Accueil Blog Page 745

Christopher Froome ne ferme pas la porte au Giro 2018

Auteur d’un doublé historique en remportant le Tour et le Vuelta la même année, Christopher Froome pourrait s’attaquer au Giro dès 2018. Attendu sur la course italienne pour essayer de s’imposer sur les trois Grands Tours, sa venue est peut-être imminente.

Christopher Froome partant pour le Giro 2018 ?

Un troisième Grand Tour consécutif pour Christopher Froome ? Après avoir gagné le Tour de France en juillet et le Tour d’Espagne en septembre, le Tour d’Italie pourrait être la prochaine course de trois semaines du Britannique. Mais l’incertitude est encore totale, cependant sa participation pour l’édition 2018 n’est pas à exclure. Cet immense défi pourrait permettre au kényan blanc de remporter les trois Grands Tours, ce qui le ferait entrer dans une nouvelle dimension. Même si le coureur de la Sky a déjà rélisé une performance de premier plan en faisant cette année un doublé, plus jamais produit depuis Bernard Hinault en 1978.

Des objectifs à atteindre

Le Giro est la dernière course de trois semaines qui manque à son palmarès. C’est en quelque sorte le dernier vide à combler pour ce coureur aux qualités hors normes. Mais ce n’est pas le dernier challenge. Pour le moment, comme le révèle le journal espagnol El Pais, Christopher Froome fait du Tour de France encore sa priorité pour la prochaine année. Il est à un sacre de rejoindre le cercle fermé des quintuples vainqueurs composé de Jacques Anquetil, Eddy Merckx, Bernard Hinault, et Miguel Indurain. Un objectif qui lui tient à coeur. Cependant, avant la grande explication de juillet, le leader de la Sky pourrait se rendre sur les routes italiennes pour la troisième fois de sa carrière. Après un doublé Tour-Vuelta, peut-être un Giro-Tour à la suite pour continuer à écrire sa légende.

Site de l’équipe Sky

Mathieu van der Poel champion d’Europe au sommet de son art

Dominateur depuis le début de la saison, Mathieu van der Poel a confirmé son statut de favori au championnat d’Europe de cyclo-cross. En République Tchèque à Tabor, le Néerlandais s’est imposé largement devant Lars van der Haar et Toon Aerts.

Mathieu van der Poel roi d’Europe

Une victoire haut la main ! Mathieu van der Poel était imbattable sur le championnat d’Europe de cyclo-cross disputé en République Tchèque. A l’image de sa saison, le Néerlandais a dominé la concurrence et n’a pas tremblé un seul instant. Dès les premiers mètres, il s’est positionné en tête et n’a plus quitté les avants-postes jusqu’à la fin. Seul Lars van der Haar a résisté un peu plus longtemps. Auteur d’une jolie course en finissant à un peu plus de 20 secondes, ce n’était pas possible de faire mieux. Au-dessus de lui, Mathieu van der Poel a survolé la course de bout en bout. Ce sacre européen vient s’ajouter à ceux acquis sur le SuperPrestige et la coupe du monde dans cette saison 2017/2018.

Mais où va s’arrêter le talentueux néerlandais ? Toujours autant en forme et fringant sur le vélo, son niveau est impressionnant. Pour lui, un autre objectif va guider la suite de son année, les championnats du monde, en janvier prochain. Un maillot arc-en-ciel que détient pour l’heure Wout van Aert en relative méforme. Absent de cet événement européen, le Belge a pu voir à quel point son grand rival continuait de dominer la discipline. Mathieu van der Poel a pris sa revanche de la meilleure des manières après avoir été battu l’an dernier. C’était à Pontchâteau en France, et devancé par le Belge Toon Aerts, qui a dû se contenter de la troisième place du podium cette fois-ci. L’écart d’une minute et trente secondes illustrent le fossé qui sépare l’étoile montante du cyclisme mondial et le reste de la concurrence.

Site officiel de l’Union européenne de cyclisme

Michael Matthews pas certain d’être sur le Tour de France 2018

Au terme d’une saison riche en victoires, marquée principalement par ses deux succès sur le Tour de France et le maillot vert à la clé, l’heure est au bilan pour Michael Matthews. Cependant, le coureur australien de l’équipe Sunweb ne s’y attarde pas et pense déjà à la saison 2018. Quant est-il de sa participation au Tour de France ? Va-t-il y défendre sa tunique verte ? Rien de certain. En effet, il pourrait se concentrer sur le Giro et la Vuelta.

Michael Matthews, maillot vert du Tour de France

Après quatre saisons passées avec le maillot Orica-Scott sur les épaules, Michael Matthews a choisi de se lancer de nouveaux défis pour 2017 en rejoignant la formation Sunweb. Pari gagnant pour l’Australien qui est devenu un leader incontournable au sein de son équipe. Performant sur les classiques (8ème de Gent-Wevelgem, 10ème de l’Amstel Gold Race, 4ème de Liège-Bastogne-Liège, 5ème de la Bretagne Classic, 3ème du Grand Prix cycliste de Québec et 8ème à Montréal), il excelle également lors des sprints difficiles comme le montre ses victoires lors des 14 et 16ème étapes du Tour de France. Très régulier, ce coureur passe-partout s’est également donné les moyens de conquérir le maillot vert en allant chercher, entre autres, les sprints intermédiaires lors des étapes montagneuses.

A LIRE : Parcours du Tour de France 2018, la plaine avant la montagne

Michael Matthews pas certain d’être sur le Tour de France 2018

En cette fin de saison, Michael Matthews pense déjà à ses objectifs pour 2018. L’Australien visera de nouveau les classiques printanières et pourrait ensuite effectuer son retour sur le Giro d’Italia et le Tour d’Espagne. « Le tracé du Tour est sorti », explique Michael Matthews à Cyclingnews. « J’envisageais de ne pas revenir pour y défendre mon maillot vert, mais quand je vois le parcours, je me dis que c’est possible. Il faut voir ce que l’équipe veut faire avec Tom Dumoulin. Nous devons également attendre de voir à quoi vont ressembler le Giro et la Vuelta. Ensuite je prendrai une décision. »

Bilan équipes : Dimension Data à l’arrière du peloton

Dix-huitième et dernier du classement World Tour à l’issue de la saison cycliste 2017, Dimension Data a été souvent en difficulté. Le manque de victoires significatives et l’absence de longue durée de Mark Cavendish ont pesé sur le modeste bilan de l’équipe sud-africaine.

Maigre bilan de Dimension Data

En 2017, Dimension Data c’est trois victoires obtenues dans le World Tour et c’est tout. Un triste résultat pour une formation évoluant dans l’élite du cyclisme mondial. Pourtant, ça avait plutôt bien commencé avec Mark Cavendish vainqueur d’une étape au Tour d’Abu Dhabi. Ce sera l’unique succès de l’année pour le charismatique coureur. Mais à l’image de l’ensemble de la saison, cette équipe s’est révélée très dépendante de son sprinteur britannique, et aussi leader. En manque évident de confiance, l’originaire de l’île de Man n’a jamais atteint son meilleur niveau. C’est même la chute sur la quatrième étape du Tour de France qui a achevé ses derniers espoirs. Contraint à l’abandon, c’est le temps de la convalescence qui a débuté.

