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Présentation de l’étape 19 du Giro 2019

Vendredi 31 mai aura lieu l’étape 19 du Giro 2019. A 48 heures de l’arrivée, le peloton de la 102e édition sera confrontée à une nouvelle arrivée au sommet qui se fera du côté de San Martino di Castrozza. Parti quelques heures plus tôt de Treviso, 151 kilomètres avec quelques obstacles seront à effectuer.

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Tout savoir de l’étape 19 du Giro 2019

Une course de côte ? Selon toute vraisemblance, c’est ce que devrait nous réserver cette antépénultième étape du Giro 2019. Avec une arrivée au sommet, mais peu de difficultés auparavant, c’est la principale tendance qui se dégage en tout cas. A part l’ultime ascension, qui sera d’ailleurs la plus difficile, il n’y en aura que deux autres. D’abord la montée vers Santa Maria della Vittoria dont le sommet est situé au km 22,2 et le Passo San Boldo au km 66,6.

Autrement, seulement quelques petites portions vallonnées à noter avant d’arriver dans le dur. Une douzaine de kilomètres environ s’annoncent délicats pour enfin atteindre San Martino di Castrozza. Une des dernières possibilités claires de faire la différence par rapport à ses adversaires au général. 

Les favoris à la victoire de l’étape 19 du Giro 2019

En cas de bataille entre les meilleurs grimpeurs dans cette arrivée au sommet, cela n’échappera pas à un des principaux protagonistes du classement général. Donc, Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Miguel Angel Lopez (Team Astana), Richard Carapaz (Team Mocistar), Mikel Landa (Team Movistar) seront en capacité de l’emporter si la forme suit. Sans oublier dans cette lutte royale, des coureurs comme Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma), Simon Yates (Mitchelton-Scott), Bauke Mollema (Trek-Segafredo). A moins qu’un baroudeur du niveau de Thomas De Gendt (Lotto Soudal) parvienne à résister jusqu’au bout, ce qui est possible en cas d’avance suffisante au pied de la dernière montée.

Présentation de l’étape 18 du Giro 2019

Jeudi 30 mai aura lieu l’étape 18 du Giro 2019. C’est la dernière dite de plaine dans cette 102e édition. Passée celle-ci, il en sera terminé des espoirs pour les sprinteurs, voire pour les rouleurs encore engagés dans ce premier Grand Tour de la saison. Le parcours fera tout de même 220 kilomètres entre Valdaora/Olang – Santa Maria di Sala.

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Tout savoir de l’étape 18 du Giro 2019

Une accalmie dans cette troisième semaine démentielle. Entre la montagne, les coureurs pour la plupart pourront souffler durant cette dix-huitième étape. Cette journée s’annonce calme en ce qui concerne la lutte pour le classement général. Le départ sera certes pas simple à négocier avec un très long faux-plat d’une trentaine de kilomètres, mais ce sera quasiment la partie la plus difficile.

Ensuite, une longue phase descendante mènera les coureurs vers la seule côte répertoriée, qui n’aura absolument rien d’insurmontable. Passée ce classement de la montagne, le reste du tracé va être essentiellement plat. De quoi permettre éventuellement au peloton de bien s’organiser pour tenter de revenir sur les échappées et offrir une dernière chance aux sprinteurs pour un ultime affrontement.

Les favoris à la victoire de l’étape 18 du Giro 2019

Compte tenu de ce qui est proposé sur cette journée, il faut s’attendre à deux scénarios en priorité. Soit les sprinteurs se battront une dernière fois, et alors Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe) et Arnaud Démare (Groupama-FDJ) seront les principaux concurrents à battre. Ou bien c’est une échappée qui arrivera à aller jusqu’au bout et dans ces circonstances, peut-être qu’un coureur tel que Thomas De Gendt (Lotto Soudal) terminera de la meilleure manière qui soit.

Présentation de l’étape 17 du Giro 2019

Mercredi 29 mai aura lieu l’étape 17 du Giro 2019 avec une nouvelle arrivée au sommet et prévue cette fois-ci à Antholz Anterselva après avoir fait 180 kilomètres depuis Commezzadura. Entre temps, quatre difficultés au total seront à franchir, ce qui épuisera forcément un peu plus les organismes déjà bien empruntés.

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Tout savoir de l’étape 17 du Giro 2019

Usante, mais pas forcément la plus difficile de toutes. La dix-septième étape ne manquera pas d’intérêts, car elle pourrait offrir différents scénarios en raison d’un tracé difficile. La victoire reste envisageable au-delà que des simples coureurs visant le classement général, mais avoir des qualités sera indispensable. Déjà pour se porter à l’avant de la course, la première ascension de la journée, le Passo della Mendola aura une certaine importance.

Puis, suivra une assez longue transition pour rejoindre la montée de Naz-Natz et celle de Trento/Terenten qui interviendra à peine plus tard. Une fois ces deux différentes difficultés franchies, il sera alors temps de se projeter vers l’arrivée jugée à Antholz/Anterselva où rien ne va être épargné aux coureurs avec encore quelques pourcentages dans les derniers kilomètres.

Les favoris à la victoire de l’étape 17 du Giro 2019

De bons grimpeurs, mais distancés au général peuvent tout à fait prétendre espérer à la victoire. Pour cela, il faudra prendre l’échappée et ainsi anticiper une éventuelle bataille entre favoris. Ainsi, Thomas de Gendt (Lotto Soudal), Mikel Nieve (Mitchelton-Scott) et Valentin Madouas (Groupama-FDJ) sont des coureurs qui pourraient être en mesure d’atteindre un tel objectif. Autrement, si quelqu’un qui vise le général venait à s’imposer, il faudra penser notamment à Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Richard Carapaz (Team Movistar) ou encore Mkel Landa (Team Movistar).

Présentation de l’étape 16 du Giro 2019

Mardi 28 mai aura lieu l’étape 16 du Giro 2019, qui représente le démarrage de la troisième et dernière semaine de course, si souvent décisive dans les différents Grands Tours. Et pour commencer, ce sera directement du très lourd avec 194 kilomètres en haute montagne tracés entre Lovere et Ponte di Legno.

