Grande Boucle s’achèvera pour lui, Elia Viviani laissera un peu la route de côté pour se dédier à la piste aux JO et plus précisément à l’omnium, qui regroupe plusieurs épreuves. De nombreux défis alléchants attendent donc le transalpin.