Mais heureusement pour la Dimension Data, un autre coureur phare de l’effectif a pris la relève. Edvald Boasson Hagen s’est montré à la hauteur des attentes, en ayant une grande part de responsabilité dans les bons moments de la saison. Le Norvégien a réussi à engranger pas moins de dix succès, en majorité sur ses terres avec le Tour de Norvège, le Tour des Fjords, le championnat national du contre-la-montre. Mais sa victoire référence restera sans aucun doute celle acquise au Tour de France à Salon-de-Provence. Elle est l’une des plus belles de sa carrière, mais également la plus marquante pour son sponsor sur l’année écoulée.

Des coureurs en retrait

Mis à part le champion norvégien, seul Omar Fraile a vécu une saison à la hauteur de ses espérances. Vainqueur d’une étape au Giro, l’année était déjà réussie. Et ce n’est pas sa Vuelta moyenne avec un abandon pour terminer qui vient gâcher le plaisir de cette victoire. D’autant plus qu’elles sont encore plus rares sur des parcours montagneux. Un véritable point faible chez Dimension Data, qui manque indéniablement d’un leader minimum pour le classement général. Ce manque s’est révélé comme une véritable faille pour une équipe de cette dimension.

En plus, un coureur tel que Stephen Cummings n’a pas réussi à faire aussi bien que les années précédentes. Vainqueur sur deux éditions consécutives de la Grande Boucle, cette fois-ci l’expérimenté britannique a dû se contenter des accessits. En manque de résultats probants, Dimension Data va devoir impérativement rebondir en 2018. Le recrutement de Louis Meintjes va dans ce sens pour influencer davantage sur les courses par étapes d’une semaine et les Grands Tours. Sans oublier les renforts de Tom Jelte Slagter ou de Julien Vermote destinés à améliorer les résultats dès les prochains mois de compétition.

Fiche de l’équipe

Thomas Voeckler n’a jamais réussi à se casser la rotule en course

À Mouilleron-le-captif, en Vendée, où habite Thomas Voeckler, les jours ne se ressemblent pas pour l’ancien coureur de l’équipe Direct Energie. Heureux papa d’une petite Noha venue agrandir la famille ces derniers jours, les autres vont être rotuliens. Les béquilles seront de sortie à quelques kilomètres de la Côte de lumière. Ti-blanc est contraint à l’abandon sans que cela n’impacte son statut de « chouchou des Français » en course. Il lui offre dans ce relatif arrêt de ses fonctions de père dans la vie normale, de belles occasions pour se faire balader en voiture sur le Remblai aux Sables-d’Olonne.

https://twitter.com/voecklerthomas/status/919176180602933248

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

Thomas Voeckler a chuté à l’avant ou à l’arrière du peloton ?

Malgré que Thomas Voeckler ait raccroché le vélo à la fin du Tour de France 2017, j’ai ce drôle réflexe de me demander si sa chute s’est produite à l’avant ou à l’arrière du peloton. Mon questionnement est sûrement lié au fait que j’ai continué à croire en sa présence en son sein sur la fin de saison. Mon réveil a quelque chose de douloureux qui s’apparente peut-être à son mal au genou. Pour beaucoup il a manqué, et manquera toujours. Que ses fans se rassurent, il va revenir dans le cyclisme. En est-il réellement sorti ? Le coureur qui resta fidèle durant toute sa carrière aux différentes équipes de Jean-René Bernaudeau, ébauche sa reconversion professionnelle. Avec un diplôme de manager en poche, qu’il prépare dans une école à Limoges, spécialisée en management des clubs sportifs, il y a de fortes chances qu’on le retrouve à la tête d’une formation basée aux Essarts, en Vendée, dans quelque temps…

Des clavicules, mais, pas de rotule, il fallait bien y passer

Durant toute sa carrière professionnelle, Thomas Voeckler ne s’était jamais fracturé une rotule. C’est désormais chose faite, mais en retraite active. Le comble de sa mésaventure, c’est à vélo qu’elle arriva. Il faut voir dans celle-ci un message de la petite reine qui n’a pas l’intention de le lâcher de sitôt. Ce signe qui semble plutôt mauvais si on prend en considération ses conséquences, n’est qu’un appel du pied que lui fit son genou. Malheureusement, le droit n’y a pas été de main morte !

#tiblancboboaugenou

Vidéo – Un Tour de France, cela vous met sur les rotules !

@TeamDEN_fr

Mark Cavendish a de l’espoir avec autant de vert sur sa tenue !

La couleur verte est associée à l’espoir et à la chance. Mark Cavendish (Dimension Data) n’en a pas vraiment eu au cours de la saison 2017. Victime d’une mononucléose en début d’année qui l’a écarté des pelotons pendant de longues semaines, sa chute au début de la 104e édition du Tour de France n’a rien arrangé par la suite. Malgré cette relative débâcle, le Britannique est un battant et compte bien lever les bras à de nombreuses reprises en 2018, presque tout de vert vêtu.

Mark Cavendish broyait du noir comme Johnny Hallyday

Noir c’est noir il n’y a plus d’espoir. C’est sûrement ce que se disait l’homme de l’île de Man en 2017. Une seule victoire à son tableau de chasse cette année, la première étape de l’ Abu Dhabi Tour. Deux si l’on compte celle au Critérium de Saitama hier. Ce n’est pas dans les habitudes de Mark Cavendish de les compter sur les cinq doigts de la main sur l’ensemble d’une saison. Non résigné mais, forcé et contraint d’assumer le résultat d’une addition simple à faire, le bilan est très loin de le contenter. Le sprinteur de l’équipe Dimension Data veut jouer encore les premiers rôles dans les sprints massifs. Âgé de 32 ans, même s’il n’a plus le jump de ces vingt ans, veut encore allumer le feu sur les courses qu’il ambitionne de gagner et surtout se réapproprier son statut d’homme en vert du mois de juillet.

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

https://twitter.com/LeTour/status/926744805442437120

Sa bête noire s’appelle Peter Sagan sur le Tour de France

Même s’ils prétendent être amis dans la vie, Peter Sagan (BORA – hansgrohe) et Mark Cavendish se tire la bourre durant des mois de compétition. Et cela va des fois au tapis et se finit très mal comme on a pu le voir sur la Grande Boucle 2017. Peut-on dire que le triple champion du monde vole de précieuses victoires à celui qui porta le maillot irisé une fois dans sa vie ? Le voleur en question passe plutôt pour une bête fauve tandis que l’autre est relégué ces derniers temps à une bête qui passe la ligne d’arrivée la queue entre les pattes.

#jevoislavieenvert

Vidéo – Mark Cavendish aux couleurs de l’espoir sur le Tour de France

@LeTour

Le 3T Strada va servir sur un plateau d’argent Aqua Blue Sport !

Machine arrière toute ! Une équipe du World Tour sera équipée pour la saison cycliste 2018 d’un vélo muni d’un seul plateau. Son nom de code, 3T Strada. L’équipe continentale pro Aqua Blue Sport en bénéficie déjà et fait un bon en arrière dans le temps. Dans ce retour vers le futur, elle croise sur son chemin Henri Pélissier sur son monoplateau. Il pouffe de rire en voyant l’équipe irlandaise se réjouir à l’avance de nombreuses victoires, toutes servies sur un plateau d’argent.    

Le 3T Strada ou le minimalisme d’un vélo révolutionnaire ?