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Tout savoir de l’étape 16 du Giro 2019

La montagne reprend de plus belle pour la dernière ligne droite de cette 102e édition. Après avoir observé la seconde journée de repos, les coureurs devront affronter une nouvelle étape très proche des 200 kilomètres. Et elle s’annonce en plus très difficile et même cruciale pour le classement général avec 5 000 mètres de dénivelé. Peu de temps après que le départ ait été donné, les deux premières difficultés vont très vote s’enchaîner, en l’occurrence le Passo della Presolana et le Croce di Salven. Mais ce n’est presque rien en comparaison de ce qui va arriver ensuite.

Alors que la course ne sera pas encore à la mi-parcours, il sera temps d’aborder les premières pentes menant vers Cevo puis dans la foulée, ce sera la montée allant jusqu’à Aprica. Mais la journée sera encore longue, car il restera plus de soixante kilomètres. Une fois la descente effectuée, les coureurs se rapprocheront du « monstre » de l’étape, le Passo del Mortirolo. Cela s’annonce terrible avec ses 12,4 kilomètres d’ascension à 10,5% de moyenne. De quoi faire assurément des dégâts. Ensuite, il faudra négocier la descente et se diriger peu à peu vers la ligne d’arrivée avec des derniers kilomètres qui ne comprennent pas de forts pourcentages, mais qui seront toujours en faux-plat montant.

Les favoris à la victoire de l’étape 16 du Giro 2019

C’est une journée type pour les purs grimpeurs, qui ont tout les atouts pour parfaitement en tirer profit. Et donc forcément Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Richard Carapaz (Team Movistar), Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma) et Simon Yates (Mitchelton-Scott) pourront être en position de franchir la ligne d’arrivée en tête. D’autres coureurs qui jouent le général comme Miguel Angel Lopez (Team Astana), Mikel Landa (Team Movistar) et Rafal Majka (Bora-Hansgrohe) seront aussi à suivre.

Joseph Areruya pour réaliser le doublé sur la Tropicale Amissa Bongo

Vainqueur sortant de la Tropicale Amissa Bongo, Joseph Areruya tentera de conserver son titre cette année. Concourant sous les couleurs d’une sélection rwandaise, la tâche s’annonce corsée pour le jeune coureur de 23 ans au vu de l’adversité, même si ses nombreuses qualités lui permettent de prétendre au minimum à une victoire d’étape.

Joseph Areruya, grand espoir du cyclisme africain

Même si il n’a pas encore beaucoup d’expérience au plus haut niveau, Joseph Areruya possède un palmarès déjà bien garni. Passé pro en 2018 en signant chez Delko-Marseille, le rwandais a réalisé une magnifique saison la même année, remportant donc la Tropicale Amissa Bongo (avec une victoire d’étape), et réalisant le doublé contre-la-montre/course sur route lors des Championnats d’Afrique espoirs. De plus, sa désignation en tant que « cycliste africain de l’année » en décembre dernier devant des coureurs tels que Daryl Impey est venue confirmer les grandes attentes placées en lui.

Mais malgré sa victoire en 2018, le rwandais ne fera pas figure de favori sur la Tropicale cette année. Opposé à l’immense André Greipel, ou encore au talentueux Niccolo Bonifazio, la victoire finale risque d’être difficile à atteindre. Mais dans une course si spéciale et piégeuse, aucune hypothèse n’est a exclure, et un grand numéro d’Areruya est tout à fait envisageable !

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Composition de l’équipe du Rwanda pour la Tropicale Amissa Bongo

  • UWIZEYIMANA Bonaventure
  • ARERUYA Joseph
  • UWIZEYE Jean Claude
  • MUGISHA Samuel
  • MUNYANEZA Didier
  • NKURUNZIZA Yves

VIDÉOS Tour Down Under 2019 étape 5

Retrouvez les vidéos de la cinquième étape du Tour Down Under 2019 gagnée au sprint par Jasper Philipsen (UAE Team Emirates). Le Belge initialement deuxième a profité du déclassement de Caleb Ewan (Lotto Soudal) pour l’emporter. Au classement général, Patrick Bevin (CCC Team) demeure le leader malgré une chute dans le final.

Le jour de gloire pour Jasper Philipsen

A seulement 20 ans, Jasper Philipsen a ouvert son palmarès en World Tour grâce à une victoire obtenue sur la cinquième étape du Tour Down Under. Et pourtant, ce n’est pas lui qui a franchi la ligne d’arrivée en première position. Mais Caleb Ewan qui s’était montré le plus rapide au sprint n’a pas échappé à une disqualification suite à un coup de casque donné envers… Jasper Philipsen.

Pour sa première course disputée avec sa nouvelle équipe UAE Team Emirates, c’est donc une totale réussite pour le Belge, qui ne pouvait rêver meilleure entame. Par contre, cette fin d’étape a bien été un cauchemar pour Patrick Bevin. Toujours leader actuel du général, le Néo-Zélandais est tombé à dix kilomètres de l’arrivée et semblait assez touché physiquement. Pas de quoi être confiant à un jour du terme de l’épreuve.

Le final de la course

Le résumé complet

Chute de Patrick Bevin (leader)

Jasper Philipsen déclaré vainqueur après disqualification de Caleb Ewan

Comme attendu, la cinquième et avant-dernière étape du Tour Down Under s’est terminée par un sprint massif. Mais plus surprenant, la victoire est revendue au jeune coureur belge de 20 ans Jasper Philipsen (UAE Team Emirates) qui a profité de la disqualification de Caleb Ewan, un temps vainqueur. Peter Sagan (Bora-Hansgrohe) a pris finalement la deuxième place et Danny Van Poppel (Team Jumbo-Visma) la troisième. Victime d’une chute, Patrick Bevin (CCC Team) a passé une très mauvaise journée mais reste leader au classement général.

Une première pour Jasper Philipsen, la déception pour Caleb Ewan

Rebondissement sur le final de l’avant-dernière journée du Tour Down Under. En seulement quelques minutes, le gain de l’étape aura été attribué à deux coureurs différents. D’abord, c’était a priori Caleb Ewan qui réussissait le coup parfait. L’Australien qui cherchait toujours à obtenir une victoire dans cette édition semblait avoir rempli l’objectif et ainsi poursuivre sa série depuis trois ans avec au minimum un succès à chaque fois. Mais après visionnage du sprint par les commissaires, ces derniers ont décidé de le classer dernier du groupe dans le même temps que le vainqueur (83e).

C’est un coup de casque adressé à l’encontre de Jasper Philipsen qui lui cause justement ce déclassement. L’étonnante coïncidence fait aussi que c’est le Belge, qui en finalement profité. Deuxième à l’arrivée et seulement battu par Ewan, il s’est retrouvé par conséquent à la première place. Un dénouement incroyable pour le coureur d’UAE Team Emirates, qui n’a pas attendu très longtemps pour décrocher un premier succès en carrière dans le World Tour. A peine âgé de 20 ans, il se révèle au plus haut niveau en devançant quelques uns des meilleurs sprinteurs au monde. Battant notamment Peter Sagan, Danny Van Poppel qui ont terminé sur le podium ou encore Elia Viviani (5e), c’est forcément prometteur pour la suite des événements.

Le leader Patrick Bevin tombe

Si Jasper Philipsen a connu une journée mémorable, qui va marquer assurément son début de carrière. Elle aura été beaucoup moins agréable pour Patrick Bevin. Celui qui domine pour le moment le classement général semblait passer une journée sans le moindre souci quand tout à coup il a été impliqué dans une chute intervenue à dix kilomètres de l’arrivée. En plus, celle-ci ne paraît pas sans conséquences car si le Néo-Zélandais a terminé dans le peloton, il souffrait clairement de cet incident de course. Reste à voir quel sera l’impact sur sa performance lors de la dernière étape qui est décisive avec la montée de Willunga Hill.

https://twitter.com/tourdownunder/status/1086491540875169794

https://twitter.com/tourdownunder/status/1086490441762009088

https://twitter.com/wcsbike/status/1086535378339852288

Niccolo Bonifazio, espoirs permis sur la Tropicale Amissa Bongo avec Direct Energie

Si le grand favori de la Tropicale Amissa Bongo 2019 est logiquement André Greipel (Arkéa-Samsic), d’autres coureurs peuvent eux aussi prétendre à des victoires d’étapes, ou même à la victoire finale. À ce titre, le jeune sprinteur italien Niccolo Bonifazio (Direct Energie) semble être le principal concurrent du Gorille de Rostock.

Niccolo Bonifazio, une première très attendue

Recrue estivale de Direct Energie, l’ancien sprinteur de la Bahrain-Merida concourra pour la première fois sous les couleurs de la formation vendéenne. L’occasion pour lui de se montrer sur une course à sa portée, qui pourrait bien lancer sa saison en cas de réussite. De plus, d’importants espoirs sont placés en lui, car ayant remporté une victoire d’étape sur le Tour de Pologne en 2016 et sur le Tour de Croatie en 2018, ses qualités ne sont plus à prouver.

Pour sa première participation à la Tropicale Amissa Bongo, Niccolo Bonifazio fera partie des favoris, et sera considéré comme le principal concurrent d’André Greipel. Car en plus de son talent indéniable, le sprinteur italien de 25 ans pourra s’appuyer sur une équipe équilibrée, alliant talent et expérience. En effet, il sera accompagné par les expérimentés et anciens vainqueurs de l’épreuve Yohann Gène (2013 et 2017) et Adrien Petit (2016), ou encore par l’infatigable Damien Gaudin. Direct Energie peut donc espérer ramener au moins une victoire d’étape du Gabon grâce à son nouveau sprinteur.

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Composition de Direct Energie pour la Tropicale Amissa Bongo :

  • BONIFAZIO Niccolo
  • GAUDIN Damien
  • GENE Yohann
  • JOURNIAUX Axel
  • PETIT Adrien
  • PICHOT Alexandre

Présentation de l’étape 15 du Giro 2019

Dimanche 26 mai aura lieu l’étape 15 du Giro 2019, qui prendra clairement des allures d’une très célèbre classique. En effet, le parcours empruntée sur 237 kilomètres entre Ivrea et Como reprendra en partie celui du Tour de Lombardie, l’un des cinq Monuments du cyclisme. Si ce n’est pas de la haute montagne, cela reste un jour très important dans la course au sacre de cette 102e édition.

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Tout savoir de l’étape 15 du Giro 2019

Pas de grands cols, ni même de longues ascensions à noter pour cette quinzième étape. Donc c’est a priori une journée dite de transition. Mais en fait pas du tout et même loin de là. Les écarts pourraient même être aussi importants qu’une journée intégrale en montagne. Cela peut étonner à première vue, car dans cette étape la plus longue de cette édition, les 160 premiers kilomètres seront dénués de toutes difficultés. Par contre, la suite va se compliquer avec des ascensions connus pour leurs caractères importants sur le Tour de Lombardie.

La première d’entre elle sera la montée vers Madonna del Ghisallo, qui précédera à peine le Colma di Sormano. Un enchaînement très délicat alors qu’il restera encore cinquante kilomètres à faire. La descente et une portion plate faite, c’est le Civiglio qui va se présenter sous la roue des coureurs puis quelques instants plus tard San Fermo della Battaglia. Quand ce dernier sommet sera passé, une ultime descente mènera vers l’arrivée à Como.

Les favoris à la victoire de l’étape 15 du Giro 2019

Avec une étape aux airs de Tour de Lombardie, les grimpeurs seront nouveau de la partie pour essayer d’aller s’imposer. Vincenzo Nibali (Bahrain Merida) et Esteban Chaves (Mitchelton-Scott) qui ont déjà remporté ce Monument seront sur des routes qu’ils vont apprécier même si le contexte sera forcément différent. Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma), Simon Yates (Mitchelton-Scott), Richard Carapaz (Team Movistar) et Mikel Landa (Team Movistar) seront aussi à surveiller. Et pourquoi pas voir un Français tel que Valentin Madouas (Groupama-FDJ) ou Alexis Vuillermoz (AG2R La Mondiale) briller sur un tel profil.

Présentation de l’étape 14 du Giro 2019

Samedi 25 mai aura lieu l’étape 14 du Giro 2019, qui s’annonce terrible et c’est peu dire. Quatre cols seront au programme sans compter l’arrivée. Ils seront en plus concentrés sur seulement 131 kilomètres entre Saint-Vincent et la station de Courmayeur. De quoi ravir les meilleurs grimpeurs du plateau.