En VTT il est commun de voir un vélo équipé d’un monoplateau. Sur la route on n’avait encore jamais vu ce genre de machine chez les professionnels. Aucune équipe n’avait sauté le pas jusqu’à ce jour. Ce qui présageait peut-être trop de saut de chaîne, allez savoir. L’équipe Aqua Bleue Sport a décidé de prendre le risque, s’il y en a vraiment, de s’équiper d’un vélo qui offre, paraît-il de réels avantages. Sa géométrie très aérodynamique futurise encore plus les cadres qui se profilaient et se carénaient d’une façon prégnante depuis déjà quelques années. Mais c’est surtout sa transmission qui étonne. Une galette à l’arrière de 9 à 32 dents ! Les ingénieurs de chez 3T se sont certainement penchés sur l’une d’entre elles pendant un séjour en Bretagne. Attablés, ils ont vu dans leur assiette le minimalisme du blé noir qui fut tout de suite un appel pour se faire du blé pour ne pas dire des c….en or. Ah ! le marketing, ça tient toujours la route !

Les neveux de Michael Jackson portent aussi le nom 3T

Dans les années 90, il a fait chavirer le cœur des midinettes. Le groupe 3T est une marque  de cycles et de composants italiens qui partage son nom avec un groupe de musique américain composé de trois frères, qui, par filiation, sont les neveux du célèbre King de la pop Michael Jackson. En Europe ils ont cartonné pendant toute cette période faste, mais se font fait beaucoup plus rares par la suite. Se seraient-ils doutés qu’un jour on reparlerait autant d’eux à travers le cycliste sans qu’ils aient à graver leurs chansons sur une galette de polycarbonate.

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

#musiqueetvelosurlamemegalette

Vidéo – Aqua Blue Sport chantera-t-elle un tube des 3T en cas de victoire ?

@UCI_cycling

Critérium de Saitama : Mark Cavendish succède à Peter Sagan

Samedi, à l’occasion du Critérium de Saitama, c’est le Britannique Mark Cavendish qui l’a emporté. Le coureur de l’équipe Dimension Data (jusqu’à fin 2018) a succédé au palmarès de l’épreuve à Peter Sagan, (Bora-Hansgrohe) le triple champion du monde sur route.

Mark Cavendish remporte le Critérium de Saitama

Ce matin, et après que l’Allemand Marcel Kittel (QuickStep-Floors), futur pensionnaire de l’équipe Katusha-Alpecin ait remporté l’épreuve du Challenge Sprint, c’est le sprinter Britannique, Mark Cavendish (32 ans), qui s’est illustré sur le Critérium de Saitama, et ce devant deux coureurs Japonais. Fumiyuki Beppu (Trek-Segafredo) et le champion du Japon sur route Yusuke Hatanaka (Team Ukyo) n’ont plus faire mieux que second et troisième. Chris Froome, vainqueur cet été de son quatrième Tour de France, a terminé dans le peloton, tout comme Greg van Avermaet.

https://twitter.com/LeTour/status/926712779330822145

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

https://twitter.com/LeTour/status/926733854265585664

Visitez le site officiel du Critérium organisé par Amaury Sport Organisation

 

Bagarre sur le Tour of Hainan 2017

Le cyclisme n’est pas réputé pour être un sport agressif, cependant, il y a toujours ici ou là quelques dérapages malheureux, à l’image du coureur Chinois Xin Wang (Keyi Look Cycling Team), très énervé d’avoir été jeté au sol par une voiture de Directeur Sportif concurrente Suisse, et alors qu’il était en course. Le chinois a rejoint la catégorie des coureurs incapables de se contrôler. Le coureur fautif a logiquement été exclu du Tour of Hainan au terme de la 7e étape.

Le cycliste Xin Wang exclu du Tour of Hainan 2017

De ce que l’on peut comprendre depuis la vidéo postée par China Cycling sur leur chaîne Youtube,  il semblerait que Xin Wang ait été renversé par la voiture du directeur sportif de l’équipe Suisse, en amont et alors qu’il était en course. Le coureur Chinois s’en est alors pris aussi bien au mécanicien qu’au directeur sportif, et ce à grands coups de poing. Le coureur âgé de 25 ans, qui n’a jamais remporté la moindre course dans les rangs professionnels, a été exclu de la course et s’est forgé en l’espace d’une minute une réputation qui ne manquera pas de lui coller à la peau fort longtemps. Côté résultat, la 7e étape du Tour of Hainan, disputée vendredi, a été remportée par l’Italien Jacopo Mosca (Wilier Triestina – Selle Italia) toujours leader de la course à la veille de l’arrivée finale jugée à Wanning Xinglong. L’étape du jour a quant à elle été remportée par un autre Italien, Marco Zanotti (Monkey Town Continental Team).

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

Retrouvez le classement de l’étape du Tour of Hainan depuis le site de l’UCI

Cannondale présente sa tenue EF Education First-Drapac 2018

Vendredi, depuis Londres, la formation WorldTour Cannondale a présenté sa tenue EF Education First-Drapac 2018, nouvelle appellation officielle à compter du 1er janvier prochain. Feu le vert pour partie et bonjour le rose… mais aussi le orange. Présentation de la tenue que nous croiserons en course, mais aussi à l’entraînement.

Présentation de la tenue EF Education First-Drapac 2018

Si le vert de la Cannondale aura disparu tout ou partie, la couleur subsistera notamment au niveau des manches et du col du maillot, mais aussi au niveau du bas du cuissard, selon si le maillot sera rose ou orange du fait notamment que les coureurs disposeront d’une tenue supplémentaire et différente à l’occasion des entraînements et ce de façon à mieux être vus par les automobilistes lorsqu’ils évolueront sur les routes ouvertes au public. Le bas du maillot jusqu’à hauteur de poitrine fera place à une grande bande blanche laissant figurer les deux principaux sponsors : EF Education First et Drapac. Concernant le cuissard il restera noir avec un liseré vert, pour rappel. Et quant aux accessoires, à commencer par le casque et les chaussettes POC, ils s’associeront à la couleur du maillot porté.

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

Composition de la formation EF-Drapac 2018

La saison prochaine, l’équipe Cannondale actuelle compte quelque six arrivés à savoir : Matti Breschel (Astana), Mitchell Docker (Orica-Scott), Kim Magnusson (Team Tre Berg – Postnord), Daniel McLay (Fortuneo-Oscaro), Sacha Modolo (UAE Team Emirates) et Logan Owen (Axeon Hagens Berman). Parmi les coureurs restés dans l’aventure au côté de Jonathan Vaughters figurent notamment Rigoberto Uran engagé jusqu’en 2020, William et Simon Clarke, Taylor Phinney, le Français Pierre Rolland ou encore les Belges Sep Vanmarcke et Tom Van Asbroeck.

Visitez le site officiel de l’équipe Slipstream

Deux équipes espagnoles intègrent la deuxième division

Candidates toutes les deux pour entrer en Continental Pro, Burgos BH et Euskadi Basque Country-Murias Taldea ont reçu une excellente nouvelle similaire. Ces deux équipes espagnoles évolueront bien en seconde division professionnelle l’année prochaine.