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Tout savoir de l’étape 14 du Giro 2019

Bienvenue en enfer. C’est vraiment à quoi ressemble la quatorzième étape du prochain Tour d’Italie. Dès le début quasiment, les coureurs seront dans le dur avec l’ascension de Verrayes, dont le sommet est situé au kilomètre 13,5. Une fois la descente faite, il y aura quasiment une quinzaine de kilomètres à faire sur une section plate, la seule pratiquement de la journée mais assurément la plus longue. Puis, ce sera le moment d’être dans la montée menant à Verrogne. Près de quatorze kilomètres à effectuer avec une pente moyenne autour de 7-8%, donc une sacrée difficulté.

Après, l’enchaînement va être quasiment immédiat avec la montée de Truc d’Arbe. Les coureurs se dirigeront ensuite vers le Colle San Carlo après avoir passé une petite portion vallonnée. Cette difficulté proche des 2 000 mètres d’altitude va être le point culminant de la journée. Elle fait dix kilomètres, ce qui peut paraître pas si long, mais le pourcentage sera de 10%. Un col terrible, qui pourrait être une parfaite rampe de lancement pour assister à des attaques. Une fois le sommet franchi, il restera vingt-six kilomètres dont une grande partie en descente. C’est à moins de dix kilomètres du terme qu’il faudra remonter pour aller rejoindre Courmayeur et pour en terminer de cette journée démentielle.

Les favoris à la victoire de l’étape 14 du Giro 2019

Avec une telle journée programmée, c’est une bataille entre les cadors du classement général qui est attendu. Et donc, une victoire qui ne devrait pas échapper à l’un d’entre eux, à moins d’un exploit d’un coureur échappé. Pour tenter de l’emporter, les grimpeurs Miguel Angel Lopez (Team Astana), Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Primoz Roglic (Team jumbo-Visma), Mikel Landa (Team Movistar) font partie des principaux prétendants. Mais attention également à Richard Carapaz (Team Movistar), Rafal Majka (Bora – Hansgrohe) voire Pavel Sivakov (Team INEOS) qui pourront se révéler très dangereux.

Présentation de l’étape 13 du Giro 2019

Vendredi 24 mai aura lieu l’étape 13 du Giro 2019. Un jour particulier, qui marque l’apparition de la haute montagne dans cette 102e édition. Jusque-là absente après quasiment deux semaines de course, elle va arriver de façon spectaculaire. Trois cols vont être au programme, dont surtout une arrivée au sommet prévue à 2 247 mètres d’altitude à Ceresole Reale après 188 kilomètres de course.

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Tout savoir de l’étape 13 du Giro 2019

Les purs grimpeurs vont être enfin servis. Après avoir plus ou moins dû rongé leur frein depuis près de deux semaines de course, ils vont pouvoir pleinement s’exprimer dorénavant. A commencer par cette treizième étape, qui s’apprête à provoquer des dégâts et faire une certaine sélection. Peu après que le départ soit donné, une première côte non répertoriée sera déjà présente sur le parcours mais rien de comparable avec ce qui arriver par la suite. La première grosse difficulté de la journée sera le Colle del Lys abordé depuis la commune d’Almese soit treize un peu plus de treize kilomètres d’ascension à environ 7% de moyenne.

Puis, il y aura une assez longue transition qui mènera les coureurs au pied de la montée de Pian del Lupo. Similaire au premier col, elle fera quatorze kilomètres avec une pente moyenne de 7%. Puis, ce sera le moment de se lancer dans la descente et de rejoindre de manière progressive le pied de la montée finale. Celle-ci mènera les protagonistes vers Ceresole Reale. Les vingt derniers kilomètres seront particulièrement compliqués avec une brève partie de replat (5 km) dans cette ascension. Une belle victoire de prestige est à accrocher. Et un belle opération au classement général est à faire. 

Les favoris à la victoire de l’étape 13 du Giro 2019

Seul un très bon grimpeur pourra espérer briller sur un tel profil. Autrement-dit, c’est vers las cadors visant le classement général auxquels il faudra penser en priorité pour s’imposer dans cette première arrivée au sommet de ce Grand Tour. Simon Yates (Mitchelton-Scott), Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Miguel Angel Lopez (Team Astana), Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma) sont autant de clients capables de s’imposer. Mikel Landa (Team Movistar), Richard Carapaz (Team Movistar), Rafal Majka (Bora-Hansgrohe) sont d’autres coureurs qui peuvent s’ajouter à cette liste.

VIDÉOS Tour Down Under 2019 étape 4

Retrouvez les vidéos de la quatrième étape du Tour Down Under 2019, remportée par Daryl Impey (Mitchelton-Scott). Le sud-africain a dominé un sprint disputé entre tous les favoris de l’épreuve. Il s’est par la même occasion emparé de la seconde place du classement général, toujours dominé par Patrick Bevin (Team CCC).

Daryl Impey se replace au général

Avec une arrivée prévue au sommet de la côte de Téringie, il y avait fort à parier qu’un véritable écrémage aurait lieu à l’issue de cette quatrième étape du Tour Down Under. Même si au final les écarts ne sont pas si importants, seulement une vingtaine de coureurs semblent maintenant être en mesure de se disputer la victoire finale.

Car après une attaque intéressante des favoris du général (Woods, Bennett, Porte et Poels) dans la montée finale, un groupe de vingt coureurs s’est construit en tête de course pour aller se jouer la gagne. Au terme d’un beau sprint, Daryl Impey a dominé Patrick Bevin, le devançant d’un vélo sur la ligne, tandis que Luis Leon Sanchez est allé chercher la troisième place.

Le final de la course

Le résumé complet

Présentation de l’étape 12 du Giro 2019

Jeudi 23 mai aura lieu l’étape 12 du Giro 2019. Elle marque le retour du dénivelé avec 146 kilomètres qui peuvent déboucher sur différents scénarios de course. Entre Cuneo et Pinerolo, ça ne sera pas une partie de plaisir même si des grimpeurs et en particulier des coureurs rejetés loin au général auront un terrain pour s’exprimer.

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Tout savoir de l’étape 12 du Giro 2019

Après deux étapes de plaine pour entamer la deuxième semaine de compétition, place à une journée dite vallonnée, qui peut même être considérée comme de la moyenne montagne. Pourtant, les premiers kilomètres ne présenteront pas de difficultés particulières, mis à part une petite côte répertoriée et une portion légèrement vallonnée, pas grand chose n’est à signaler. Mais c’est en s’approchant que ça va se durcir clairement.