Trois équipes espagnoles en 2018

Deux nouvelles équipes en seconde division ! Aujourd’hui, l’UCI a accepté les candidatures de Burgos BH et Euskadi Basque Country-Murias Taldea pour leurs intégrations au niveau Continental Pro. Ils rejoignent donc la Caja Rural-Seguros RGA qui était la seule formation ibérique en 2017 à évoluer à cet échelon du cyclisme mondial. C’est bien sûr une excellente nouvelle pour ce pays qui va pouvoir confronter ses coureurs à une concurrence beaucoup plus rude. Et cela ouvre des perspectives très intéressantes pour les années à venir. En accédant aux portes du World Tour, ces deux entrants vont pouvoir prétendre à des invitations sur des grandes courses du calendrier international. A l’image de la France et l’Italie, l’Espagne donne souvent l’opportunité à ses équipes de se mesurer aux meilleures équipes mondiales. Les voir sur le Tour du Pays Basque, le Tour de Catalogne ou la Classique San Sebastian ne serait pas une surprise.

Une division gagnée

Burgos BH sur la Vuelta 2018 ? Peu réaliste il y a encore quelques semaines, leur accession à l’échelon supérieur leur ouvrent de belles perspectives, dont celle de participer à leur Grand Tour national. Pourtant lors du premier recensement, en octobre dernier, cette équipe n’avait pas été présente dans la liste en Continental Pro. Mais le retournement de situation est intervenue à leur plus grande joie, avec en tête le manager Julio Andrés Izquierdo. « Nous sommes très fiers d’avoir pris cette initiative, et maintenant nous voulons profiter de cette promotion à la division supérieur et travailler comme il se doit » a-t-il dit au journal AS. Après dix années passées en troisième division, c’est un cap qui est franchi en cette fin d’année 2017. Elle va attaquer la prochaine saison avec seize éléments dont José Mendes, Silvio Herklotz et Matvey Mamykin comme principaux coureurs.

Une ascension fulgurante

Plus jeune que son homologue espagnol, Euskadi Basque Country-Murias Taldea a été fondée seulement en 2015. Il n’aura fallu que trois années pour se hisser au second niveau du cyclisme mondial. Une évolution rapide pour une petite structure. Elle fait parti des plus petites engagées pour la saison cycliste 2018. Mais cela ne lui a pas empêché de recruter quelques coureurs en vu des prochains mois de compétition. Julien Loubet (Armée de Terre), Mikel Aristi, Enrique Sanz sont notamment arrivés dans cet effectif, qui passe nécessairement un cap supplémentaire dans on évolution. L’équipe à identité basque se dit satisfaite de cette décision et espère apporter de grandes joies aux supporters du cyclisme basque. Après les paroles, il faudra les confirmer par les actes.

https://twitter.com/MuriasTeam/status/926452144672329735

Site de l’UCI

Kevin Ledanois reste deux ans de plus chez Fortuneo Oscaro

Champion du monde espoirs en 2015, Kevin Ledanois est depuis le début de sa carrière professionnelle chez Fortuneo Oscaro, ex Bretagne – Séché Environnement. Le Français va continuer dans la même équipe pendant au moins deux années supplémentaires.

Fortuneo Oscaro conserve Kevin Ledanois

Un coureur de plus dans l’effectif de la Fortuneo Oscaro pour la prochaine saison. Il ne s’agit pas d’une recrue, mais d’un renouvellement de contrat. Kevin Ledanois, 24 ans, a finalement été conservé par la formation bretonne de seconde division pour les deux prochaines années, soit jusqu’à la fin 2019. Avec cette décision, l’équipe souhaite réitérer sa confiance envers ce jeune talent champion du monde dans la catégorie des espoirs. Même s’il est vrai que depuis ce sacre à Richmond (Etats-Unis), les résultats n’ont pas trop suivi. Pour le moment en panne de gros résultats, le Français a l’occasion de se rattraper sous ses mêmes couleurs dès 2018.

https://twitter.com/FortuneoOscaro/status/926130717817540608

Se lancer définitivement

En deux ans après son triomphe mondial, sa meilleure performance reste une troisième place acquise sur la Classic Loire Atlantique en 2016. Sinon en 2017, il reste sur une neuvième place au classement général du Tour de l’Ain. Un bilan qui peut paraître famélique par rapport aux espérances que suscitent ce coureur. A cet instant, la confirmation au niveau professionnel tarde à se faire voir. Mais le compteur peut se débloquer à tout moment, et il serait dommage que Fortuneo Oscaro passe à côté. La saison cycliste 2018 va vraiment s’avérer charnière dans la carrière de Kevin Ledanois.

Fiche du coureur

André Greipel débutera sa saison au Tour Down Under

Absent depuis l’édition 2014, André Greipel va faire son retour sur les routes australiennes du Tour Down Under (16-21 janvier). L’Allemand revient donc quatre années après sa dernière apparition, et ce sera sa première course de la saison cycliste 2018.

André Greipel au départ du Tour Down Under

Le Tour Down Under va pouvoir compter sur une autre présence de marque. Il s’agit d’André Greipel qui sera au départ de cette édition 2018 de la première course World Tour de l’année. Comme tous les ans, c’est l’Australie qui lance les hostilités de la saison de cyclisme. Comme à son habitude, cette épreuve arrive à attirer de grands noms. Terrain de jeu idéal, elle permet à l’ensemble des coureurs de peaufiner les derniers réglages et de monter en régime pour les premiers grands objectifs qui interviennent en mars. Le sprinteur allemand ne déroge pas à cette règle, même si ça faisait quatre ans qu’il n’avait plus démarré sa saison de cette manière fois. Pour trouver trace de la dernière participation d’André Greipel au Tour Down Under, il faut revenir en 2014.

https://twitter.com/tourdownunder/status/926379226697043968

L’Australie lui réussit

Depuis cette date, l’Allemand a encore bien grandi. Le coureur de la Lotto-Soudal a enchaîné les succès de prestige pour un palmarès impressionnant. Ce n’est pas moins de onze victoires à son actif sur le Tour de France, et sept sur le Giro et la Vuelta. En ce qui concerne l’Australie, cette course par étapes de six jours lui tient aussi à cœur. Vainqueur à deux reprises du classement général en 2008 et 2010, il est surtout le recordman de victoires d’étapes à l’heure actuelle. André Greipel s’est imposé à seize reprises entre 2008 et 2014. Seule la victoire en 2011 lui avait échappé de peu, en terminant deux fois deuxième. C’est dire à quel point le gorille de Rostock se sent à l’aise à cette période de l’année à l’autre bout du monde. Pour lui, c’est une manière idéale de lancer la saison 2018 avec la même réussite que par le passé.

Site officiel de la course

Bilan équipes : Fortuneo Oscaro continue son apprentissage

Invitée une nouvelle fois cette année au Tour de France, Fortuneo Oscaro poursuit sa progression dans le gotha du cyclisme mondial. Membre de la seconde division, en Continental Pro, cette équipe française parvient à ses fins grâce à des coureurs qui réalisent une bonne saison.

Une année charnière pour Fortuneo Oscaro

Un scénario rêvé ! Voici comment s’est déroulée la saison cycliste 2017 de Fortuneo Oscaro. Pourtant moins réputée que ses homologues de la FDJ, d’AG2R La Mondiale, de Cofidis ou de la Direct Energie, la formation bretonne s’est illustrée sur le plan national. Tous les ans a lieu la prestigieuse Coupe de France PMU qui englobent des épreuves d’un jour. Cela commence par le Grand Prix Cycliste La Marseillaise à la fin janvier jusqu’au Tour de Vendée au mois d’octobre, avec quinze manches au total à disputer. Pour l’édition 2017, le vainqueur final a été Laurent Pichon, membre de Fortuneo Oscaro. A l’image du Français, toute l’équipe a réalisé de jolies performances cette année.