Alors que plus des deux tiers du parcours auront été parcourus, il sera temps de se confronter au Montoso, qui culmine à 1248 mètres d’altitude. Cette montée d’un peu moins de dix kilomètres mais avec du pourcentage important (9,5% de moyenne) sera la difficulté majeure de la journée. Celle qui permettra aux meilleurs grimpeurs de provoquer une certaine différence, que ça soit pour une victoire d’étape, pour un gain de temps au général, voire les deux. Au sommet, il restera tout de même trente-deux kilomètres à parcourir dont quasiment une vingtaine sur du plat. De quoi inciter peut-être à la prudence surtout du côté des favoris. C’est pourquoi les baroudeurs ont un beau coup à jouer en direction de Pinerolo.

Les favoris à la victoire de l’étape 12 du Giro 2019

Les coureurs qui auront perdu du temps en première semaine pourront profiter de cette journée. D’ailleurs un rapproché au général de l’un ou plusieurs des baroudeurs n’est pas à exclure non plus. Parmi les noms qui sont à cocher, Thomas De Gendt (Lotto Soudal), Tony Gallopin (AG2R La Mondiale), Mikel Nieve (Mitchelton-Scott) en font partie. Tout comme Diego Ulissi (UAE Team Emirates), Gianluca Brambilla (Trek-Segafredo) ou encore José Joaquin Rojas (Team Movistar) dont le profil pourrait parfaitement correspondre.

Présentation de l’étape 11 du Giro 2019

Mercredi 22 mai aura lieu l’étape 11 du Giro 2019, qui est le parfait reflet de la veille. A nouveau donc, ce sera une journée sans la moindre difficulté qui sera proposée aux coureurs. Seule véritable changement, la distance à faire qui est plus longue. De Carpi à Novi Ligure, 206 kilomètres sont programmés.

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Tout savoir de l’étape 11 du Giro 2019

Pour cette onzième étape, les yeux seront totalement braqués sur les sprinteurs. Ces derniers auront un parcours qui va leur convenir parfaitement. Pas le moindre obstacle se dressera sur la route et pourtant il y aura plus de 200 kilomètres à effectuer. C’est dire à quel point le dénouement ne fait pas trop de doute. Et même si en direction de Novi Ligure, les derniers kilomètres seront en très léger faux-plat montant, ce sera tellement insignifiant que le rythme ne faiblira pas. Les équipiers en profiteront surtout pour placer au mieux chacun des sprinteurs, qui devront ensuite à leur tour faire la différence.

Les favoris à la victoire de l’étape 11 du Giro 2019

Comme c’est fortement à prévoir, c’est du côte des sprinteurs qu’il va falloir se tourner pour connaître le vainqueur. Du coup, Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step), Caleb Ewan (Lotto Soudal), Arnaud Démare (Groupama-FDJ), et Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe) seront les attendus pour se disputer la première place. A un deuxième échelon, Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data), Davide Cimolai (Israel Cycling Academy) ou encore Manuel Belletti (Androni Giocattoli – Sidermec) ne voudront pas non plus laisser filer cette opportunité.

Présentation de l’étape 10 du Giro 2019

Mardi 21 mai aura lieu l’étape 10 du Giro 2019. Il sera impossible de trouver plus plat sur l’ensemble de cette 102e édition. Autrement-dit, c’est certainement le tracé le plus simple qu’aura à effectuer les coureurs encore engagés. Après 147 kilomètres entre Ravenna et Modena, l’issue est quasiment irrévocable pour assister à un sprint massif.

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Tout savoir de l’étape 10 du Giro 2019

Du début à la fin, les coureurs n’auront pas besoin à un seul instant de changer de braquet. C’est dire à quel point ils ne devraient pas rencontrer la moindre difficulté durant toute cette journée. Seul un événement extérieur (météo défavorable, une chute,…) pourrait vraiment changer la donne, car sinon rien vraiment de particulier à signaler. Pas la moindre côte ni même le oindre faux-plat n’interviendra sur ce parcours. De quoi permettre au peloton de contrôler assez facilement une échappée et d’arriver groupée. Ensuite, les sprinteurs s’expliqueront entre eux.

Les favoris à la victoire de l’étape 10 du Giro 2019

C’est clair, net et précis, pas besoin de se casser la tête pour savoir quel type de coureur gagnera. S’il ne faut pas écarter la possibilité (très faible) d’une éventuelle surprise, c’est un sprinteur qui aura sans aucun doute le dernier mot. Et donc cela devrait se jouer en toute logique entre Fernando Gaviria (UAE Team Emirates), Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) et Caleb Ewan (Lotto Soudal)Arnaud Démare (Groupama-FDJ), Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe), Sacha Modolo (EF Education First) et Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data) seront davantage en position d’outsider.

Daryl Impey signe la plus belle opération du jour

Sur la quatrième étape du Tour Down Under, la victoire s’est de nouveau jouée au sprint mais avec un groupe encore plus réduit cette fois-ci. Daryl Impey (Mitchelton-Scott) s’est montré le plus rapide parmi vingt coureurs qui ont terminé dans le même temps. Patrick Bevin (CCC Team), qui reste toujours le leader au classement général a fini deuxième et Luis Leon Sanchez (Team Astana) a pris la troisième place.

Daryl Impey, le tenant du titre répond présent

Il n’était pas passé très loin lors de la précédente étape de ce Tour Down Under, mais cette fois-ci il a parfaitement saisi l’occasion. Daryl Impey a remporté la quatrième étape grâce à ses qualités de sprinteur qui lui ont permis de se débarrasser notamment de Patrick Bevin déjà vainqueur d’étape sur cette édition ou encore de Luis Leon Sanchez, qui tourne décidément autour sans pouvoir autant connaître le goût du succès.

Si ces trois hommes sont régulièrement présents en tête depuis le départ de cette course par étapes, de l’autre côté l’écrémage continue à se faire au fil des jours. Ils n’ont été que vingt coureurs à terminer dans le premier groupe à Campbelltown au terme des 129,2 kilomètres à effectuer. De quoi réduire sérieusement les prétendants à la victoire finale de cette première épreuve World Tour de l’année.

Parmi ceux qui peuvent toujours postuler à la première place, Michael Woods (EF Education First), George Bennett (Team Jumbo-Visma), Richie Porte (Trek-Segafredo) et Wout Poels (Team Sky) ont affiché une belle forme. A quelques kilomètres de la ligne d’arrivée, ce quatuor a réussi un temps à se détacher dans la principale difficulté du jour, une côte d’environ deux kilomètres à presque 9% de moyenne.