Mais encore plus que le sacre individuel, ce qui satisfait Fortuneo Oscaro c’est de l’avoir emporté au niveau collectif. Preuve qu’elle est désormais capable de rivaliser avec les meilleures équipes françaises. C’est ce qui explique également ses récents résultats sur le Tour de France. N’ayant pas forcément les mêmes moyens que celles du World Tour, la formation bretonne assume parfaitement son rôle. Avec aucun grand leader pour le sprint ou la montagne, elle doit s’y prendre différemment. Cela passe par prendre des échappées au long cours. Et même si la victoire n’est pas encore arrivée, Elie Gesbert, Brice Feillu ou Pierre-Luc Perichon n’ont pas démérité. Ce n’est finalement qu’une question de temps.

Des progrès notables

Sur l’ensemble de la saison cycliste 2017, Fortuneo Oscaro a cumulé douze victoires. Cette statistique la place sur le même plan quasiment que Cofidis, encore inimaginable il y a quelques années. C’est devenu une des références dans la seconde division du cyclisme avec des présences remarquées sur quelques épreuves du World Tour, surtout en France (Paris-Nice, Dauphiné). Mais l’équipe s’est aussi bien comportée hors de ses frontières, notamment en Italie avec un succès d’étape sur la semaine internationale Coppi Bartali grâce à Laurent Pichon. Et dernièrement en Belgique sur le Tour de l’Eurométropole, classé en 1.HC, gagné par Daniel McLay.

Le Britannique est d’ailleurs la grosse perte pour 2018. Ce sprinteur en pleine progression permettant à la Fortuneo Oscaro de se montrer dans les arrivées massives ne sera plus dans cet effectif. Mais l’équipe dirigée par Emmanuel Hubert continue bel et bien de grandir avec le transfert acté de Warren Barguil. En réussissant à s’attacher les services de l’une des pépites françaises en montagne, les prochains mois et années s’annoncent radieux. C’est peut-être que le début d’une belle aventure. Qui sait avec ce coureur, l’équipe bretonne sera un jour au haut de la hiérarchie dans la plus grande course au monde. C’est le but recherché depuis tant d’années.

Fiche de l’équipe

Daniel Moreno à la recherche d’une équipe pour la saison 2018

Avec un contrat non renouvelé par la Movistar, Daniel Moreno se retrouve sans équipe actuellement pour la saison prochaine. A 36 ans, l’espagnol va devoir trouver au plus vite une nouvelle formation pour ne pas être sur le carreau au mois de janvier.

Daniel Moreno libre de tout contrat

Un coureur sur le marché ! Et non des moindres, il s’agit de Dani Moreno. L’espagnol qui a désormais 36 ans se retrouve jusqu’à l’heure actuelle sans contrat et donc sans équipe pour la saison cycliste 2018. Coureur de la Movistar depuis janvier 2016, il n’a pas assez convaincu ses employeurs pour qu’ils puissent prétendre à un contrat pour au moins une année. Sa dernière course sous ce maillot aura été donc la Vuelta 2017 conclue finalement à la dix-huitième place du général. C’est avec l’officialisation de l’effectif de la Movistar pour l’année à venir sans sa présence que la décision a été rendue publique. Un véritable coup dur pour celui qui évolue au plus haut niveau depuis près d’une décennie. Et qui a fait surtout les beaux jours de la Katusha en remportant la Flèche Wallonne 2013.

Mais maintenant Daniel Moreno va devoir convaincre une autre équipe de l’enrôler. Plus au niveau de sa période faste, il peut s’avérer tout de même précieux dans n’importe quel effectif, et apporter toute son expérience. C’est un coureur qui a été capable de gagner de grandes courses. Il compte trois étapes de la Vuelta à son actif, ce qui n’est pas rien. Reconnu avant tout pour ses qualités de puncheur, cette dernière saison n’a pas été du tout celle de la grande baisse de niveau. Quatrième du championnat d’Espagne, la compétitivité est toujours là malgré l’âge avancé par rapport à la majorité des coureurs qui composent le peloton. Selon les dernières informations, EF Education First-Drapac, aussi membre du World Tour serait intéressé pour s’attacher les services de Daniel Moreno, mais rien encore n’a été officialisé.

Fiche du coureur

Dayer Quintana prolonge un an avec la Team Movistar

Débutant sa carrière dans l’équipe Movistar depuis la saison cycliste 2014, Dayer Quintana va poursuivre une année supplémentaire. Son nouveau contrat le lie à la formation espagnole jusqu’à la fin 2018 au minimum.

Dayer Quintana reste avec Movistar

Il y aura toujours une fratrie Quintana ensemble en 2018 ! Membre de l’effectif de la Movistar, tout le monde connaît Nairo Quintana, mais un peu moins son frère Dayer. C’est plutôt logique car le moins reconnu des deux colombiens ne présente pas le même palmarès dans les Grands Tours et dans le reste des courses du calendrier international. En quatre années passées dans cette équipe du World Tour, Dayer Quintana n’a que deux succès à son actif et en plus pas sur des rendez-vous majeurs. Une étape du Tour d’Autriche en 2014 et le général du Tour de San Luis en 2016 sont ses principales lignes inscrites à son palmarès. Mais la Movistar continue à lui accorder sa confiance au moins pour un an.

Dédié à ses leaders

Ces résultats s’expliquent en grande partie, car Dayer Quintana doit assumer un rôle d’équipier comme un bon nombre de coureurs de l’effectif. Ce qui lui laisse peu d’opportunités pour réaliser des performances de premier plan. D’ailleurs, à l’image de cette saison, le Colombien ne participe pas systématiquement aux épreuves World Tour, loin de là. Il n’est jamais aligné dans une liste de départ d’un Grand Tour quel qu’il soit. Sa priorité est notamment de se mettre entièrement au service de son frère vainqueur déjà du Tour d’Italie et du Tour d’Espagne. A 25 ans, il déçoit pour le moment par rapport à son potentiel et ses qualités de grimpeur. C’est pourquoi l’année 2018 va s’avérer décisive pour la suite de sa carrière.

Fiche du coureur

Movistar Team au complet pour la saison cycliste 2018

Après une saison cycliste 2017 en demi-teinte avec une très bonne première moitié d’année, la Movistar Team espère faire mieux en 2018. Ils seront vingt-cinq hommes et dix femmes à défendre ces couleurs.

Movistar Team prête pour 2018

L’effectif est officiellement bouclé du côté de la Movistar. Pour l’année à venir, quelques changements sont à noter, mais une grande partie des coureurs sont similaires à ceux connus cette saison. La principale attraction est bien entendu Mikel Landa, la plus grosse recrue, et même l’un des principaux toutes équipes confondues. Venu pour assumer un rôle de leader qu’il ne pouvait pas avoir au sein de la Sky, il a pris finalement la décision de partir. L’Espagnol vient donc s’ajouter au duo inoxydable Alejandro Valverde et Nairo Quintana, ce qui fait trois coureurs avec de très fortes ambitions personnelles. Reste à savoir si cela s’avéra efficace ou non.

Avec ces trois grandes stars du peloton international, les autres coureurs devraient être la plupart du temps à leurs services. Mais cela n’empêche pas de jouer sa carte personnelle de temps en temps. Plusieurs d’entre eux ont les moyens de s’illustrer en montagne comme les leaders. Avec Andrey Amador, Marc Soler, Carlos Betancur ou encore Rafael Valls, il y a l’opportunité de s’illustrer et d’engranger des succès. Car depuis quelques mois, l’équipe espagnole a perdu cette habitude. Le tournant a été le Tour de France terminé loin des objectifs prévus au départ, et depuis la machine s’est enrayé. La trêve hivernale va peut-être faire du bien.

https://twitter.com/Movistar_Team/status/926010048924606464

Une grande nouveauté

Movistar ne sera pas en 2018 uniquement visible dans le peloton masculin. C’est en effet la grande nouveauté de cette nouvelle saison, avec la naissance d’une équipe composée de femmes. A l’instar de la Sunweb ou de la FDJ déjà présentes, la formation espagnole se lance aussi dans le cyclisme féminin. Une excellente nouvelle pour l’expansion et la notoriété de ce sport. Elles seront dix à se lancer dans cette aventure, dont une française Aude Biannic accompagnée en majorité par des espagnoles. Et autre nouveauté à signaler, plus anecdotique celle-ci, il s’agit du maillot. Fini les couleurs historiques bleu foncé et vert pour laisser place à du blanc avec une dominante bleu clair.

Site officiel de l’équipe

Bilan équipes : Cofidis Solutions Crédits en perte de vitesse

Obtenant treize succès sur l’ensemble de la saison, l’équipe Cofidis Solutions Crédits a réalisé une saison 2017 moyenne. Avec beaucoup de déceptions, la formation nordiste espère rebondir dès la saison prochaine, pour retrouver son statut d’antan.

Cofidis Solutions Crédits, une année à oublier

Peut mieux faire. Tel est le bilan global à la fin de la saison cycliste 2017 pour Cofidis Solutions Crédits. Possédant une effectif riche pour une équipe du niveau Continental Pro (2e division) avec plusieurs fortes individualités, la déception est énorme au terme des dix mois de compétition. Avec treize succès, l’équipe française n’avait plus connu un tel manque de résultats depuis un moment. Il faut remonter à la période 2012-2014 pour observer un bilan encore plus famélique. Durant ces trois années, elle gagnait respectivement six, neuf et dix fois. C’est un retour en arrière que vient de vivre Cofidis.

Pourtant, son leader Nacer Bouhanni a quand même engrangé sept succès, ce qui est loi d’être un total anodin. Le sprinteur français a notamment gagné sur une épreuve du World Tour, la quatrième étape du Tour de Catalogne. Mais c’est la seule à relever pour ce niveau. Sinon c’est sur le circuit de l’UCI Europe Tour avec Paris-Camembert, la seconde étape du Tour de Yorkshire ou encore la deuxième du Tour de l’Ain que le Lorrain s’est illustré. A l’image de son équipe, il lui manque une très grande performance qui aurait pu tout changer. Celui qui réunissait les plus grands espoirs sur le Tour de France a fait des tops 5 sans pour autant décrocher la consécration suprême. Cela restera comme une amertume sur cette année.

Repartir de l’avant

Mais il n’y pas que Nacer Bouhanni chez Cofidis. Julien Simon, Anthony Perez, Christophe Laporte et Clément Venturini ont aussi au moins remporté une course. D’ailleurs, concernant le dernier cité, cela restera sans doute le meilleur moment de la saison. Vainqueur du classement général des 4 Jours de Dunkerque (2.HC), cette épreuve conserve un côté prestigieux et est réputé comme l’une des plus belles courses en France. Se montrer à son avantage est important pour toutes équipes françaises qui tiennent une relation particulière avec cette course. Mais encore plus pour Cofidis issu du Nord du pays. C’est la grande satisfaction à retenir de 2017.

Mais il est temps maintenant de passer la vitesse supérieure en essayant de jouer la gagne sur davantage dé’épreuves inscrites au calendrier. Devancé même au classement par équipes par la Wanty-Groupe Gobert à l’UCI Europe Tour, il fallait réagir au plus vite. C’est ce qui explique en autre le remplacement du manager général de l’équipe Yvon Sanquer par Cédric Vasseur. L’ex-coureur cycliste est conscient des difficultés actuelles, et souhaite renouer avec le succès qu’a connu cette équipe. Mais à présent les paroles doivent suivre les actes. La saison cycliste 2018 s’annonce charnière pour retrouver une meilleure place dans la hiérarchie mondiale. L’un des premiers enjeux, commencer fort pour obtenir une invitation sur le Tour de France.

Fiche de l’équipe

Mathieu van der Poel remporte le Koppenbergcross

Empruntant notamment une partie de la route pavée du Koppenberg, le Koppenbergcross est revenu cette année à Mathieu van der Poel. Le Néerlandais s’impose pour la première fois dans cette prestigieuse épreuve et poursuit ainsi sa domination.

Mathieu van der Poel encore premier

Personne n’arrive à l’arrêter ! Mathieu van der Poel s’est une nouvelle fois imposé cette saison en cyclo-cross. Il ne s’agissait pas d’une manche de SuperPrestige ou de coupe du monde, mais le Néerlandais n’était pas rassasié. Dans le cadre du DVV Trofee, le coureur de Beobank – Corendon a encore écœuré la concurrence, même si la course a tenu toutes ses promesses. C’était loin d’être gagné d’avance avec Toon Aerts et Lars van der Haar qui complètent le podium et ont tout tenté pour le devancer. Mais comme à son habitude depuis le début de la saison, Mathieu van der Poel surfe sur une spirale de victoires. Il affiche un bilan impressionnant, qui fait de lui le grand favori pour les championnats d’Europe à venir ce week-end.

Un ancien vainqueur battu

C’était l’ultime répétition générale avant d’aborder ce très grand événement de la saison avec les mondiaux, dont sera absent Wout van Aert. Le champion du monde a encore été devance, terminant cette fois-ci à la quatrième place et obligé de concéder sa couronne. Le Belge était pourtant le triple vainqueur sortant de l’épreuve du Koppenbergcross. Preuve que tout ne tourne pas rond cette saison, en manque de résultats probants. Ce n’est pas un hasard s’il fait une croix sur la course de ce week-end et préfère observer une coupure pour espérer concurrencer Mathieu van der Poel sur la suite des épreuves. En espérant retrouver son meilleur niveau de forme, et surtout le battre aux championnats du monde en janvier.

Site officiel de la course

Classement du Koppenbergcross :
1. Mathieu van der Poel (Beobank – Corendon)
2. Toon Aerts (Telenet – Fidea)
3. Lars van der Haar (Telenet – Fidea)
4. Wout Van Aert (Crelan – Charles-
5. Kevin Pauwels (Marlux – Napoleon Games)
6. Jens Adams (Pauwels Sauzen – Vastgoedservice)
7. Corné van Kessel (Telenet – Fidea)
8. Michael Vanthourenhout (Marlux – Napoleon Games)
9. Klaas Vantornout (Marlux – Napoleon Games)
10. Laurens Sweeck (ERA – Circus)

UAE Team Emirates officialise un effectif de 25 coureurs pour 2018

Évoluant dans le World Tour, UAE Team Emirates a frappé très fort pendant ce mercato pour la saison cycliste 2018. Avec trois leaders d’envergure internationale, cette équipe compte peser et briller sur la plupart des courses inscrites du calendrier.