Mais repris ensuite dans la descente, c’est un groupe de vingt éléments qui s’est recomposé et s’est dirigé vers l’arrivée. Au sprint, pour tenter de décrocher la victoire, Luis Leon Sanchez a été le premier à accélérer véritablement mais il n’a pu tenir jusqu’à la fin. La faute à Impey et Bevin qui ont livré un sacré duel dans les derniers mètres, mais qui a tourné en faveur du Sud-Africain. Ce dernier en a d’ailleurs profité pour diminuer l’écart au général avec le porteur du maillot de leader. En prenant quatre secondes de bonifications en plus que son adversaire néo-zélandais, il est revenu ainsi à sept secondes au général. Sans oublier que Sanchez est à onze secondes et le reste de la meute à vingt-et-une. Tout reste donc à faire à moins de 48 heures de l’arrivée.

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Présence confirmée de Fabio Aru sur le Giro 2019

Après avoir vécu une dernière saison difficile au niveau des résultats, Fabio Aru compte rebondir dès les prochains mois. En 2019, l’Italien sera notamment au départ du Tour d’Italie (11 mai – 2 juin), qui fera partie de ses principaux objectifs. Une décision rendue officielle par son équipe UAE Team Emirates.

Fabio Aru revanchard sur la prochaine édition du Giro

Un grand nom de plus officialisé pour le Grand Départ du Giro 2019 ! Après Tom Dumoulin, Alejandro Valverde, Vincenzo Nibali, Egan Bernal, Simon Yates, Miguel Angel Lopez ou encore Primoz Roglic c’est la présence de Fabio Aru qui est désormais assurée du côté de Bologne le 11 mai. Le coureur d’UAE Team Emirates a expliqué les raisons de ce choix, qui ont été retranscrites sur le site de sa formation.

« Je suis Italien et être au départ du Giro est toujours une réelle motivation. J’ai le désir de faire oublier ma saison 2018 et tout particulièrement ma prestation sur le dernier Tour d’Italie. J’ai une dette par rapport à mon sponsor, aux organisateurs et à mon public. Le parcours du Giro offre de nombreux cols difficiles pour équilibrer le nombre de kilomètres parcourus dans les chronos. Nous arriverons préparés physiquement et techniquement afin d’aborder chaque détail de la course de la meilleure façon possible. »

Par le passé, Aru s’est déjà montré très performant sur les routes italiennes. A son actif, il compte déjà deux podiums dans ce Grand Tour acquis en 2014 (3e) et 2015 (2e). Cela semble tellement loin, car depuis un moment, l’ex-champion d’Italie peine à retrouver son meilleur niveau qui lui a aussi permis de remporter un Grand Tour, la Vuelta en 2015. D’ailleurs, la dernière saison, l’un des leaders d’UAE Team Emirates l’a traversé comme un fantôme en étant très loin de ses ambitions. Abandonnant notamment sur la 18e étape du Giro après presque trois semaines de galère, il avait alors connu le pire. Un an plus tard, pour sa cinquième participation, le but sera de retrouver les sommets.

A noter également que pour ce début de saison, Fabio Aru effectuera sa rentrée sur le Trophée de Majorque, qui aura lieu du 31 janvier au 3 février. Puis, il participera un peu plus tard au Tour d’Algarve (20 – 24 février) et au Tour de Catalogne (25 – 31 mars). Un stage en altitude effectué dans la foulée dans le Colorado sera sa dernière étape avant donc d’aborder son Grand Tour national.

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Présentation de l’étape 9 du Giro 2019

Dimanche 19 mai aura lieu l’étape 9 du Giro 2019. Importante et particulière à plus d’un titre, car déjà il s’agit de la dernière journée de course dans cette première semaine avant une journée de repos bien méritée. Puis, parce que c’est un contre-la-montre individuel qui va être prépondérant pour ceux qui visent le classement général. Mais attention à bien gérer son effort, il s’annonce difficile et donc assez long pour couvrir les 34,7 kilomètres au total.

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Tout savoir de l’étape 9 du Giro 2019

Dans chaque Grand Tour, il y a forcément des journées plus importantes et marquantes que d’autres. La dernière de la première semaine du Giro 2019 entre dans cette catégorie avant même qu’elle soit disputée, car c’est certain il va y avoir des écarts, c’est certain. Avec un contre-la-montre individuel de près de 35 kilomètres et qui sera difficile à négocier, les ambitions des prétendants au classement général prendront une tournure positive pour certains et négative pour d’autres après en avoir terminé. En s’élançant de Riccione, les deux premiers tiers du parcours environ (jusqu’au deuxième pointage intermédiaire au km 22,2) vont s’avérer favorable aux rouleurs et purs spécialistes de l’exercice solitaire.

Ensuite, ce sera une toute autre histoire. La route va s’élever de façon quasi ininterrompue jusqu’à la ligne d’arrivée tracée à San Marino. Les grimpeurs pas forcément adeptes du chrono seront alors plus dans leur élément, et pourront peut-être encore mieux limiter la casse ou même reprendre du temps. La gestion de l’effort sera aussi primordial, car c’est bien un contre-la-montre en deux parties distinctes auquel les coureurs auront droit. Le résultat de chacun pourrait avoir une incidence sur le comportement à adopter les jours suivants.

Les favoris à la victoire de l’étape 9 du Giro 2019

Par rapport à ce contre-la-montre, la combinaison gagnante s’approche forcément d’un spécialiste de l’exercice doté de grandes qualités de rouleur mais aussi de grimpeur ou en tout cas de bien passer les bosses. A ce jeu-là, Primoz Roglic (Team Jumbo-Visma) paraît être en toute logique l’homme principal à battre. Mais il faudra également compter sur Bob Jungels (Deceuninck – Quick Step), Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Simon Yates (Mitchelton-Scott) capables de réaliser le meilleur temps de la journée.

Présentation de l’étape 8 du Giro 2019

Samedi 18 mai aura lieu l’étape 8 du Giro 2019. Deuxième plus longue de cette 102e édition en terme de distance avec 235 kilomètres, son profil peut à la fois intéresser les sprinteurs mais aussi les baroudeurs. Chacun devra en tout cas se déjouer des différentes difficultés qui subsistent dans la dernière partie de course pour tenter d’accrocher un précieux et important succès.