UAE Team Emirates au complet pour 2018

Ils seront 25 coureurs au total à défendre les couleurs d’UAE Team Emirates pour la saison cycliste 2018. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette équipe des Emirats a fait le nécessaire pour se renforcer dans tous les domaines. En raison du départ de Louis Meintjes, coureur solide au classement général des Grands Tours, il fallait absolument pallier à son absence. Chose faite assez rapidement de la part des principaux décideurs qui ont réussi à attirer Fabio Aru et Dan Martin. Rien que ça. L’Italien qui arrive de la formation Astana sera le leader pour les courses de trois semaines. Reste à savoir sur quel Grand Tour il sera aligné en 2018. Son programme est encore inconnue. Tout comme son nouveau coéquipier irlandais qui devrait en plus briller sur les classiques ardennaises.

C’est dire à quel point on devrait voir souvent à l’avant UAE Team Emirates. Mais pas uniquement dans la montagne avec ces deux redoutables coureurs. Les classiques du nord et les sprints devraient désormais davantage sourire à cette formation. Avec le recrutement d’Alexander Kristoff, ils ont voulu se donner les moyens de performer dans ce style de course. L’arrivée du Norvégien leur permet d’espérer à engranger plusieurs succès dans une saison, comme il en avait pris l’habitude avec la Katusha. Et pourquoi même sur le Tour de France ou le Tour des Flandres où il s’est déjà illustré en s’imposant. Autour de ses trois têtes d’affiche, Rui Costa, Jan Polanc, Diego Ulissi ne doivent pas être à oublier. Cela promet des beaux jours à venir et une équipe à en faire pâlir certains.

Fiche de l’équipe

André Greipel reprend l’entraînement pour la saison 2018

Alors qu’un grand nombre de coureurs sont encore en compétition ou bien en vacances, ce n’est pas le cas d’André Greipel. L’Allemand vient de reprendre l’entraînement physique pour préparer au mieux la saison cycliste 2018.

André Greipel pense à la saison prochaine

C’est l’heure de la reprise ! En tout cas pour André Greipel, qui entame l’entraînement à un peu plus de deux mois de la grande reprise des compétitions, en Australie sur le Tour Down Under. L’un des meilleurs sprinteurs au monde n’a pas tardé à se remettre rapidement au travail. Sa dernière course de la saison cycliste 2017 date du 8 octobre dernier sur le Paris-Tours, soit un peu plus de trois semaines. Et c’est déjà reparti avec la même détermination, envie d’engranger des victoires comme il en a pris l’habitude depuis tant d’années. Avant de rejoindre l’ensemble du groupe de la Lotto Soudal, l’Allemand commence des séances individuellement, mais pas uniquement en vélo. Sur la vidéo postée par le gorille de Rostock, on peut l’apercevoir entrain de courir.

Faire mieux que la dernière saison

André Greipel n’a qu’une obsession, et c’est valable pour l’ensemble des leaders. Faire de meilleurs résultats par rapport à la saison qui vient de s’écouler. Habitué à remporter au moins une étape sur le Tour de France, le sprinteur allemand n’a pas eu la même réussite cette saison. Mais c’est pas faute d’avoir fait tout son possible. C’est sur les Champs Elysées qu’il n’est pas passé très loin, en étant devancé que par Dylan Groenewegen. Cependant, le coureur de la Lotto Soudal a tout de même obtenu un succès sur le Paris-Nice et un autre sur le Giro, ce qui ravirait une majorité d’adversaires. En tout cette année, André Greipel s’est imposé à cinq reprises, soit moins que les saisons précédentes, où il passait constamment la barre des dix succès. Mais celui qui a 35 ans est déjà prêt à en découdre pour continuer à gagner sur les grands événements.

Fiche du coureur

Rafał Majka s’entraîne très dur pour devenir le nouveau Superman !

Il n’a pas vraiment le physique de l’emploi pour devenir l’un des cosmics les plus célèbres de la planète. Rafal Majka veut endosser le rôle de Superman. Le coureur polonais de l’équipe BORA – hansgrohe a du pain sur la planche pour pouvoir décoller un jour du sol, avec son vélo !

Rafal Majka ou l’art d’avoir caché tant de super-pouvoirs

On n’était pas encore au courant des intentions de Rafal Majka. Pouvoirs physiques, extra- sensoriels, gravitationnels et mentaux au service de la planète. Ses capacités de grimpeur passeront pour le coup à de la banale facilité. Il a bien caché son jeu depuis qu’il est apparu dans les rangs professionnels en 2009. Le meilleur grimpeur du Tour de France 2014 et 2016 a de nombreux faits d’armes sur l’asphalte qui lui ont donné des idées de grandeur héroïque à l’échelle mondiale. Être le nouveau Superman. Après tout, il est en droit d’y croire. Rien ne l’empêche de délirer. Si ça se trouve, Marion Rousse, elle, se voit en Wonder Woman !

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

Un camp d’entraînement qui ne se passe pas à Metropolis

Les montagnes tyroliennes où se situe le camp d’entraînement de l’équipe BORA – hansgrohe n’ont rien d’un décor hollywoodien. Beaucoup moins glamour que la ville imaginaire du super-héros Rafal Majka, bien que les vues soient splendides et dégagent de l’air pur hyper vivifiant. Pour notre Superman à vélo, c’est donc l’heure de la rentrée. Elle ne donne pas l’aspect d’être très studieuse, mais au court des semaines à venir elle prendra de l’importance émotionnellement quand les échéances se rapprocheront à grands pas. La saison cycliste 2018 sur route est encore loin, bien que les esprits soient déjà tournés vers d’héroïques victoires. Frappé d’un S sur son torse, Rafal Majka s’envolera sur les routes du World Tour pour affronter ses adversaires qui n’auront pas, je l’espère pour lui, de la Kryptonite dans la poche de leur maillot pour lui faire perdre tous ses super-pouvoirs en course.

#supermajka

https://twitter.com/BORAhansgrohe/status/923975926567915520

https://twitter.com/BORAhansgrohe/status/924925075089969157

Vidéo – Sur la route c’était déjà très bien, on attend dans le ciel…

@BORAhansgrohe

Jimmy Engoulvent directeur sportif chez Vital Concept

Ex-coureur cycliste professionnel, Jimmy Engoulvent était actuellement l’un des directeurs sportifs de la Direct Energie. Mais son aventure s’achève avec la formation vendéenne. Dans le même rôle, il va rejoindre la nouvelle équipe fondée par Jérôme Pineau, la Vital Concept.

Vital Concept intègre Jimmy Engoulvent

Les transferts ne concernent pas uniquement les coureurs, mais aussi le reste du staff. C’est le cas notamment des directeurs sportifs, et plus précisément de Jimmy Engoulvent. Celui qui a passé plusieurs saisons dans cette mission au sein de la Direct Energie va changer d’équipe pour la saison cycliste 2018. Il rejoint la toute nouvelle formation Vital Concept, qui va disputer sa toute première saison dans le peloton international. Ainsi, avec l’apport de ce directeur sportif déjà en exercice, Vital Concept continue de se renforcer sur tous les plans. Comme Bryan Coquard, Jimmy Engoulvent fait donc le même chemin pour la suite de sa carrière.

Vital Concept recrute

Direct Energie perd là un nouvel élément important après son sprinteur faisant parti des meilleurs au monde. Présent sur toutes les courses majeures auxquelles a pris part la formation vendéenne, Jimmy Engoulvent va pouvoir apporter toute son expérience à cette nouvelle équipe. Beaucoup de coureurs vont y découvrir le monde professionnel. Mais ce sera aussi l’occasion de reformer un binôme qui a bien fonctionné ces dernières saisons. Vital Concept n’a pas encore débuté son premier jour de course, mais elle est déjà bâtie sur du vécu dans le monde du cyclisme avec en tête Jérôme Pineau. Ce dernier continue à installer les fondations pour être fin prêt le jour J.

Fiche du directeur sportif

Bilan équipes : Direct Energie, une saison riche en émotions

Faisant parti des meilleures équipes continentales pro (2e division), Direct Energie est passé par tous les états en 2017. Entre immenses joies et fin d’une aventure, la formation française n’est pas près d’oublier cette année.

Direct Energie prend goût à la victoire

De début février au mois de juillet, Direct Energie n’a pas cessé de gagner. C’est pas moins de vingt-trois succès que la formation française a engrangé. Tony Hurel, Yohann Gene, Thomas Boudat, Jeremy Cornu, Jonathan Hivert, ou encore Adrien Petit ont réussi à débloquer leurs compteurs personnels. Mais c’est surtout la victoire décrochée par Lilian Calmejane qui aura marqué les esprits. Pour sa première participation sur la plus grande course du monde, le Tour de France, le coureur français s’est particulièrement illustré. Lors de la huitième étape entre Dole et la Station des Rousses, le scénario a été dingue jusqu’au bout. Pris par des crampes dans le final, le puncheur de 24 ans a résisté et signer la plus grande victoire de sa carrière, quelques mois seulement après la Vuelta 2016.

Un avenir radieux lui est promis. D’ailleurs, Direct Energie compte en faire son leader pour la saison cycliste 2018. Lilian Calmejane a explosé au plus haut niveau en quelques mois. Il a cumulé sept victoires tout au long de l’année, avec comme point d’orgue sa démonstration sur le Grand Tour national. Cela faisait cinq ans et l’édition 2012 que les jaunes et noirs n’avaient plus lever les bras dans la Grande Boucle. A son avantage aussi comme son jeune coéquipier, Sylvain Chavanel a été une nouvelle fois à la hauteur. Malgré ses 38 ans, son niveau de compétitivité est toujours au plus haut. Attaquant notamment au Tour de France, ses efforts constants ont payé sur la prestigieuse épreuve des 4 Jours de Dunkerque en remportant une étape.

2017, la fin d’une histoire

A l’image du deuxième du Tour des Flandres 2011 et du vainqueur de d’étapes sur le Tour de France, Thomas Voeckler est l’autre emblème de la formation vendéenne. Mais pour lui, il n’y aura pas de saison supplémentaire. Sa carrière s’est terminée sur la course qui l’a révélé au plus haut niveau, le Tour de France. Porteur du maillot jaune pendant vingt jours sur deux éditions en 2004 et 2011, il est entré dans le cœur des Français. Arrivant sur la fin, les derniers mois ressemblaient à une jolie tournée d’adieu pour s’achever sur les Champs Elysées. Avec son départ, c’est une grande page de l’histoire de la Direct Energie qui s’est tournée. Mais la relève est prête à prendre le relais.

Même s’il quitte la formation en cette fin d’année, Bryan Coquard fait parti de ses successeurs pour briller sur l’ensemble des courses internationales. Le sprinteur a fait les beaux jours plusieurs saisons de l’équipe Continentale Pro en multipliant les succès. Son dernier restera celui obtenu sur le Tour de Belgique. Mais depuis quelques mois, les relations étaient devenues plus tendues entre lui et Jean-René Bernaudeau, le directeur sportif. Le moment était donc venu de s’en aller. Cependant, ce sont ses différentes places d’honneur sur le Tour de France que l’on retiendra principalement. Il aura été un personnage important de la montée en puissance de Direct Energie, qui va tout faire pour continuer à gravir les échelons en 2018.

Fiche due Direct Energie

Sur le programme TV il y a encore du cyclisme au mois de novembre !

« On a du cyclisme à la télévision chérie ! Encore mon amour ! Oui c’est marqué sur le programme TV. C’est le Tour de Hainan. Le Tour de quoi ? Une course sur une île tropicale au sud de la Chine. Et ben dis-donc, c’est de janvier à novembre qu’on a du vélo. Ils ne sont pas fatigués les coureurs de pédaler onze mois de l’année ? Ce n’est pas les mêmes, tu sais. Ils ont chacun leur programme de course. Ah ! C’est comme nous quand on va faire les nôtres au supermarché. Voilà c’est ça. Allez, j’allume la TV !

Sur le programme TV, du cyclisme non abrutissant toute l’année

J’entends de-ci de-là que la télévision c’est de la merde. Dans le sens où elle ne satisfait pas le plus grand nombre devant. Sujet complexe à traiter, car tous les goûts sont dans la nature et surtout devant le petit écran. Même si le plasma ne donne pas satisfaction avec les images qui s’animent dedans, il y a une émission pour chacun d’entre nous. Les Anges sous différentes déclinaisons pour certains, Thalassa pour d’autres. J’ai choisi deux programmes antagonistes et générationnels. Ils symbolisent à eux deux ce que la télévision a proposé à des époques différentes. L’émission créée par Georges Pernoud a quarante ans d’âge. Les Anges qui sont plus des démons atteints de déconnexion spirituelle que des créatures célestes aux messages divins, ont six ans de vie. Chaque année elle prendra un an de plus, mais ce sera toujours l’âge bête. Je ne suis pas du tout sûr qu’elle atteindra la longévité dinosaure de celle qui traite de la mer. Dans mon visionnage sélectif, j’ai choisi mon camp et remercie la télévision de m’avoir proposé des programmes TV qui m’ont diverti sans me pervertir l’esprit. Et il en reste. Le cycliste en fait partie et depuis qu’il y en a très régulièrement sur les chaînes publiques, je vais probablement devenir téléphage. Surtout quand on a d’yeux que pour ses héros, qui bien que pédalant dans un petit espace réduit ont la capacité de faire d’un écran de télévision une toile de maître hors cadre.

Ne rien manquer de l’actualité des transferts 2018

Touche pas à mon poste cartonne moins que le Tour de France

Les audiences de l’émission Touche pas à mon poste ! de Cyril Hanouna cartonnent sur la chaîne C8. Celles de la semaine dernière ont totalisé plus 5 809 000 de téléspectateurs. Le Tour de France 2017 en a réuni quotidiennement plus de 3,8 millions. Ne comparons pas ce qui n’est pas comparable issu du programme TV, mais quand il y a du vélo à la téloche, je ne pense pas qu’il détériore cérébralement, contrairement à s’avachir dans son canapé, zappette en main et rester scotcher devant des émissions qui auraient dû mettre la flèche depuis longtemps.        

#yaduveloalateloche

Vidéo – Eric Naulleau dans Touche pas à mon poste ! Cherchez l’erreur ? 

@LeTour