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Tout savoir de l’étape 8 du Giro 2019

A première vue, la huitième étape du prochain Tour d’Italie semble se diriger en faveur d’un sprinteur. Classée ainsi en étape de plaine, c’est le sentiment qui prédomine. Mais à y regarder de plus près, ce n’est pas forcément certain. Pourtant, les 158 premiers kilomètres pour être précis vont être quasiment plats comme la main. C’est dire qu’il ne faudra pas s’attendre à quelque chose en particulier sauf à penser qu’une échappé aura pris du champ.

Mais dans un deuxième temps, cela risque de devenir plus intéressant, car avec le Monte della Mattera qui se dressera sur ce parcours, les difficultés vont arriver. Ce qui va clairement donner du piment. Par la suite, ce ne sera pas non plus impossible de passer pour les sprinteurs, mais quand même un peu vallonné pour leur rendre la tâche plus compliqué. Peut-être que certains baroudeurs arriveront à en profiter. C’est toute l’incertitude en rejoignant Pesaro, la ville d’arrivée.

Les favoris à la victoire de l’étape 8 du Giro 2019

S’il est bien difficile de savoir quel baroudeur irait au bout en cas d’échappée gagnante, il est par contre plus aisé de connaitre les identités des coureurs si cela arrive au sprint avec un peloton complet. Dans ce cas de figure qui a une belle chance de se produire, Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe), Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) et Caleb Ewan (Lotto Soudal) seront en mesure de lutter pour la première place. Tout comme Arnaud Démare (Groupama-FDJ), Matteo Moschetti (Trek-Segafredo) Sacha Modolo (EF Education First) et Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data), qui seront davantage des outsiders.

VIDÉOS Tour Down Under 2019 étape 3

Retrouvez les vidéos de la troisième étape du Tour Down Under 2019, remportée sur le fil par Peter Sagan (Bora-Hansgrohe). Le Slovaque a devancé Luis Leon Sanchez (Team Astana) et Daryl Impey (Mitchelton – Scott) dans un sprint pour la gagne disputé au sein d’un groupe d’une quarantaine de coureurs.

Première victoire de la saison pour Sagan

Contrairement aux deux premières journées, la troisième étape du Tour Down Under a donné lieu à une course plutôt mouvementée. Après des tentatives d’Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) ou encore de Kenny Elissonde (Team Sky), c’est un groupe de tête assez réduit (37 coureurs) qui s’est présenté à l’arrivée pour se jouer la gagne. Au sprint, Peter Sagan a dominé de justesse Luis Leon Sanchez, et en a profité pour décrocher sa première victoire de la saison.

Grâce à son succès de la veille, Patrick Bevin (Team CCC) est toujours en tête du classement général, talonné par le vainqueur du jour Peter Sagan. L’espagnol Luis Leon Sanchez complète quant à lui le podium.

Le final de l’étape

Le résumé complet

Présentation de l’étape 7 du Giro 2019

Vendredi 17 mai aura lieu l’étape 7 du Giro 2019. Présentant un profil assez vallonné, mais pas non dans les grandes largeurs, cela donne l’opportunité à un certain nombre de coureurs de pouvoir de s’illustrer. Une journée intéressante en perspective de Vasto à l’Aquila sur les 180 kilomètres que compose le tracé.

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Tout savoir de l’étape 7 du Giro 2019

Pour commencer la septième étape, pendant plusieurs dizaines de kilomètres, une longue portion plate ou en faux-plat montant servira surtout à voir une échappée se développer. Puis, un premier passage un peu plus délicat s’annoncera avec une côte répertoriée suivi d’une autre qui ne l’est pas. De nouveau ensuite, les coureurs seront dans une phase a priori plus calme avant que les choses sérieuses ne débutent.

Avec le Svolte di Popoli, la course entrera dans une autre dimension. Point majeur de la journée, le sommet sera à un peu plus de quarante kilomètres du terme. Autrement-dit, c’est à peu près une heure qu’il restera à faire pour rallier l’arrivée à L’Aquila. Un final pas simple à aborder avec deux bosses, qui auront assurément une incidence sur le résultat.

Les favoris à la victoire de l’étape 7 du Giro 2019

Comme la veille, cela s’annonce ouvert pour l’emporter. Autant un baroudeur qu’un favori du général est en capacité de lever les bras à L’Aquila. De ce fait, si un membre de l’échappée va au bout, des coureurs tels que Rafal Majka (Bora-Hansgrohe) ou Thomas De Gendt (Lotto Soudal), Tony Gallopin (AG2R La Mondiale) semblent avoir le profil idéal. Dans le cas où la course s’emballerait entre les principaux favoris, Simon Yates (Mitchelton-Scott) et Vincenzo Nibali (Bahrain Merida) feraient partie des quelques coureurs à suivre.

Présentation de l’étape 6 du Giro 2019

Jeudi 16 mai aura lieu l’étape 6 du Giro 2019. Elle peut être considérée comme la première en ligne qui peut vraiment faire quelques écarts. Les grimpeurs mais aussi les puncheurs seront normalement à la fête sur cette journée marathon de 233 kilomètres. Et selon les circonstances de course, un coureur issu d’une échappée pourrait avoir le dernier mot.

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Tout savoir de l’étape 6 du Giro 2019

Une longue journée en prévision pour les coureurs engagés dans cette 102e édition du Giro. Plus de 230 kilomètres à faire avec un final pour le moins compliqué qui les attend. Avant cela, quelques portions vallonnées se situeront dans le parcours, mais rien d’effrayant. Ce sera surtout un moyen de faire partie de l’échappée du jour, qui peut espérer aller loin, voire jusqu’au bout.

Avec un tel profil, assister à deux courses à différents échelons ne serait pas surprenant. Cependant, il faudra avoir une certaine avance au moment d’entrer dans la Coppa Casarinelle, qui sera la difficulté du jour. Celle qui pourrait occasionner de l’action dans le peloton et qui sait permettre à quelques favoris de se dévoiler. Au sommet, il n’y aura plus que treize kilomètres environ dont une petite remontée et des parties en descente ou faux-plat descendant. Une incitation à prendre des risques. A voir si ça se matérialisera sur le terrain.

Les favoris à la victoire de l’étape 6 du Giro 2019

C’est vraiment le genre d’étape où pas forcément un type de coureur se dégage véritablement. Entre les baroudeurs, les puncheurs et les grimpeurs, cela paraît ouvert. Donc pas d’immense favori, mais bien entendu des sérieux prétendants comme Vincenzo Nibali (Bahrain Merida), Simon Yates (Mitchelton-Scott) sont autant capables de s’imposer. Côté français, les deux coureurs d’AG2R La Mondiale Alexis Vuillermoz et Tony Gallopin pourront prétendre se mêler la lutte en cas d’une bonne forme.

Présentation de l’étape 5 du Giro 2019

Mercredi 15 mai aura lieu l’étape 5 du Giro 2019 qui a une très grande probabilité de se conclure par une arrivée groupée avec les meilleurs sprinteurs en acteurs principaux. La distance kilométrique assez courte (140 kilomètres), mais aussi et surtout le relief peu présent, voire pas du tout dans les derniers instants incitent à penser davantage à ce scénario.

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Tout savoir de l’étape 5 du Giro 2019

Au départ de Frascati, cette cinquième étape est dans un premier temps compliquée. Dès lors qu’ils seront lâchés, les coureurs auront directement une première bosse d’une longueur proche des dix kilomètres à franchir. Elle sera indéniablement un parfait tremplin pour assister à des attaques mais ne comptera pas pour le classement de montagne. Au contraire de la difficulté suivante, très rapprochée d’ailleurs, dont le sommet est situé au km 25. C’est dire à quel point cette entame est loin de tout repos. La suite sera cependant plus calme. Sur l’ensemble du parcours restant, seule une autre difficulté sera située à environ cinquante kilomètres de l’arrivée. Mais autrement rien de quoi stopper l’élan du peloton avec ses sprinteurs, qui auront une belle occasion à saisir. Pour se diriger vers Terracina, c’est absolument tout plat. De quoi favoriser une explication à la loyale entre les plus rapides.

Les favoris à la victoire de l’étape 5 du Giro 2019

Il est fort à parier qu’en cette première semaine avec des organismes encore frais, les sprinteurs seront en mesure de contrôler cette étape avec l’apport de leurs équipiers. Autrement-dit, cela devrait se résumer à une explication entre les coureurs les plus rapides. Parmi ceux-là, Fernando Gaviria (UAE Team Emirates), Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step) et Caleb Ewan (Lotto Soudal) sont certainement les plus attendus. Et à un degré moindre, Arnaud Démare (Groupama-FDJ), Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe), Sacha Modolo (EF Education First) et Giacomo Nizzolo (Team Dimension Data) peuvent prétendre à la première place en étant dans une bonne journée.

Peter Sagan décroche son premier succès de l’année

Pour le compte de la troisième étape du Tour Down Under, Peter Sagan (Bora – Hansgrohe) est parvenu à s’imposer en réglant au sprint un peloton fort quasiment d’une quarantaine d’unités. Luis Leon Sanchez (Team Astana) battu de justesse et Daryl Impey (Mitchelton – Scott) ont complété le podium du jour. Au classement général, Patrick Bevin (Team CCC) vainqueur la veille et cinquième aujourd’hui reste en haut de la hiérarchie.

Peter Sagan vainqueur d’étape au Tour Down Under

Peter Sagan aime décidément l’arrivée à Uraidla. Déjà vainqueur au même endroit lors de la précédente édition du Tour Down Under, le Slovaque a réédité cette performance, qui lui permet au passage de connaître une première victoire en 2019. Mais ce fut loin d’être facile, car son dauphin Luis Leon Sanchez lui aura donné beaucoup de fil à retordre. Cela s’est même joué de très peu entre les deux hommes sur la ligne d’arrivée, mais avec le dernier mot qui est revenu au coureur de Bora-Hansgrohe.

En tout, ils ont été trente-sept coureurs à finir cette étape dans le même temps. Preuve que comme prévu le circuit final composé de six tours a fait des dégâts et user pas mal les organismes en plus de la forte chaleur qui sévit actuellement en Australie. Autant d’obstacles qui ont pourtant incité quelques coureurs à sortir du peloton en début de journée dont Elia Viviani (Deceuninck – Quick Step). Mais à l’image de l’Italien qui s’est relevé par la suite, aucun des six autres coureurs est arrivé à aller au bout de son entreprise. Alberto Bettiol (EF Education First) a été le dernier repris à un peu plus de dix kilomètres du but.

Déjà à ce moment, le peloton avait perdu un grand nombre d’unités et roulait à un rythme assez important, ce qui n’a pas empêché Kenny Elissonde (Team Sky) de tenter de fausser compagnie au reste de la meute. Finalement, son attaque à 3 kilomètres du terme dans une dernière bosse ne va pas aller bien loin. Et c’était alors acté que tout se jouerait dans un sprint en comité réduit. Le peloton lancé à vive allure a été mené par Daryl Impey, qui s’est fait ensuite débordé par deux autres coureurs, Peter Sagan et Luis Leon Sanchez. C’est au jeté de vélo que le Slovaque a eu définitivement raison de l’Espagnol. A noter que leur opération est bonne voire excellente au général car derrière Patrick Bevin, Sagan n’est plus qu’à une petite seconde tandis que Sanchez complète le podium provisoire à neuf secondes.

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VIDÉOS Tour Down Under 2019 étape 2

Retrouvez les vidéos de la deuxième étape du Tour Down Under 2019, remportée par le Néo-Zélandais Patrick Bevin (CCC Team). Le rouleur de 27 ans a profité d’une chute massive survenue dans le peloton à quelques centaines de mètres de la ligne d’arrivée pour devancer au sprint Caleb Ewan (Lotto-Soudal) et Peter Sagan (Bora-Hansgrohe).

Patrick Bevin surprend les favoris du sprint

Avec un profil plat, la deuxième étape du Tour Down Under 2019 avait toutes les chances de se conclure au sprint. Après avoir contrecarré les plans de plusieurs échappées, le peloton se dirigeait tranquillement vers une arrivée massive. Mais une importante chute dans les derniers mètres de la course a perturbé les équipes de sprinteurs et propulsé un petit groupe de coureurs vers la gagne. Patrick Bevin (considéré plutôt comme un rouleur) a alors tenté sa chance, et a réussi à devancer au final de purs sprinteurs comme Sagan et Ewan. Le Néo-Zélandais a fait coup double, puisqu’il s’est par la même occasion emparé de la tête du classement général.

Le final de la course